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  • Sainte Brigitte

    Sainte Brigitte est née en 1303 en Suède, nation qui, trois siècles auparavant, avait accueilli la foi chrétienne. Elle reçut de ses parents cet héritage spirituel et le transmit à son tour. Comme épouse, avec délicatesse et douceur, Brigitte aida son mari à progresser dans la vie chrétienne. Comme mère, elle éduqua ses enfants avec sagesse et pédagogie. Sa famille devint ainsi une vraie « Eglise domestique », nous enseignant par là que la « spiritualité conjugale » est un cheminement solidaire vers la sainteté. Devenue veuve, Brigitte distribua ses biens aux pauvres, et s'établit dans un monastère cistercien. Là, elle reçut de nombreuses révélations. Elle contempla spécialement la Passion du Christ, expression de l'amour infini de Dieu, et la maternité douloureuse de Marie, Médiatrice et Mère de miséricorde. Abandonnant la Suède, Brigitte s'établit à Rome où elle désirait obtenir du Pape l'approbation de la Règle d'un Ordre religieux composé de moines et de moniales. Elle consacra les dernières années de sa vie à l'apostolat et à la prière. Chers amis, que sainte Brigitte, co-patronne de l'Europe, témoin de l'influence du christianisme dans la vie des peuples de ce continent, intercède pour que l'Europe sache toujours s'alimenter à ses racines chrétiennes!

    Résumé en français de la catéchèse de Benoît XVI, le 28 octobre 2010.

  • Un label européen du patrimoine antinational…

    Les députés de la commission culture et éducation du Parlement européen ont approuvé mercredi, à l'unanimité, un rapport qui marque l'accord avec les Etats membres sur la création d’un label du patrimoine européen. Il sera soumis au vote en novembre.

    Les députés précisent à propos des sites auxquels le label sera attribué que « ce n'est pas l'architecture ou l'esthétique qui seront valorisés, mais leur pertinence pour l'histoire et le patrimoine commun ».

    Par conséquent « les sites transnationaux seront privilégiés, vu leur symbolique particulière pour une histoire européenne commune »...

  • Afghanistan : dix ans

    C’est le 7 octobre 2001 que les Américains ont commencé à bombarder l’Afghanistan.

  • L’étonnante ingérence du comité Nobel

    Le prix Nobel de la paix a été attribué à trois femmes, dont deux Libériennes, dont l’actuelle présidente de la République, Ellen Johnson Sirleaf.

    Ellen Johnson Sirleaf se présente à nouveau à l’élection présidentielle qui aura lieu… mardi prochain.

    Et le même jour auront lieu les élections législatives et sénatoriales, où le « parti de l’unité » de la présidente bénéficiera lui aussi du prestige du prix Nobel…

    Je ne sais pas si Ellen Johnson Sirleaf mérite le Nobel de la paix, mais il n’était pas compliqué de le lui attribuer une autre année…

  • Encore une « mission » pour noyer le poisson

    Cette fois, c’est sur les livres scolaires. Confiée par Luc Chatel à Michel Leroy, inspecteur général de l’Education nationale.

    Parce que « des interrogations se font jour régulièrement sur les contenus des manuels scolaires, mais aussi sur la pertinence et leur usage dans un contexte pédagogique, culturel et technologique en forte évolution ».

    L’originalité de cette mission est qu’elle noie deux poissons à la fois : le scandale de l’enseignement du genre, et le scandale de la destruction de l’enseignement de l’histoire.

  • « Sur le concept du visage du fils de Dieu »

    Communiqué de Bernard Antony, président de l’AGRIF

    Le président du Tribunal de Grande Instance de Paris vient d’autoriser ce jour l’AGRIF à assigner d’heure à heure le Théâtre de la Ville de Paris pour le 17 octobre 2011 à 10 heures, date à laquelle sera plaidée par notre avocat Maître Jérôme Triomphe la demande d’interdiction du spectacle intitulé « Sur le concept du visage du fils de Dieu ».

    Il s’agit d’un spectacle produit en Avignon et programmé du 20 au 30 octobre au Théâtre de la Ville de Paris, émanation de la Mairie de Paris et subventionné par des fonds publics, dans lequel un vieillard diarrhéique est présenté en couches-culottes puis nu et maculé d’excréments dont l’odeur est envoyée dans la salle pour mieux immerger le spectateur.

