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Enfin…

La Société européenne de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, dans sa revue du même nom éditée par le groupe allemand Springer, met en garde les médecins contre les traitements « transgenres » auprès d'enfants et d'adolescents souffrant d'un « trouble du genre ». Elle les appelle à « ne pas promouvoir des traitements expérimentaux et inutilement invasifs dont les effets psychosociaux ne sont pas prouvés et, par conséquent, à adhérer au principe Primum non nocere (d’abord ne pas nuire) ».

Elle souligne « le manque de fiabilité et l'instabilité d'un diagnostic de dysphorie de genre chez un enfant donné au fil du temps » et « les effets possibles des décisions de bloquer la puberté ou d'empêcher la transition médicale sur le développement psychosocial de l'enfant ».

Le document rappelle les quatre principes éthiques fondamentaux qui doivent être respectés, le premier étant le « principe de non-malfaisance : ne pas utiliser des interventions expérimentales ayant des effets potentiellement irréversibles ou des interventions dont les conséquences à long terme sont inconnues »…

Le Royaume Uni, le Danemark et la Suède se sont déjà éloignés du « modèle affirmatif de prise en charge » des mineurs « souffrant de dysphorie de genre ». Mais l’idéologie perverse continue de se répandre.

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