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Culture de mort - Page 159

  • Un Maltais sur la sellette européenne

    Le problème de Malte est que son personnel politique est catholique à l’instar de sa population. Or le fait d’être catholique est de moins en moins accepté dans les institutions européennes, à la faveur du renforcement de la dictature de l’antidiscrimination (c’est-à-dire de l’homosexualisme) et de la culture de mort. Et voici qu’il fallait changer le commissaire maltais, John Dalli ayant été contraint de démissionner parce qu’il aurait pu être au courant d’une opération de lobbying illégal (à laquelle il n’était pas mêlé).

    Mais à Malte, pour trouver un homme politique chevronné capable d’assumer la charge de commissaire européen, le choix est vite fait. Si ce n’est pas Dalli, ce sera l’actuel vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, Tonio Borg.

    Mais voilà. Tonio Borg est encore plus « conservateur » (c’est-à-dire catholique) que John Dalli. Il est, comme tout le monde à Malte, contre l’avortement, mais il le dit plus que d’autres, il avait pris position contre la légalisation du divorce lors du référendum sur la question, et il est contre toute reconnaissance légale de la cohabitation homosexuelle.

    Tous les lobbies de la culture de mort et de la décadence se sont donc mobilisés pour que soit fait échec à la candidature de Tonio Borg.

    La semaine dernière, il a rencontré les furies officielles LGBT de l’UE : les « libéraux » Sophie in 't Veld et Michael Cashman. Ce dernier a déclaré : « J’ai souligné que les opinions qu’il a exprimées jusqu’ici sont incompatibles avec un poste de responsabilité dans l’UE. » Un autre député libéral, et pasteur luthérien (pasteure luthérienne…), Cecilia Wikstrom, a ajouté : « En tant que libéraux nous devrons voter contre lui et j’espère que d’autres groupes suivront, car c’est un candidat que les non-conservateurs ne peuvent pas accepter. Il n’est pas le bienvenu ici… »

    A un questionnaire écrit du Parlement européen, il a répondu : « Tout au long de ma carrière politique, je me suis battu pour et j’ai défendu les valeurs européennes, telles qu’elles se reflètent dans tous les traités, dont la plus haute expression est aujourd’hui contenue dans la Charte des droits fondamentaux. »

    Et c’est une excellente réponse, car de fait ses opinions ne sont en aucune manière contraires à la Charte des droits fondamentaux et à leur interprétation selon la jurisprudence actuelle de la Cour européenne des droits de l’homme.

    Tonio Borg passe demain au Parleme,nt européen devant la commission de l’environnement, de la santé et de la sécurité alimentaire, et la commission du marché intérieur. Et sa candidature sera ensuite examinée en séance plénière.

  • Demain, le jour de l’enfant à naître au Sri Lanka

    La conférence épiscopale du Sri Lanka fait de demain dimanche le jour de l’enfant à naître, pour protester contre le projet gouvernemental de légalisation (très) partielle de l’avortement.

    Les évêques ont demandé que dans chaque diocèse soient organisés des rassemblements et des prières, particulièrement pour les jeunes, les familles et les médecins, et que dans chaque paroisse soit organisée une quête pour venir en aide aux femmes enceintes et seules ou dans la misère.

    Le projet vise à légaliser l’avortement dans les seuls cas de viol, d’inceste ou de malformation du fœtus. Mais « pour l’Eglise, avorter un fœtus, même s’il est le résultat d’un viol ou de l’inceste, ou s’il est mal formé, est le terrible meurtre d’un être humain innocent, qui est sans voix et sans défense, déclarent les évêques. Pour cette raison, nous condamnons en termes non équivoques un tel processus de légalisation, même quand il s’agit de cas exceptionnels qui sont susceptibles d’attirer l’empathie et la solidarité des gens. Tout avortement est un refus de la vie, une intervention criminelle qui viole le dessein de Dieu pour chaque être humain. L’Eglise a toujours condamné l’avortement. Quelle que soit la justification qu’on prétende apporter à un tel acte, il doit être considéré comme un péché grave, indéfendable par toute institution et toute personne. »

    (Asianews)

     

  • Sodome et Gomorrhe

    En même temps que les élections générales aux Etats-Unis il y avait quelque 172 référendums sur tout le territoire. Le Maine et le Maryland (et peut-être deux autres Etats où l’on n’a pas encore les résultats) ont rendu légal le « mariage » homosexuel. C’est la première fois que le mariage des paires est obtenu par un scrutin populaire. (D’autre part, dans le Colorado et l’Etat de Washington a été votée la légalisation du cannabis « de loisir ». Et la Floride a rejeté l’interdiction des fonds publics pour l’avortement.)

    En Espagne, le tribunal constitutionnel a rejeté le recours du parti populaire contre le « mariage » homosexuel.

