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  • Ah, vous l’avez perdue ?

    Avec cette immense hypocrisie liée à tout ce qui concerne la culture de mort, le Parlement fédéral belge a ajouté à la liste des atteintes à l’intégrité des personnes la « perte de grossesse ».

    Selon l’article 79 du Code pénal, la « perte de grossesse » se définit comme «  le fait de mettre fin prématurément à une grossesse, contre la volonté de la personne enceinte et quels que soient les moyens utilisés à cet effet  ».

    Mais le Code, qui se garde de définir le genre de la « personne enceinte », ne définit pas non plus ce qu’est une grossesse…

    Au bureau des objets trouvés :

    — Bonjour, vous avez perdu quelque chose ?

    — Oui, une grossesse.

    — Ah… désolé, on ne nous a pas rapporté un tel article.

  • En plein délire trans (charcutez vos enfants)

    Dans un avis au Parlement, publié hier, Claire Hédon, Défenseur des droits, émet un avis négatif à la proposition de loi visant à encadrer les pratiques médicales mises en œuvre dans la prise en charge des mineurs en questionnement de genre, déposée au Sénat le 19 mars 2024. Parce que ce texte est « de nature à porter atteinte aux droits et à l’intérêt supérieur de l’enfant » : le droit de l’enfant de changer de genre à sa guise sous l’influence des pervers. Et elle « réitère ses recommandations concernant le respect de l’identité de genre à l’école ».

    Cela au moment même où la Société européenne de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent met enfin en garde contre cet horrible délire, Claire Hédon ose écrire que « la présente proposition de loi, en interdisant les bloqueurs de puberté, les traitements hormonaux et certaines opérations chirurgicales aux seuls mineurs transgenres, introduit une différence de traitement entre mineurs transgenres et cisgenres, susceptible de constituer une discrimination à raison de l’identité de genre au regard des droits interne et international, notamment l’article 2 de la CIDE ».

    La République française incite donc les parents à mutiler leurs enfants, à bousiller leurs corps et leurs esprits et à les rendre stériles. Car c'est un "droit" des enfants qui ont échappé au "droit" à l'avortement.

    La société française est donc totalement foutue.

    Et cela s’étale maintenant partout, par exemple dans l’Eurostar :

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    Et il y aura un drag queen pour porter la flamme olympique à Marseille, et un autre à Paris. Un officiel russe a dit que c'est finalement une bonne chose que la Russie soit exclue des Jeux, ça permet d'éviter un tel spectacle de dépravation.

  • L’investiture de Poutine

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    Il neigeait sur le Kremlin, alors que le lilas était en fleur…

    La cérémonie se termine (à 1h30 sur la vidéo) par la bénédiction à la cathédrale de l’Annonciation, ancienne chapelle privée des tsars.

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  • Saint Stanislas

    Le martyrologe romain de ce jour commence ainsi :

    Saint Stanislas, évêque de Cracovie et martyr, qui reçut la couronne du martyre le lendemain de ce jour.

    Dans le martyrologe de demain :

    A Cracovie, en Pologne, l'anniversaire de saint Stanislas, évêque et martyr, qui fut mis à, mort par le roi impie Boleslas. Sa fête se célèbre la veille de ce jour.

    On peut se demander pourquoi sa fête a été décalée d’un jour, alors qu’il n’y a pas de fête le 8 mai dans le calendrier. C’est parce que, avant 1960, on célébrait le 8 mai l’apparition de saint Michel au mont Gargano. Cette fête (double majeur) a été supprimée en 1960, mais Stanislas est resté au 7.

    Le martyrologe de ce jour continue par une longue notice sur Flavie Domitille, qui comme son nom l’indique était de la famille impériale des Flaviens : elle était une petite-fille de Vespasien, une nièce de Titus et de Domitien :

    A Terracine, en Campanie, l'anniversaire de la bienheureuse Flavie Domitille, vierge et martyre. Fille de sainte Plautille, sœur de saint Flavius Clemens, consul et martyr, elle avait été consacrée à Dieu par le pontife saint Clément, qui lui avait donné le voile. Tout d'abord, durant la persécution de Domitien, pour avoir rendu témoignage au Christ, elle fut exilée dans l'île de Ponza avec plusieurs autres, et y souffrit un long martyre. En dernier lieu, elle fut conduite à Terracine, où, ayant converti un certain nombre de personnes à la Foi par ses exhortations et par ses miracles, elle fut, par ordre du juge, brûlée dans la chambre qu'elle habitait, avec deux vierges ses compagnes, nommées Euphrosyne et Théodora ; ainsi se termina pour elle le cours d'un glorieux martyre. On célèbre la fête de Domitille avec celle des saints martyrs Nérée, Achillée et Pancrace le 4 des ides de ce mois (12 mai).

