Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Petite pause...

    ... dans les « Notules sur un concile ». Je reprends mon souffle (entre deux séances de kiné etc.) pour me lancer dans Gaudium et Spes

  • De la férie

    Psaume 7 (2)

    Exsúrge, Dómine, in ira tua ; * et exaltáre in fínibus inimicórum meórum.

    Et exsúrge, Dómine, Deus meus, in præcépto quod mandásti ; * et synagóga populórum circúmdabit te.

    Et propter hanc in altum regrédere ; * Dóminus júdicat pópulos.

    Júdica me, Dómine, secúndum justítiam meam, * et secúndum innocéntiam meam super me.

    Consumétur nequítia peccatórum, et díriges justum, * scrutans corda et renes, Deus.

    Justum adjutórium meum a Dómino, * qui salvos facit rectos corde.

    Deus judex justus, fortis, et pátiens ; * numquid iráscitur per síngulos dies ?

    Lève-toi, Seigneur, dans ta colère, exalte-toi aux frontières de mes ennemis.

    Et lève-toi, Seigneur mon Dieu, selon le précepte que tu as établi, et la synagogue des peuples t’entourera.

    Et, pour elle, retourne en haut ; le Seigneur juge les peuples.

    Juge-moi, Seigneur, selon ma justice et selon mon innocence qui sont sur moi (1).

    La méchanceté des pécheurs sera détruite, et tu dirigeras le juste, ô Dieu qui sondes les cœurs et les reins.

    Mon juste secours est du Seigneur, qui sauve les cœurs droits.

    Dieu est un juste juge, fort et patient ; est-ce qu’il se met en colère chaque jour ?

     

    (1) Ma justice et mon innocence ne sont pas de moi, mais viennent d’en haut, explique saint Augustin.

     

  • Conversation obligatoire chez le coiffeur ?

    L’édition du dimanche du quotidien populaire britannique The Sun, toujours à l’affût d’un scandale européen ou d’une mesquinerie de Bruxelles, fait état d’une révolte des coiffeurs britanniques contre un projet de directive européenne « dingue » sur les salons de coiffure.

    Selon le journal, les employés des salons de coiffure auraient interdiction de porter des montres et des boucles d’oreilles, qui sont « anti-hygiéniques », auraient obligation de porter des « semelles antidérapantes », de se laver les mains et de les enduire de crème plusieurs fois par jour, et de bavarder avec les clients pour leur « bien-être mental » : le nombre de coupes serait limité, et les salons devraient distiller une joyeuse atmosphère pour éviter les « effondrements émotionnels ».

    Le ministre de l’Emploi Mark Hoban a déclaré : « Personne n’a à dire aux coiffeurs les avantages de la crème pour les mains ou à leur dicter comment ils doivent s’habiller. Une telle législation conduirait à des coûts supplémentaires et à une note plus importante pour les clients. »

    « Quand il y a peu d’argent et que trouver un emploi est si important, la dernière chose dont nous avons besoin est d’une bureaucratie qui coûte encore plus cher », a déclaré Eileen Lawson, de la fédération britannique des coiffeurs. Laquelle chiffre à 75 millions de livres (93 millions d’euros) le coût de la directive pour les salons de coiffure britanniques.

  • Au Nigeria

    Un kamikaze a fait exploser une voiture bourrée d’explosifs hier dimanche sur la façade de l’église catholique Sainte Rita de Kaduna, au Nigeria.

    Il y a eu 8 morts (dont le kamikaze) et une centaine de blessés.

    De jeunes chrétiens, exaspérés par l'incapacité des autorités à éradiquer la secte Boko Haram, ont ensuite mené des opérations de représailles, au cours desquelles un homme a été brûlé vif avec l’essence de sa mobylette.

  • L'Eglise catholique en Norvège

    « Nous avons entendu comment l'Eglise encore aujourd'hui grandit, vit. Je pense, par exemple, à ce qui a été dit sur le Cambodge, où de nouveau naît l'Eglise, la foi; ou sur la Norvège, et sur tant d'autres », a dit notamment Benoît XVI dans son message de conclusion du synode.