    Et chez nous, le projet de loi a été adopté, comme prévu, en conseil des ministres : « Le mariage est contracté par deux personnes de sexe différent ou de même sexe. »

    Au fait, Sodome et Gomorrhe sont des mots tabous sur Google. Quand vous tapez une demande quelconque, vous avez un flot de réponses bien avant d’avoir fini (et qui souvent n’ont rien à voir avec ce que vous cherchez). Mais à partir de « Sodo », vous n’avez plus rien…

  • Le « mariage pour tous » n’est qu’un slogan mensonger

    Quand les homosexualistes et autres destructeurs de la société auront fait passer leur loi, il restera que je n’aurai pas le droit de me marier avec ma mère, ni avec ma sœur, ni avec ma fille, ni avec ma tante, - et, je suppose, ni avec mon père, ni avec mon frère, ni avec mon fils, ni avec mon oncle… ni avec deux hommes, ni avec trois personnes panachées…

    Ni avec quatre femmes. Du moins pour le moment…

  • La dictature homosexualiste contre les orphelins

    Sous couvert de lutte contre toutes les discriminations, une vraie discrimination contre les orphelins, et contre ceux qui cherchent à les faire adopter par de vraies familles: c'est à lire chez Jeanne Smits.

  • Les femmes sont des pères comme les autres (c’est fait)

    Après avoir voté le remboursement à 100% de l’avortement à toutes les femmes, et la gratuité des contraceptifs pour les mineures, les députés ont également (dans le même projet de loi de financement de la sécurité sociale) voté hier, comme prévu, la transformation du « congé de paternité » en « congé de paternité et d'accueil à l'enfant », ce qui permet aux lesbiennes d’être pères : un avant-goût du « mariage » homosexuel. On remarque quand même que c’est une discrimination à l’égard des paires mâles…

  • Le respect de Valls

    Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls représentait le gouvernement français samedi lors de la canonisation du P. Jacques Berthieu au Vatican. Il a dit que sa visite était le signe du "très grand respect" du président François Hollande et du Premier ministre Jean-Marc Ayrault pour "le Saint-Siège et le pape".

    Il a dit aussi qu’il a rencontré Mgr Dominique Mamberti, secrétaire pour les relations avec les États, et qu’il lui a expliqué que le mariage entre personnes de même sexe était un engagement du président de la République, et que le gouvernement se devait donc de le mettre en œuvre…

  • Un avortoir en Irlande du Nord

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    L’officine de culture de mort Marie Stopes international a ouvert hier un avortoir à Belfast : une évidente provocation, puisque l’avortement est quasi interdit en Irlande du Nord : il n’est admis qu’en cas de grave danger pour la mère. Depuis l’annonce de l’ouverture de l’avortoir, une manifestation quotidienne, permanente, avait lieu devant les locaux du « planning familial ». Hier, un millier de personnes se sont réunies (et pas seulement des vieux et des machos, comme en témoigne la photo…) pour dire non.

    Le procureur général a écrit aux députés pour leur offrir son aide s’ils décidaient de lancer une enquête sur les activités de l’établissement. Le ministre de la Santé, de son côté, a assuré les députés que le centre serait poursuivi s’il enfreignait la loi.

    Il n’est pas inintéressant de savoir que la directrice de l’avortoir, Dawn Purvis, a été permanente, porte-parole pour les droits des femmes, député, et enfin présidente du Parti unioniste progressiste, un petit parti protestant extrémiste lié à la tristement célèbre Force des Volontaires d’Ulster, UVF). En 2010, elle a démissionné du PUP après l’assassinat par l'UVF de son ancien militant Bobby Moffet, assassinat qui avait pour but de montrer que l’UVF « n’a pas l’intention de se laisser emmerder ». Sic.

    Dawn Purvis s’est alors présentée en tant que candidate indépendante, l’année dernière, et elle a perdu. La voici reconvertie en avortueuse. « La loi en Irlande du Nord a toujours été très floue pour beaucoup de femmes et de professionnels de la santé. Notre centre va apporter pour la première fois un environnement sûr, chaleureux et à l’écoute », dit-elle…

  • Peillon et le cannabis

    Avec une logique imparable, le ministre de l’Education Vincent Peillon s’est déclaré favorable à la dépénalisation du cannabis (un « sujet majeur »…) au motif que la répression, menée depuis des années, n’est « pas très efficace ». Un argument qu’on peut aussi bien utiliser pour le vol, le viol, le meurtre, mais aussi les excès de vitesse, bref pour tous les crimes et délits.

    Face à la polémique que le propos a suscité, Matignon a réaffirmé ce matin qu’il n’y aurait pas de dépénalisation du cannabis. Et un communiqué du ministère de l’Education fait savoir qu’il s’agissait seulement d’une « réflexion personnelle » du ministre…

    Pas si personnelle que ça. L'idée est évidemment que, puisque les bobos fument du cannabis, et que les bobos votent PS, il faut dépénaliser le cannabis...

    Mais on voit donc qui est le ministre en charge des écoles, et quelle est la morale du personnage qui veut y imposer une morale laïque…

    En attendant, les idoles de M. Peillon, les Jean Jaurès, les Jules Ferry et les Ferdinand Buisson, ont dû se retourner dans leurs tombes…

  • Le cannabis aussi, c’est vert

    Une vingtaine de personnes ont été interpellées dans une vaste affaire de trafic de cannabis et de blanchiment d’argent entre le Maroc, l’Espagne, la Suisse et la France.

    Parmi les 17 personnes interpellées en France, l’élue Europe Ecologie - Les Verts Florence Lamblin, adjointe au maire du 13e arrondissement de Paris, chargée du développement durable et de l'environnement. Les enquêteurs ont trouvé 400.000 € en liquide dans son appartement. Elle a été mise en examen pour blanchiment de fonds liés au trafic de drogue.

    Florence Lamblin dit qu’elle n’a rien à voir avec cette affaire et qu’elle ne sait pas d’où provient cet argent.