    *

    Saint Stanislas sur mon blog :

    Saint Stanislas dans le bréviaire.

    Saint Stanislas par Jean-Paul II.

    Le tombeau de saint Stanislas.

    La procession de Cracovie.

  • Il y a cent ans

    Le 6 mai 1924, le Synode patriarcal de Constantinople, sous la présidence du patriarche œcuménique Grégoire VII, prend la résolution de suspendre le patriarche Tikhon de la direction de l’Église orthodoxe russe, comme coupable d’avoir causé des troubles dans l’Église (coupable de résister pacifiquement à la persécution bolchevique et de ne pas accepter la constitution d’une Eglise soumise au régime). La résolution est adoptée à l’unanimité.

    Dans le même temps, il reconnaît le synode russe des « rénovateurs » comme chef officiel de l’Eglise orthodoxe russe.

    Les « rénovateurs » sont ceux qui avec la suggestion et l’appui du pouvoir bolchevique ont créé l’« Eglise vivante » pour détourner les fidèles de l’Eglise orthodoxe.

    Dès août 1922 l’archimandrite Jacques Dimopoulo, représentant du patriarche de Constantinople en République socialiste fédérative soviétique de Russie, participait au premier congrès de « l’Église vivante » à Moscou. Du 29 avril au 9 mai 1923, le même participa au deuxième congrès, qui décida de « réduire à l’état laïque » le patriarche Tikhon.

    Malgré le soutien actif des autorités, l’Eglise vivante ne durera pas longtemps. Le fait que son clergé participe à la terrible persécution de l’Eglise orthodoxe la décrédibilise aux yeux des fidèles. Elle connaît rapidement des dissensions internes, et nombre de ses églises restent désertes.

    A partir de 1927, l'Eglise vivante subit les défections de nombreux clercs qui font acte de repentance et reviennent à l'Eglise orthodoxe. Finalement, elle perd le soutien du gouvernement soviétique, et disparaît progressivement, ne se maintenant dans un premier temps que dans quelques grandes villes.

    Ainsi ce qui se passe en Ukraine n’est pas nouveau. Il y a cent ans déjà le patriarche de Constantinople reconnaissait comme Eglise un mouvement fabriqué par un pouvoir antichrétien et condamnait l’Eglise authentique. Mais le sort de la prétendue « Eglise vivante » montre ce que sera celui de la prétendue « Eglise orthodoxe d’Ukraine ».

  • Pâque russe

    Juste pour comparer avec ce qui se passe chez nous…

    C’était hier le dimanche de Pâques en Russie. Vladimir Poutine, qui a participé à la liturgie de la nuit pascale à la cathédrale de Moscou, a publié un message de congratulation aux chrétiens orthodoxes. Il a ajouté : « Les pasteurs spirituels ont toujours été aux côtés du peuple. Et aujourd'hui, face à de graves difficultés, les organisations religieuses chrétiennes apportent une aide efficace et désintéressée à ceux qui ont besoin de soutien et d'attention. » Il a également souligné « l'activité constructive et productive de l'Église orthodoxe russe et des autres confessions chrétiennes », qui préservent le patrimoine historique, culturel et spirituel de la Russie.

    Il a adressé ses vœux au patriarche Cyrille : « Je tiens à exprimer ma profonde gratitude pour votre service infatigable et désintéressé, votre grande contribution personnelle à la préservation des valeurs durables de l'orthodoxie, des traditions historiques, culturelles et spirituelles les plus riches de notre peuple, ainsi qu'à l'éducation de la jeune génération. » Il a remercié le patriarche pour sa « coopération fructueuse en ces temps difficiles, alors qu'il est si important d'unir les efforts pour un développement sûr et le renforcement de la patrie ».

    De son côté, le patriarche a déclaré à Poutine : « Je tiens à vous exprimer ma gratitude particulière pour l'attention inébranlable que vous portez à l'activité de l'Église orthodoxe russe, ainsi que pour le soutien actif que vous apportez à ses diverses initiatives visant à renforcer les valeurs spirituelles et morales durables dans la société, l'éducation patriotique et l'unité de notre peuple, ainsi que la véritable souveraineté de la Russie. »

    Valentina Matvienko, présidente du Conseil de la Fédération (le Sénat russe), a également envoyé un message de Pâques au patriarche : « L'Église orthodoxe russe unit les gens dans la recherche du bien et de la justice, dans la préservation des valeurs inviolables, ce qui est particulièrement important aujourd'hui, alors que la Russie traverse une période difficile. Puisse la fête de Pâques apporter chaleur, joie et compréhension mutuelle dans chaque foyer. » Elle a souligné que cette fête, « qui remplit des millions de cœurs d'amour, d'espoir et de foi dans le triomphe de la vie, et encourage les gens à faire de bonnes actions », est une composante spirituelle à part entière de la société russe, un symbole de sa force morale.

