Le Collectif des maires pour l’enfance, dont la pétition a recueilli la signature de plus de 18.000 maires et adjoints, a recensé jusqu’ici 416 communes « dans lesquelles aucun élu n'est disposé à célébrer un mariage entre deux personnes de même sexe ». Il annonce qu’il va lancer un appel à François Hollande, samedi midi, depuis le Trocadéro, « pour qu'il retire le projet de loi et organise en urgence des Etats généraux de la Famille ».
Culture de mort - Page 157
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Le Collectif des maires pour l’enfance va lancer un appel
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« Préparons les planches et les clous »
L’Agrif a décidé de porter plainte pour provocation directe au meurtre complaisamment relayée par l’association ACT-UP contre les opposants au « mariage » homosexuel.
Il s’agit de cette affiche (cliquer dessus pour l'agrandir) :
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Philippe Isnard : le livre
LE TABOU DU MAMMOUTH, de Ph. ISNARD
Le livre-témoignage de Philippe Isnard, professeur révoqué de l'Education Nationale suite à l'organisation de débats d'éducation civique prévus au programme scolaire, est enfin disponible !
L'auteur donne sa version des faits et explique comment le fait d'avoir simplement évoqué parmi les autres opinions celles des chrétiens sur le sujet de l'avortement lui a valu d'être interdit d'enseignement, de perdre son travail, de voir sa réputation impunément salie dans les médias...alors même qu'il avait toujours eu d'excellentes appréciations professionnelles et l'intérêt, le soutien de ses élèves.
Dans un récit personnel et émouvant, il décrit comment on s'est acharné injustement sur lui et comment il a été "mis à mort" socialement par le système en raison de sa foi chrétienne.
Philippe Isnard montre combien, loin de former nos enfants à devenir des hommes et des femmes éclairés, responsables, l'Etat leur impose, comme au reste de la société, son idéologie, annihilant ainsi toute possibilité d'esprit critique et de réflexion.
Son histoire nous montre quel peut être le prix à payer en France pour celui qui désire vivre et exercer son métier sans renier ses valeurs chrétiennes.
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COMMANDES et RESERVATIONS IMMEDIATES :
- livre : 10 euros l'exemplaire
ou 50 euros les 10
Prix Frais de port compris (France) - Règlement par chèque.
- disponible également en version numérique sur clé USB : 5 euros frais de port compris
Pour l'outre-mer et l'étranger : devis gratuits par mail ou téléphone à votre demande.
NB : Tous les bénéfices seront reversés au combat pour le respect de la vie. Vous avez aussi la possibilité de soutenir notre action en envoyant un chèque à l'ordre de Provie France à l'adresse ci dessous. Tous les dons sont les bienvenus, il n'y a pas de "petits" dons, merci de votre générosité.
Vous avez un peu de temps ? Vous pouvez nous aider bénévolement ? N’hésitez plus ! Contactez nous !
Editions Résistances - P. ISNARD
23 rue Agassons
La Pinède
04100 MANOSQUEcourriel : defense.vie@gmail.com
tél : 06 64 84 51 39
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Appel (et commentaires) de l'AGRIF
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Philippines : la loi de « santé reproductive » votée par les députés
Malgré l’opposition résolue et très active des évêques de ce pays catholique, les députés viennent de voter la loi de « santé reproductive ».
Les évêques avaient encore adressé aujourd’hui même une lettre ouverte aux députés pour les conjurer de « respecter le droit à la vie, le droit des couples mariés à fonder une famille selon leurs convictions religieuses et morales propres et à être les premiers éducateurs de leurs enfants », invoquant l’intercession particulière de Notre-Dame de Guadalupe, Patronne du mouvement catholique pour la vie « dont la fête est célébrée en ce jour » (dans le nouveau calendrier, et dans l’ancien pour les pays hispanophones). Et les militants pro-vie considèrent que c’est une provocation que d’avoir programmé le vote de la loi en ce jour.
Une ultime manifestation a eu lieu devant le Parlement (au premier rang on voit des prêtres et des séminaristes faisant symboliquement barrage), et il y avait au moins huit évêques dans les tribunes. Mais rien n’y a fait. Les Philippines deviennent un pays au goût de l’ONU en consacrant la « santé reproductive » qui fait de l’espèce humaine une espèce purement animale (car l’homme véritable ne se reproduit pas, il procrée).
Pour l’heure, la loi ne libéralise pas l’avortement. Mais ce sera forcément la prochaine étape, puisqu’elle installe le planning familial, et que tant le planning familial que la « santé reproductive » impliquent la libéralisation de l’avortement.