    Nous sommes là en présence d’une atteinte à la simple dignité humaine, qui fait partie du combat de l’AGRIF aux termes de ses statuts. Mais il y a pire, puisqu’après ce tableau une quinzaine d’enfants viennent sur scène pour jeter des grenades sur l’immense portrait du Christ qui se trouve en toile de fond. Puis ce portrait est déformé de l’intérieur et se met soudain à dégouliner d’excréments avant que n’apparaisse l’inscription finale en anglais « You are not my sheperd ! » (Tu n’es pas mon berger !)

    Ainsi, sans cesse s’enfle une vague d’abomination antichrétienne et antihumaine.

    L’AGRIF, à son niveau, l’affronte.

  • Notre Dame du Rosaire

    Nous confirmons ensemble aujourd'hui que le Rosaire n'est pas une pratique reléguée au passé, comme une prière d'un autre temps à laquelle on pense avec nostalgie. Le Rosaire connaît en revanche un nouveau printemps. C'est sans aucun doute un des signes les plus éloquents de l'amour que les jeunes générations nourrissent pour Jésus et pour sa mère Marie. Dans le monde actuel qui est si fragmenté, cette prière nous aide à placer le Christ au centre, comme le faisait la Vierge, qui méditait intérieurement tout ce qui se disait sur son Fils, et ensuite ce qu'Il faisait et disait. Quand on récite le chapelet, on revit les moments importants et significatifs de l'histoire du salut; on parcourt de nouveau les différentes étapes de la mission du Christ. Avec Marie, on tourne son cœur vers le mystère de Jésus. On place Jésus au cœur de notre vie, de notre temps, de nos villes, à travers la contemplation et la méditation de ses saints mystères de joie, de lumière, de douleur et de gloire. Que Marie nous aide à accueillir en nous la grâce qui émane de ses mystères, afin qu'à travers nous elle puisse "irriguer" la société, à partir de nos relations au quotidien, et la purifier de si nombreuses forces négatives en l'ouvrant à la nouveauté de Dieu. Le Rosaire, quand il est prié de manière authentique, non d'une manière mécanique et superficielle, mais profonde, apporte en effet la paix et la réconciliation. Il contient en lui-même la puissance qui guérit du très saint Nom de Jésus, invoqué avec foi et amour au centre de chaque Ave Maria.

    Benoît XVI, Sainte Marie Majeure, 3 mai 2008.

  • Deux ans après, le premier train de la concurrence

    Après de longues années de résistance, le trafic voyageurs des chemins de fer a finalement été ouvert à la concurrence le 13 décembre 2009, date butoir imposée par l’Union européenne. Le poids du monopole de la SNCF est tel que divers projets n’ont pas pu aboutir, en dehors de l’alliance entre la SNCF et son homologue italien Trenitalia pour quelques trains entre la France et l’Italie. Alliance qui n’a pas duré longtemps : Trenitalia a décidé de s’associer avec Veolia. L’entreprise s’appelle Thello, et elle va faire circuler ses premiers trains, entre Paris et Venise, le 11 décembre prochain.

  • La grande mosquée des Ulis

    La première pierre de la grande mosquée des Ulis a été posée samedi dernier.

    Il s’agit de la (très) grande mosquée conçue par l’association Al Andalous, qui a l’oreille du maire, mais qui est minoritaire dans la ville. L’autre association, plus ancienne, est l’ACMU (association cultuelle des musulmans des Ulis), qui gère l’actuelle mosquée (un bâtiment Sonacotra) et qui est à l’origine du projet de grande mosquée…

  • Une autre église copte attaquée

    Des musulmans ont tenté lundi de détruire l’église Sainte-Marie de Elmadmar (province de Sohag). Mais les forces de police les en ont empêché.

    Hier, quelque 500 coptes ont manifesté devant le siège du gouverneur de la province d’Assouan, pour protester contre la destruction de l’église d’Elmerinab, et pour demander la destitution du gouverneur qui nie qu’il s’agisse d’une église et considère que les torts sont partagés.