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Antiracisme - Page 6

  • Il y a quand même des limites ?

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    Les médias et hérauts de la bien-pensance européiste étaient bouleversés ces derniers jours par les propos atrocement racistes, homophobes et misogynes de Günther Oettinger, commissaire européen à l’Economie numérique.

    Devant des patrons, ne sachant pas que quelqu’un le filmait, Oettinger a raconté sur le ton de la plaisanterie une récente réunion avec des responsables chinois : des « Schlitzohren und Schlitzaugen » - que l’on peut traduire par : « aussi roublards que bridés », littéralement : à l’oreille fendue et à l’œil fendu. « Neuf hommes, un parti, pas de démocratie. Pas de quotas pour les femmes et donc, logiquement, pas de femme. Ils sont tous en costume, la même veste bleu marine à une poche, ils ont tous les cheveux peignés de gauche à droite au cirage noir… »

    Et d’autre part il a ironisé sur le mariage homosexuel qu’une loi allait sûrement bientôt nous imposer aussi en Allemagne…

    Il paraît que dire cela c’est violemment homophobe.

    En Allemagne, la secrétaire générale du SPD a tonné que les « opinions racistes et homophobes » d’Oettinger le disqualifiaient, et le groupe socialiste du Parlement européen a dit de même, appelant Mme Merkel et M. Juncker à prendre leurs responsabilités, c’est-à-dire à faire démissionner Oettinger.

    Interrogé sur le sujet, Jean-Claude Juncker a déclaré que, tout aux négociations du CETA, il n’avait pas eu le temps de se pencher sur l’affaire. Quant au porte-parole de la Commission, harcelé par les journalistes, il a dit et répété que la Commission n’avait pas à s’excuser pour ce genre de propos. Et à la question de savoir si elle allait diligenter une enquête, il a répondu : « Il n’y pas de FBI à la Commission. »

    L ‘audition devant le Parlement européen de Günther Oettinger, nommé futur commissaire au Budget par Juncker le 28 octobre, risque cependant d’être agitée…

  • Le raciste de la Place Vendôme

    Tout le monde sait – à force de martèlement, ça finit par entrer dans le crâne des plus obtus – que « les races n’existent pas ». Aussi est-ce avec effarement que je voyais hier soir défiler sur France 3, en permanence, à jet continu, l’« alerte enlèvement » indiquant qu’un enfant avait été « enlevé » par… son père, de… « race noire ». (Euh, j’insiste monsieur le policier de la pensée, c’est pas moi, c’est le ministère de la Justice, à la télé.)

    Naturellement, Pavlov a réagi. Et le ministère a modifié (deux fois) son texte (une première fois l’homme était de « peau noire » - sic, puis il est devenu « de couleur noire ») avant de s’excuser…

    On espère seulement que le raciste du ministère, qui avait bien caché son jeu sous Taubira, et qui a ignoblement profité de la détresse d’une mère pour lancer son venin, sera rapidement démasqué et passé par les armes.

  • Surréaliste

    Discriminations dans les entreprises : le fait religieux redouté par les salariés

    Il a fallu que je lise l’article pour comprendre ce titre. Il veut dire, non pas que les salariés redouteraient « le fait religieux » (nom correct de l’islam), comme le laisserait penser la seule deuxième partie, mais que les salariés redoutent la discrimination qui résulte du « fait religieux ». Ce que souligne ensuite un intertitre : Une forte montée des craintes liées à la religion. La crainte de la discrimination en raison de la religion. En clair, les salariés ont de plus en plus peur d’être discriminés parce qu’ils affichent de plus en plus leur croyance islamique…

    Mais oui. C’est vrai, puisque c’est une étude du… Medef. C’est son baromètre annuel qui « permet de mettre à jour les craintes des salariés en matière de discriminations »…

    Euh, non, "Medef" ne veut pas dire « Musulmans des entreprises de France ». Du moins pas encore.

