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Antiracisme - Page 3

  • Quatre tares

    Des cadres de l’agence de publicité new-yorkaise internationale J. Walter Thompson portent plainte pour discrimination pour avoir été licenciés parce qu’ils sont « blancs, hommes, hétéros et britanniques ».

    La direction de l’agence répond que les licenciements sont légaux et non discriminatoires.

    On verra bien.

    Mais la directrice de l’agence, qui se définit comme une « femme homosexuelle » (deux atouts minoritaires) a déclaré à propos des sphères supérieures de son entreprise :

    « Beaucoup de gens dorment littéralement au travail lorsqu’il s’agit de diversifier leur département créatif au-delà des hommes blancs, pâles et périmés. Il y a encore beaucoup trop de départements créatifs sans créateurs féminins ou noirs et d’une minorité ethnique. »

  • Au petit nègre…

    Les clients du tabac Le Petit Nègre d'Alençon lui offrent un sursis

    Quand j’ai lu ce titre, je me suis étonné que dans la France d’aujourd’hui, pathologiquement « antiraciste », il y ait encore un tabac qui s’appelle ainsi. Il y a tout de même un an qu’on a supprimé l’ignominieux « Au nègre joyeux » de la Contrescarpe, et plusieurs années qu’on a interdit les « têtes de nègre » dans les pâtisseries.

    Je me disais donc qu’on avait accordé un sursis pour la disparition de l’enseigne raciste, mais qu’elle allait bientôt vertueusement disparaître.

    A ma grande surprise, ce n’est pas cela du tout. Il s’agit d’un commerce en grande difficulté financière à cause de travaux à Alençon, et qui est sauvé grâce à la générosité de ses clients.

    Comment l’antiracisme peut-il accepter qu’un tabac s’appelle « Au petit nègre » ?

    Mais oui bien sûr : c’est que le nègre… est le patron. Et qu’on ne peut pas le traiter de raciste…

  • "Enfant de la République"

    J’ai vu sur BFM la désormais fameuse séquence où l’on voit Emmanuel Macron en compagnie de deux jeunes voyous dénudés à Saint-Martin. La fin de la séquence a été une photo où l’on voit le président de la République tout sourire entre les deux personnages, l’un d’eux avec le pantalon baissé et faisant un « doigt d’honneur ».

    Les réactions n’ont pas manqué, mais on sait qu’avec Macron la démagogie la plus sordide n’a plus de limites. Cette photo n’est pas pire que celle (et la vidéo) de la fête de la musique à l’Elysée.

    Ce qui me choque quant à moi est la réaction de Macron aux critiques :

    « J’aime chaque enfant de la République, quelles que soient ses bêtises. »

    Cela non plus, ce n’est pas nouveau. Je me souviens très bien de la déclaration de Jacques Chirac sur « les filles et les fils de la République ».

    Je ne laisserai jamais passer cette imposture. La république est un régime politique. Elle n’a ni fils ni fille, sauf à en faire une idole. Ce qu’elle est de fait, comme on le voit. Et comme « Marianne » le souligne.

    Quant à la dernière ignominie de la Schiappa, il est inutile de s’y appesantir. Sauf qu’elle s’appuie sur le même propos d’Emmanuel Macron dénonçant des « discours de haine » : «  Il faut arrêter de penser que notre jeunesse, parce qu'elle est d'une certaine couleur ou à un moment a fait des bêtises, il n'y a rien à en tirer. »

  • Nouvelles de l’AGRIF

    1) Victoire dans l’affaire du FRAC de Lorraine après 9 ans de procédure !

    Après avoir obtenu gain de cause devant le tribunal de grande instance de Metz, la Cour d’appel de la même ville avait débouté l’AGRIF de ses poursuites contre l’infâme exposition de l’Infamille.

    La Cour de cassation vient de casser très fermement cet arrêt de débouté en rappelant que les juges devaient juger l’atteinte au principe de la dignité humaine qui leur était ainsi soumis par l’AGRIF !

    Dignité humaine, voilà bien tout le sens du combat de l’AGRIF !

    La Cour d’appel de Paris est désignée pour rejuger l’affaire.