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La grossièreté laïcarde d’Erwan Binet dénoncée par un prêtre
L’abbé Bernard Pellabeuf a envoyé une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur pour dénoncer l’attitude et les propos inadmissibles du rapporteur du projet de loi sur le « mariage » homosexuels.
Il y souligne aussi que l’argument des promesses de François Hollande ne tient pas, car au second tour il ne s’agit pas d’un vote d’adhésion ; or au premier tour François Hollande a obtenu moins de 29% des voix.
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« Erratum »
Erratum et excuses d’un journal qui se veut 100% culture de mort et a laissé passer une insupportable publicité pro-vie…
« C'est à la suite d’une erreur de fonctionnement interne qu'une publicité de la Fondation Jérôme Lejeune est passée en avant-dernière page de TéléObs. Le "Nouvel Observateur" publie régulièrement des annonces portant sur des causes d'ordre général. Mais il veille à ce qu'elles soient conformes à ses valeurs. Ce n'est pas le cas cette fois-ci : nous demandons à nos lecteurs de nous excuser pour cet impair. Nous veillerons à ce que ce type d’incident ne se reproduise pas. »
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Les évêques suisses font une réponse de Normands…
L’assemblée de la conférence des évêques suisses s’est penchée comme prévu sur la question de l’initiative populaire « Financer l’avortement est une affaire privée ». Les évêques étant très divisés sur la question, la conférence épiscopale a pondu un communiqué mi-chèvre mi-chou. Au lieu de soutenir à fond cette initiative lancée par des élus pro-vie, ils ergotent sur le fait que l’initiative n’est pas contre l’avortement, et que donc, si « les évêques jugent positif » que l’initiative « combatte la “normalité” institutionnalisée de l’avortement », « la discussion sur la manière de le financer ne suffit pas en vue d’une décision pour ou contre l’avortement », et qu’il faut « parvenir à un renversement d’opinion sur la question de l’avortement ». Ce qui est parler pour ne rien dire. Les évêques savent parfaitement qu’il est impossible, dix ans après la votation qui a légalisé l’avortement avec un score de plus de 72%, de revenir sur la loi. Ils savent parfaitement, en revanche, que selon l’enseignement de Jean-Paul II dans Evangelium vitæ, on doit soutenir toute proposition qui permette de revenir un peu en arrière si cette proposition est faite par des gens qui sont contre l’avortement.
Ainsi, le site internet des magazines L’Express et L’impartial peut-il titrer : « IVG : les évêques ne prennent pas position ». Et voilà. Tandis que d’autres médias croient pouvoir laisser entendre que les évêques sont plutôt contre l’initiative, puisqu’ils ont interrogé le porte-parole de la conférence épiscopale, Mgr Markus Büchel, et que celui-ci est précisément l’évêque qui l’avait attaquée…
Le comité d’initiative a tout simplement répondu :
« Ce que veulent les évêques n'est malheureusement pas applicable politiquement, alors que l'initiative populaire veut libérer tous les Suisses de l'obligation de financer l'avortement. »
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Le Sénat vote le charcutage des embryons
Le Sénat a adopté, en catimini, la nuit, à une large majorité, la proposition de loi visant à autoriser la recherche sur les embryons et les cellules souches embryonnaires.
Le Sénat dit donc oui à une nouvelle avancée de la culture de mort, tout en montrant à quel point il est ringard et à côté de la plaque, au moment où seules les recherches sur les cellules souches adultes pluripotentes obtiennent des résultats, comme en témoigne notamment le prix Nobel qui vient d’être accordé à des chercheurs qui travaillent sur ces cellules.
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Aux Philippines
Le président des Philippines Benigno Aquino a demandé hier aux députés de la majorité de faire en sorte que soit adoptée dans les plus brefs délais, cette semaine même, la loi sur la santé reproductive. Le président du Sénat a fait remarquer que c’est impossible puisqu’il faut au moins trois lectures, et qu’en outre il s’agit d’un sujet délicat.
La loi sur la « santé reproductive », selon la formule désormais bien connue, inclut l’éducation sexuelle, la planification familiale, la contraception, et l’avortement.
L’Eglise catholique, qui se bat contre le projet depuis deux ans, souligne que la loi serait contraire à la Constitution, qui garantit la protection de la vie et de la famille.
Elle a appelé les fidèles à trois jours de prière et de jeûne, à partir d’aujourd’hui. L’action se poursuivra par des veillées de prière dans tous les diocèses.