  • Tout sauf l’homme blanc

    Le comédien Jon Holmes, qui participait à une émission vedette de la Radio de la BBC depuis 18 ans, a été licencié parce qu’il est homme et blanc. Du coup, « les personnalités du monde du spectacle et de tout le spectre politique ont réagi avec fureur contre la politique mise en œuvre par la BBC, selon laquelle le choix des artistes se fait désormais en fonction de leur sexe ou de leur couleur de peau, au lieu de leur talent ».

    Cela fait des mois que la BBC proclame qu’elle a décidé d’embaucher tout sauf des hommes blancs. Depuis le mois de mai elle réserve ses stages de haut niveau à des « diversités ». Et pas seulement selon le sexe et la couleur de peau. Elle a aussi décidé que 10% des animateurs devaient être LGBT (ils n’étaient « que » 4,5% au début de l’année).

    Il a fallu qu’un animateur vedette se fasse licencier pour que le monde du spectacle et de la politique réagisse… Gageons que ce monde va très vite se rendormir, puisque la BBC ne fait que mettre en œuvre l’idéologie aujourd’hui régnante.

  • Voici à quoi ressemblent les fraudeurs

    « Fraudeurs, pour vous les règles ont changé ». Tel est le slogan d’une campagne de la RATP, la SNCF et la région Ile-de-France, annonçant un plan renforcé de lutte contre la fraude dans les transports. Avec à la clef un durcissement des sanctions.

    Voici les trois affiches. Alors que toutes les publicités se croient obligées désormais de montrer des « personnes de la diversité », ici on voit que les fraudeurs sont exclusivement des blancs. Plutôt BCBG. Comme les coupables de mariages forcés vus par Julie Gayet ou Marie Gillain.

    Et ça ce n’est pas de la discrimination raciale ?

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    Il en est de même pour les allocations familiales. La fraudeuse est forcément une blonde…

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  • Le racisme de SOS

    Selon Dominique Sopo, président de SOS Racisme, il y aurait en France des « quartiers maghrébins », et dans ces quartiers les non-maghrébins n’auraient pas le droit de dire « On est chez nous ».

    De fait, si le quartier d’une ville française est maghrébin, la réaction devrait être « On n’est plus chez nous »…

    En l’occurrence le quartier en question est celui de Lupinu, à Bastia.

    On peut constater que le conseil de quartier est constitué de : Antoine Barbera, Hafid Maroni, Daniele Mattei, Césaire Raffini, Cathy Campocasso, Mathieu Biancardini. Sur ces six personnes, je n’en vois qu’une qui a un prénom maghrébin (avec un nom corse). Le conseil de quartier serait-il donc composé de colonisateurs corses du quartier maghrébin ?

    Sans doute doit-on répondre à Dominique Sopo ce que lui-même a répondu à Claude Goasguen… sur les Maghrébins :

  • La coiffeuse et le hijab

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    Une coiffeuse norvégienne, Merete Hodne, a comparu hier pour discrimination islamophobe. En octobre, elle avait refusé une femme dans son salon parce qu’elle était voilée.

    Elle avait déclaré : « Je ne veux pas de ce mal dans une pièce où c’est moi qui décide. Ce mal, c’est l’idéologie islam, le mahométisme, et le hijab est le symbole de cette idéologie comme la croix gammée est celui du nazisme. »

    Comme elle avait refusé de payer l’amende de 8.000 couronnes (870€) pour discrimination, l’affaire a été portée devant le tribunal. La police a demandé que l’amende soit portée à 9.600 couronnes, ou que la coiffeuse soit condamnée à 19 jours de prison si elle continue de refuser de payer.

    La femme au hijab avait dit : « Cela ne peut pas être mal d'ouvrir la porte d'un salon de coiffure pour demander combien ça coûte de faire des mèches. Je me sens profondément humiliée quand je suis traitée de cette manière dans l'espace public dans mon propre pays. »

    Il faudra qu’elle prenne des cours du soir pour apprendre qu’une musulmane ne se découvre jamais dans l’espace public, et donc ne peut pas se faire coiffer dans un salon de kouffar.

    Addendum.