     

    2) Poursuites contre Nick CONRAD, raciste rappeur sanguinaire anti-blanc.

    À la suite de la publication sur Youtube d’un clip de rap de 9mn le 17 septembre appelant à pendre les blancs et dont le visionnage soulève le cœur devant la perversité sans limite des horreurs, l’AGRIF, dans sa longue continuité de lutte contre pareilles abominations, engage immédiatement les poursuites qui s’imposent.

  • Le racisme selon Tweeter

    La journaliste républicaine Candace Owens vient de prouver que pour Tweeter il y a un racisme acceptable et un racisme inacceptable. Le racisme acceptable, c’est bien sûr le racisme antiblanc.

    Il y a une grosse polémique aux Etats-Unis à propos de l’embauche par le New York Times de Sarah Jeong, une journaliste qui a publié une série de tweets violemment racistes et orduriers contre les blancs et a même lancé le hashtag #CancelWhitePeople : en finir avec les blancs, éliminer les blancs.

    La direction du New York Times a déclaré que Sarah Jeong n’était pas du tout raciste mais que, d’origine asiatique, elle a subi des harcèlements racistes, et qu’elle a « répondu en imitant la rhétorique de ses harceleurs ». Etant bien entendu qu’elle le regrette et que ça ne se reproduira pas.

    Dans le même temps son ancien employeur affirmait qu’elle était victime de « trolls malhonnêtes ».

    Quoi qu’il en soit, la militante ultra-trumpiste Candace Owens, qui avait créé un site internet et une chaîne Youtube pour inciter les noirs à voter Trump, et qui est aujourd’hui la directrice vedette de Turning Point USA, qui s’adresse aux étudiants, a repris les tweets de Sarah Jeong, a remplacé « blancs » par « noirs » pour certains, « blancs » par « juifs » pour d’autres, et les a publiés sur son compte Twitter. La réaction a été immédiate : dénoncée par les vigilants gardiens du politiquement correct, son compte a été suspendu. Pendant 12 heures. Le temps que la direction de Twitter comprenne que Candace Owens est noire et qu’en réalité elle dénonce un racisme. Le compte de Candace Owens a été rétabli, avec les excuses de Twitter.

    Alors que le compte de Sarah Jeong n’a jamais été suspendu, et que certains de ses tweets racistes y sont toujours.

  • Le racisme de Harvard

    La « discrimination positive » est un racisme très orienté. Tellement orienté que les Américains asiatiques recalés à l’entrée de Harvard alors qu’ils étaient plus compétents que la majorité des étudiants admis, ont porté plainte. Naturellement la direction de Harvard rejette l’accusation. Mais les avocats des plaignants ont épluché les statistiques entre 2010 et 2015 et le résultat est éloquent : pour les asiatiques se situant dans le décile supérieur des compétences académiques, seulement 13,4 % des asiatiques sont admis, comparativement à 18,5 % des blancs, 35% des hispaniques, et 58% des noirs…

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    Dit autrement, un asiatique ayant les qualifications nécessaires pour avoir 25% de chances d’être admis à Harvard aurait 36% de chances s’il était blanc, 77% s’il était hispanique, 95% s’il était noir.

    Un rapport interne de Harvard est arrivé aux mêmes conclusions.

  • "Insulte raciste"…

    « Un dirigeant de Netflix a été limogé pour insulte raciste », nous disent les gazettes.

    Il s’agit du principal porte-parole du géant de la diffusion de films et séries télévisées, Jonathan Friedland.

    Qu’a-t-il fait ? Il a utilisé le « n word ». Le mot commençant par n qu’il est strictement interdit d’utiliser : à savoir « nègre ».

    Mais la véritable information est telle qu’elle est donnée par le titre de Fdesouche : Un dirigeant de Netflix limogé pour avoir prononcé le mot interdit aux blancs dans une discussion sur les mots offensants.

    En effet le mot est interdit aux blancs (très exactement aux "non-noirs"), alors que les noirs l’utilisent en permanence, comme on le voit… dans les films de Netflix. Et c’est précisément de quoi il était question : Jonathan Friedland s’exprimait dans le cadre d’une discussion interne « sur les mots offensants dans les comédies ».