    L’agence Zenit publie des extraits du témoignage de Mgr Berislav Grgic, prélat de Tromsø, au synode le 13 octobre. L’Eglise catholique, qui est une toute petite minorité, est en croissance dans les pays nordiques :

    « De nouvelles églises sont construites ou acquises, de nouvelles paroisses instituées, des rites non latins viennent s’ajouter, le nombre des conversions et des baptêmes d’adultes est relativement élevé, les vocations au sacerdoce et à la vie religieuse augmentent, le nombre des baptêmes dépasse de loin celui des décès et de ceux qui abandonnent l’Église, et la présence à la Messe dominicale est assez élevée ».


    Et il soulignait le rôle spécifique des ordres contemplatifs « qui y ont ouvert des maisons » et  « sont plutôt nombreux ».


  • Notules sur un concile (15) Sacrosanctum concilium (4)

    Le chapitre IV de Sacrosanctum concilium traite de l’office divin. On nous rappelle que c’est « la voix de l’Epouse elle-même qui s’adresse à son Epoux, et mieux encore la prière du Christ que celui-ci, avec son Corps, présente au Père ».

    Mais ce chapitre est entièrement consacré à la réforme de l’office divin, donc du bréviaire, qu’on ose appeler « restauration » alors qu’il s’agit d’une démolition en règle.

    Lire la suite

  • De la férie

    Psaume 7 (1)

    Dómine, Deus meus, in te sperávi ; * salvum me fac ex ómnibus persequéntibus me, et líbera me.

    Nequándo rápiat ut leo ánimam meam, * dum non est qui rédimat, neque qui salvum fáciat.

    Dómine, Deus meus, si feci istud, * si est iníquitas in mánibus meis,

    Si réddidi retribuéntibus mihi mala, * décidam mérito ab inimícis meis inánis.

    Persequátur inimícus ánimam meam, † et comprehéndat, et concúlcet in terra vitam meam, * et glóriam meam in púlverem dedúcat.

    Seigneur mon Dieu, j’ai espéré en toi, sauve-moi de tous ceux qui me persécutent, et délivre-moi !

    De peur que comme un lion il ne ravisse mon âme, et qu’alors il n’y ait ni rédempteur ni sauveur.

    Seigneur mon Dieu, si j’ai fait cela, s’il y a l’iniquité dans mes mains,

    Si j’ai rendu le mal pour le mal, que je tombe à juste raison, vide, devant mes ennemis.

    Que l’ennemi poursuive mon âme, et qu’il la prenne, et qu’à terre il foule aux pieds ma vie, et qu’il traîne ma gloire dans la poussière.

  • Le Christ Roi

    A l’Évangile, le Christ est debout, prisonnier, devant Pilate. Le représentant officiel de l’empereur romain qui règne sur le monde est assis à son tribunal et il pose au Christ cette question : “ Es-tu roi ? ” “ Je le suis. ” La réponse ne pouvait être plus précise, plus claire ni plus vraie. Elle sortait de la bouche de celui qui allait bientôt, en signe de suprême dérision, être couronné d’épines et nanti d’un manteau et d’un sceptre de roi, et qui règne à jamais sur le trône céleste comme Roi du temps et de l’éternité. — La scène que nous venons de rappeler, extraite de l’Évangile de saint Jean, le disciple bien aimé, n’avait été chantée jusqu’ici, au cours de l’année liturgique, que dans la Passion du vendredi-saint. Elle est désormais utilisée comme Évangile dans tout le monde catholique à la grande fête royale de Notre Seigneur Jésus Christ. C’est un point culminant dans la liturgie de cette nouvelle fête solennelle.

    Dom Pius Parsch

  • Les femmes sont des pères comme les autres (c’est fait)

    Après avoir voté le remboursement à 100% de l’avortement à toutes les femmes, et la gratuité des contraceptifs pour les mineures, les députés ont également (dans le même projet de loi de financement de la sécurité sociale) voté hier, comme prévu, la transformation du « congé de paternité » en « congé de paternité et d'accueil à l'enfant », ce qui permet aux lesbiennes d’être pères : un avant-goût du « mariage » homosexuel. On remarque quand même que c’est une discrimination à l’égard des paires mâles…

  • Le message du synode

    Il est ici.

    Je l’ai lu intégralement.

    Vous n’êtes pas obligé d’en faire autant.

    La seule chose amusante (mais pas du tout étonnante) est qu’on constate, paragraphe après paragraphe, que le texte a été écrit par les personnes qui préparent les discours de Benoît XVI : c’est, tout au long, du Benoît XVI sans Benoît XVI…