    Merete Hodne a été condamnée à une amende de 10.000 couronnes, et à payer 5.000 couronnes de frais judiciaires. Elle a l'intention de faire appel.

  • Racisme triomphant

    Un « séminaire de formation à l'antiracisme » réservé aux « victimes du racisme d’Etat », donc excluant d’emblée les blancs, va se dérouler du 25 au 28 août à Reims.

    « La non-mixité est une nécessité politique », soulignent les organisateurs.

    Ce racisme revendiqué ne pose aucun problème à la directrice du centre qui héberge le séminaire, ni à la Ville de Reims : « Rien ne permet d'interdire cette rencontre à ce jour. »

    Nul doute que les réactions auraient été les mêmes si le séminaire avait été une formation à l’antiracisme excluant les noirs…

    Et voilà une illustration de plus que l’antiracisme n’est qu’une forme de racisme, qui anesthésie les esprits.

  • Une diffamation surréaliste

    Sur Le Figaro-Vox, entretien avec Gilles Clavreul, délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme (Dilcra):

    - Les groupes d'extrême droite tels que les identitaires sont classés comme étant infréquentables et parfois dissous. Les Indigènes bénéficient-ils d'une certaine complaisance politique et médiatique?

    - Des passerelles existent entre les deux camps. Sur l'antenne de Radio Courtoisie, on a pu entendre un panégyrique d'Houria Bouteldja, comparée à Barrès par Bernard Antony, le leader historique de la droite intégriste. Il y a des échanges idéologiques constants entre ces formes de haine, mais aussi des convergences: sur la dénonciation du complot juif, la haine des francs-maçons ou encore l'homophobie.

    Je ne sais pas ce que boit ou ce que fume M. Clavreul, mais c’est finalement assez caractéristique de l’idéologie de ces gens-là. On ne s’embarrasse pas de la vérité, on invente n’importe quoi pourvu que ça puisse nuire à « l’extrême droite », puisqu’il ne s’agit pas de lutter contre un racisme inexistant (sauf de la part de certains qu’on n’a pas le droit de nommer), mais toujours contre « l’extrême droite »…

    On suppose pourtant que M. Clavreul sait que Bernard Antony est le président fondateur de l’AGRIF, organisation antiraciste reconnue par la République… Et que le même Bernard Antony sait aussi déposer plainte pour diffamation, et que, n'en déplaise à M. Clavreul, il lui arrive de faire condamner ses diffamateurs...

    Addendum

    Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

    Dans le Figarovox de ce jour, M. Gilles Clavreul, Délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme (Dilcra), ose écrire ceci : « Sur l'antenne de Radio Courtoisie, on a pu entendre un panégyrique d'Houria Bouteldja, comparée à Barrès par Bernard Antony, le leader historique de la droite intégriste ».

    M. Clavreul tronque totalement les propos de Bernard Antony qui consistaient à ironiser sur les écrits de Mme Bouteldja, une de ses principales ennemies politiques. L’écoute de l’intégralité de l’émission, facilement disponible, permet de mesurer l’étendue suffocante du mensonge de M. Clavreul.

    M. Clavreul semble ignorer totalement que l’AGRIF a été la seule à intenter des procès à Mme Bouteldja pour racisme antiblanc et anti-français, devant le tribunal de Toulouse, en appel et en cassation. Elle a en outre poursuivi le principal idéologue du PIR, M. Saïd Bouamama, devant le Tribunal de Paris puis la Cour d’Appel. Déboutée, elle s’est pouvue en cassation.

    M. Clavreul se ridiculise totalement par ses hallucinants propos calomniateurs. Bernard Antony déclenche ce jour les poursuites qui s’imposent pour diffamation.

  • D’autres sont français

    Déclaration de Bacary Sagna, tapeur de ballon de l’équipe de France, à propos de la polémique sur l’absence de Maghrébins dans l’actuelle sélection :

    « Le coach a dû faire des choix. Moi je suis noir, certains sont maghrébins, d’autres français ou chinois, c’est le monde qui est comme ça. »