« Un dirigeant de Netflix a été limogé pour insulte raciste », nous disent les gazettes.
Il s’agit du principal porte-parole du géant de la diffusion de films et séries télévisées, Jonathan Friedland.
Qu’a-t-il fait ? Il a utilisé le « n word ». Le mot commençant par n qu’il est strictement interdit d’utiliser : à savoir « nègre ».
Mais la véritable information est telle qu’elle est donnée par le titre de Fdesouche : Un dirigeant de Netflix limogé pour avoir prononcé le mot interdit aux blancs dans une discussion sur les mots offensants.
En effet le mot est interdit aux blancs (très exactement aux "non-noirs"), alors que les noirs l’utilisent en permanence, comme on le voit… dans les films de Netflix. Et c’est précisément de quoi il était question : Jonathan Friedland s’exprimait dans le cadre d’une discussion interne « sur les mots offensants dans les comédies ».
Mais on ne le plaindra pas. En bon petit soldat de la pensée unique, Jonathan Friedland comprend parfaitement qu’on l’ait viré, et il larmoie :
Je suis infiniment désolé de la détresse que j'ai causée à des gens dans une entreprise que j'aime et où je veux que tout le monde se sente inclus et apprécié.
Commentaires
A mourir de rire!
" où je veux que tout le monde se sente inclus et apprécié."
Tout le monde, sauf lui !
le mot raciste ne veut plus rien dire, et ne sert plus que d'invective gratuite
j'ai été traité de raciste, sur internet, pour avoir dit que dans mon enfance on entendait surtout parler patois sur le marché, et que maintenant on y entend plutôt parler arabe
en fait, nos intello de gauche ont emprunté le vocabulaire national-socialiste, et pour eux le mot français "race" a le sens de "die Rasse".
On a décrété l'adolescence à vie des populations étrangères à nos pays et à notre civilisation sous prétexte d'émancipation.
Pour nous, chacun est responsable de ses actes commis librement, pour un africain ou un maghrébin, il est jamais responsable si cela nuit à son image et sa réputation. Alors, comme il faut bien trouver un responsable, c'est le racisme, l'exclusion, nous.
Ceux qui ont imposé cette dialectique tordue, d'ailleurs, ne sont souvent pas africains ou maghrébins, mais ont besoin d'une clientèle, les avocats sans salaire bénissent l'anti racisme, d'un électorat, la gauche est sauvée ainsi, d'un paradis cosmopolite à offrir aux gogos, et donc d'un diable, d'un méchant responsable de tous les malheurs.
Il y avait le principe de réalité qui s'imposait à une raison droite, plus question quand ça touche aux minorités ethniques. Comme disait Madiran, on entre dans le tabou religieux, le "culte de l'Autre suprême."
Comme disait leur grand ancien, Rousseau, "écartons les faits car ils ne relèvent pas de la question".
Ras-le-bol de ce délire suicidaire de l'Occident
Est-il encore temps de se relever?