    Mais on ne le plaindra pas. En bon petit soldat de la pensée unique, Jonathan Friedland comprend parfaitement qu’on l’ait viré, et il larmoie :

    Je suis infiniment désolé de la détresse que j'ai causée à des gens dans une entreprise que j'aime et où je veux que tout le monde se sente inclus et apprécié.

  • Délire "antiraciste"

    C’est décidément le Canada qui est à la pointe dans le délire "antiraciste" et la dictature du politiquement correct (en même temps que de la culture de mort, car c’est fondamentalement la même chose).

    Une entreprise de lingerie et de maillots de bain devra payer 5.000 $ à un homme parce que lors d’un entretien d’embauche on lui a demandé l’origine de son nom.

    « Monsieur Kerdougli témoigne qu’il a été insulté et atteint dans sa dignité par la question », déclare le « tribunal des droits de la personne ».

    Salim Kerdougli, d’origine algérienne, postulait pour un emploi de coordonnateur logistique pour la division internationale de cette entreprise.

    Laquelle a un partenaire en Algérie…

  • Le nouveau racisme

    L’université Dalhousie, à Halifax, est l’une des plus importantes universités du Canada. Le poste de vice-proviseur aux affaires étudiantes va devenir vacant. Le proviseur Carolyn Watters a annoncé que le recrutement est restreint aux « personnes racialement visibles » et aux « aborigènes ».

    L’expression « racialement visible » est doublement amusante, car on croyait que les races n’existaient pas, et si elles existent il me semble que la blanche est tout aussi visible que la noire…

    Mais, comme on l’a compris, il s’agit d’augmenter la « diversité » dans les postes de direction. Ou plutôt, en l’occurrence, de ne pas revenir en arrière. Car l’actuelle titulaire, Arig al Shaibah, est très « racialement visible ».

    On remarque que ça ne fait que deux ans qu’Arig al Shaibah est vice-proviseur. Il semble que son départ ne soit pas sans rapport avec l’incident d’octobre dernier, quand elle a voulu punir une étudiante, et qu’elle a été désavouée.

    L’étudiante, Masuma Khan (non seulement très « racialement visible » mais portant en permanence un authentique hijab), vice-présidente du syndicat étudiant, avait été en pointe dans le vote de refus des étudiants de cette université de participer au 150e anniversaire du Canada, parce que fondé par des blancs colonialistes et racistes, bien sûr, alors même que Trudeau avait bien évidemment fait de cet anniversaire l’occasion d’une célébration de la diversité. Mais c’est justement la repentance de Trudeau qui avait excité la très voilée Masuma. Elle avait écrit sur sa page Facebook : « Que les blancs fragiles aillent se faire foutre. Vos larmes de blancs ne sont pas sacrées, cette terre l’est. »

    Arig al Shaibah (musulmane non voilée d’origine soudanaise semble-t-il) avait entamé une procédure disciplinaire contre Masuma Khan (musulmane voilée d’origine pakistanaise) pour utilisation de propos dégradants et intimidants. Evidemment il y eut une polémique (chez les blancs non racialement visibles, surtout), et Arig al Shaibah dut mettre immédiatement fin à la procédure à peine enclenchée, au nom de la liberté d’expression qui, dans ce sens-là, est sans limite.

  • Chronique des cinglés

    Un nouveau « jeu de rôle », Kingdom Come Deliverance, est sous le feu de la critique de la bien-pensance, parce que ce jeu est manifestement raciste : on n’y trouve aucun « non-blanc » !

    Le producteur ose répondre que le jeu se déroule en Europe centrale au début du XVe siècle, et qu’on n’y voyait guère de non-blancs…

    A quoi le site Numerama répond dans un long article que « le prétexte historique ne tient pas face à l’histoire », car les historiens disent qu’il y avait quelques « roms » ou « tsiganes » (dont on ne savait pas qu’ils fussent noirs ou jaunes…), et le site ajoute motu proprio (les historiens faisant preuve d’une insuffisance coupable) qu’on pouvait voir dans ces lieux en ces temps, même si c’était rare, un noir, ou un « marchand d’esclaves arabe ». Sic !