Réspice, quǽsumus, Dómine, ad Francórum benignus natiónem : et quibus per devótam sanctæ Clotíldis instántiama donum fídei contulísti ; per eius intercessiónem tríbue sincérum christiánæ pietátis afféctum.
Regardez avec bonté, Seigneur, le peuple de France ; Vous qui lui avez fait le don de la foi sur les instances de sainte Clotilde, accordez-lui maintenant, par son intercession, un attachement sincère à la religion chrétienne.
Antiennes du Magnificat des premières vêpres, du Benedictus et du Magnificat des deuxièmes vêpres dans le propre bénédictin de la Congrégation de France :
Sanctificatus est rex Clodovæus, vir infidelis, per Clotildem mulierem fidelem, alleluia.
Le roi Clovis, homme qui n’a pas la foi, est sanctifié par Clotilde, femme qui a la foi, alléluia.
Rex Clodovæus, elevatis ad cælum oculis, ait : Domine Jesu Christe, quem Clotildis prædicat esse Filium Dei vivi : da mihi victoriam, et serviam tibi, alleluia.
Le roi Clovis, élevant les yeux au ciel, dit : Seigneur Jésus-Christ, que Clotilde proclame être le Fils de Dieu, donne-moi la victoire, et je te servirai, alléluia.
Clotildis, mater patriæ, in cælis coronata, fecisti viriliter : adsis, et salva populum, alleluia.
Clotilde, mère de la patrie, couronnée dans les cieux, tu t’es montrée virile, viens sauver ton peuple, alléluia.
Voici les hymnes (de dom Le Bannier ?) que j’essaierai peut-être de traduire un jour… (Mais si quelqu’un veut s’y coller…)