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Culture de mort - Page 156

  • Evidemment qu’un référendum est possible

    Christiane Taubira prétend que la Constitution n’autorise pas un référendum sur le « mariage » homosexuel.

    L'article 11 de la Constitution permet au président de soumettre à référendum un projet de loi « portant sur l'organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale ».

    On voit qu’il n’est pas question des sujets de société, dit Taubira, appuyée par les constitutionnalistes myopes qui sont à son service.

    Il suffit pourtant de regarder l’organigramme du gouvernement. Il y a un grand ministère des Affaires sociales, dont le titulaire est Marisol Touraine. Elle n’est pas la dernière à s’exprimer sur la question, et à juste titre, puisqu’il s’agit d’une question sociale. Et aussi parce son ministère coiffe celui de la famille, dont le titulaire est Dominique Bertinotti, « Ministre déléguée auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, chargée de la famille ».

    Or le « mariage » homosexuel affecte évidemment la famille, donc doublement, si l’on peut dire, les « Affaires sociales ». Par conséquent un référendum sur la dénaturation du mariage entrerait bel et bien dans le cadre des référendums sur la « politique sociale ».

  • Une entreprise qui tourne bien

    Pour son exercice 2011-2012, son chiffre d’affaires est monté à 1,2 milliard de dollars, et elle a dégagé un bénéfice de 150 millions.

    En faisant quoi ?

    En tuant 334.000 enfants.

  • Ce n’est pas inéluctable

    Dans l’Illinois (Chicago), les élus démocrates ont retiré leur proposition de loi sur le « mariage » homosexuel, constatant qu’ils n’auraient pas la majorité au parlement de l’Etat. Pour les médias l’affaire était pourtant entendue… Mais les opposants au projet (dont l’Eglise) ont mené une campagne qui a porté ses fruits.

  • L’avortement en Israël

    Les deux grands rabbins d’Israël, Shlomo Amar et Yon Metzger, soulignent dans une lettre aux rabbins que l’avortement est un meurtre, et appellent à soutenir l’organisation pro-vie Efrat, qui a permis de « sauver en un an 4 000 vies humaines ». Ce n’est pas la première fois que les grands rabbins alertent sur l’avortement, mais leur missive de cette année est plus dure que d’habitude. « Cette année, nous souhaitons faire prendre conscience à un plus large public du caractère extrêmement grave de la décision de tuer un fœtus », disent-ils.

    C’est l’occasion (pour moi en tout cas) de découvrir la curieuse législation israélienne sur l’avortement.

    L'avortement est légal pour les femmes de moins de 17 ans (qui est l'âge légal pour le mariage), pour les femmes de plus de 40 ans, ainsi que dans les cas de viols ou de relations incestueuses. Il peut également être autorisé par une commission médicale en cas de malformation du fœtus ou si la poursuite de la grossesse met la vie de la femme en danger physiquement ou mentalement (ce soi-disant danger mental permettant à peu près à n’importe quelle femme d’avorter, comme dans d’autres pays, et sans limite de grossesse).

  • Le premier mensonge

    Selon les gazettes, le premier bébé de l’année 2013 en France, né à Limoges le 1er janvier juste après minuit,  « a deux mamans ». Et c’est évidemment un beau symbole du « mariage pour tous », que les deux mamans attendent avec impatience…

    Comme l’a remarqué le Salon Beige, il s’agit du premier mensonge LGBT de l’année: ce pauvre bébé n’a pas deux mamans. Il est seulement privé d’un papa.

  • Comment le Conseil de l’Europe impose l’avortement à l’Irlande et à la Pologne

    Par Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ).

    Comment un pays qui a refusé l’avortement à trois reprises par referendum peut se faire imposer sa légalisation au nom d’une Convention qui ne contient pas de droit à l’avortement…

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  • La « santé reproductive » aux Philippines

    Le Sénat a voté à son tour (par 13 voix contre 8) – le Sénat des Philippines n’a que 24 membres – le projet de loi sur la « santé reproductive » (concernant non les bovins ni les porcs, mais les femmes). Le président Aquino a aussitôt déclaré qu’il signerait la loi avant la fin de l’année.

    Mgr Gabriel Reyes, Evêque d’Antipolo et président de la Commission épiscopale Famille et Vie, a envoyé une note à l’agence Fides. « Nous sommes déjà comme en dictature, dit-il, parce que l’exécutif contrôle le Congrès et la magistrature. » Comme nombre d’autres observateurs, il affirme que le président a « acheté le vote », via la contribution électoraliste que les parlementaires reçoivent afin de financer des projets spécifiques dans leurs districts d’origine (qu’ils appellent comme les Américains « pork barel », baril de porc…). Au moins cinq membres du Congrès (Assemblée nationale) et d’autres parlementaires, remarque l’évêque, « ont changé de position à cause de la pression de Malacañang » (le palais de la présidence de la République), ajoutant que « ceci peut devenir une menace pour la démocratie du pays ».

    Le gouvernement a souligné que dans le budget de l’Etat qui vient d’être voté, le budget du ministère de la Santé prévoit déjà les fonds destinés à fournir des services d’éducation sexuelle dans les écoles et à offrir une assistance publique en matière de contraceptifs et de méthodes de planification familiale.

  • « La “tueuse de gays” bénie par le Pape »…

    Ce titre est celui d’un article de Slate Afrique. D’autres sont un peu moins violents, comme celui-ci : Le pape a béni la présidente homophobe du parlement ougandais.

    De quoi s’agit-il ?

    On ne peut que renvoyer à l’excellent travail réalisé par Vini Ganimera (Osservatore Vaticano) sur cette immonde attaque contre le pape… et l’Ouganda.

  • Le genre en folie : les « pink boys »

    J’apprends par un article de Libération que se répand aux Etats-Unis un phénomène appelé « pink boys ». Ce sont des petits garçons qui veulent s’habiller en filles et ne jouer qu’à des jeux de filles : des « enfants en non-conformité de genre » (le rose étant la couleur des filles et le bleu celle des garçons). Naturellement, il faut les soutenir dans leur « non-conformité », et revendiquer qu’on les reconnaisse pour ce qu’ils sont, notamment à l’école. Et il y a donc de plus en plus de parents cinglés et criminels qui soutiennent activement la déviation de leur fils.

    La mère de l’un de ces garçons, devenue ardente propagandiste de la chose, Catherine Tuerk, a même créé avec un psychiatre, Edgardo Menvielle, un groupe de soutien aux familles et un forum internet. Il y a aussi un blog très fréquenté, nous dit-on, qui s’appelle « Pink is for boys » (le rose est pour les garçons), où l’on s’est empressé de traduire l’article de Libération.

    On s’y félicite notamment que l’Association américaine de psychiatrie vienne de changer sa qualification du « transgenre ». Il s’agissait jusqu’ici d’un « trouble de genre », maintenant c’est une « dysphorie de genre ». Sic : le sens est strictement le même, mais en anglais, passer de « disorder », qui fait désordre, à « dysphoria », qui fait savant, c’est une promotion.

    On remarquera que cette folie de genre est étrangement discriminatoire et… sexiste. En effet, il n’y a que des « pink boys », des garçons roses. Il n’y a pas de « blue girls »… Etonnant, non ? Ce sont seulement les garçons qui doivent être subvertis ? Ou et-ce que ce sont seulement des garçons qui se prêtent à ce jeu malsain ?