  • Enfin…

    La Société européenne de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, dans sa revue du même nom éditée par le groupe allemand Springer, met en garde les médecins contre les traitements « transgenres » auprès d'enfants et d'adolescents souffrant d'un « trouble du genre ». Elle les appelle à « ne pas promouvoir des traitements expérimentaux et inutilement invasifs dont les effets psychosociaux ne sont pas prouvés et, par conséquent, à adhérer au principe Primum non nocere (d’abord ne pas nuire) ».

    Elle souligne « le manque de fiabilité et l'instabilité d'un diagnostic de dysphorie de genre chez un enfant donné au fil du temps » et « les effets possibles des décisions de bloquer la puberté ou d'empêcher la transition médicale sur le développement psychosocial de l'enfant ».

    Le document rappelle les quatre principes éthiques fondamentaux qui doivent être respectés, le premier étant le « principe de non-malfaisance : ne pas utiliser des interventions expérimentales ayant des effets potentiellement irréversibles ou des interventions dont les conséquences à long terme sont inconnues »…

    Le Royaume Uni, le Danemark et la Suède se sont déjà éloignés du « modèle affirmatif de prise en charge » des mineurs « souffrant de dysphorie de genre ». Mais l’idéologie perverse continue de se répandre.

  • En cellule, le joint quotidien

    Une étude de l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT), publiée aujourd’hui, est la première du genre sur les drogues dans les prisons françaises.

    Il en résulte que 26% des détenus, plus d’un sur quatre, donc, affirme fumer du cannabis tous les jours. La moitié des détenus en ont fumé au moins une fois au cours de leur détention.

    Autant dire que le cannabis est déjà dépénalisé dans les prisons… Parce qu’il est évident que de telles quantités ne peuvent pas passer inaperçues… Mais sans doute les taulards sont-ils ainsi plus cools…

    La cocaïne, le crack, le MDMA et l'héroïne circulent également dans les prisons, mais beaucoup moins, sauf pour la cocaïne : 13% disent en avoir pris au moins une fois.

  • L’hystérie trans

    Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans diverses villes de France contre le livre de Dora Moutot et Marguerite Stern Transmania, qui ose dénoncer le charcutage des enfants sous prétexte d’impossible changement de sexe.

    A Strasbourg, le slogan était : « Dora Moutot au fond du Rhin. »

    La victime a réagi : « Cela se passe en France : des centaines de personnes réclament mon assassinat à Strasbourg parce que je soutiens qu’être une femme n’est pas un sentiment mais une réalité biologique. »

    Nous en sommes là, en effet.

    J.K. Rowling, auteur de Harry Potter, elle-même cible d’une violente campagne (à laquelle participent les deux principaux acteurs des films réalisés d’après les romans), lui a apporté son soutien :

    « En tant que personne dont la mort a été réclamée sur des pancartes exactement pour la même raison, j’envoie à Dora Moutot mon affection et mon soutien. D’ailleurs, Strasbourg est la ville de mes ancêtres maternels et a une longue histoire d’invasion par des despotes. »

    Sur le Salon Beige on voit une brève vidéo ou un activiste LGBT, dans un état second (trans = transe ?) fait répéter à la « foule » : « A bas l’Etat, les flics et les fachos ! » On ne voit pas vraiment le rapport, mais on voit l’inspiration…

  • Fabius anti-français

    J’ai été attiré par ce titre du Figaro :

    Laurent Fabius : « La préférence nationale, appliquée de façon systématique, est contraire à la Constitution ».

    L’interview est réservée aux abonnés. On peut toutefois lire le début, et ça suffit :

    « La Constitution ne s’oppose pas à ce que le bénéfice de certaines prestations sociales pour les étrangers en situation régulière soit soumis à une condition de durée de résidence ou d’activité, mais cette durée ne peut priver les personnes défavorisées d’une politique de solidarité nationale, comme le prévoit le préambule de la Constitution de 1946. »

    Fabius ne sait pas ce qu’il dit. Il ne connaît plus le sens des mots. C’est volontaire, bien sûr, mais c’est très grave quand le président du Conseil constitutionnel français montre à ce point comme il est militant contre la nation française.

    Car c’est le concept même de « solidarité nationale » qui implique, dans les mots eux-mêmes, ou sinon ils n’ont plus de sens, qu’il s’agit de la solidarité entre membres de la nation française. Et donc qu’elle ne s’exerce pas, en tant que telle, envers des gens qui ne font pas partie de la nation, qui n’ont pas la nationalité française.

    Il aura fallu attendre le XXIe siècle pour avoir besoin de rappeler une telle évidence, une telle tautologie, contre un président du Conseil constitutionnel militant de l’idéologie cosmopolite, qui dynamite la Constitution dans son principe même.