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  • Le Premier ministre juge que l’immigration a atteint un niveau inacceptable

    C’est le Premier ministre britannique, David Cameron :

    "Ces dernières années, nous avons eu une immigration nette d'environ 200.000 personnes au Royaume uni, ce qui représente deux millions de personnes supplémentaires tous les dix ans. Il s'agit d'un niveau inacceptable qui doit être réduit et je suis convaincu qu'il est possible de le réduire en faisant en sorte que les entreprises puissent recruter des talents."

    Il a ajouté qu’il voulait ramener l'immigration nette en dessous de 100.000.

  • La BBC découvre l’école musulmane

    Selon une dépêche de l’AFP : « des » élèves de « certaines » écoles musulmanes de Grande-Bretagne se voient enseigner comment appliquer les châtiments corporels contenus dans la loi islamique de la charia, « révèle » une enquête de la BBC.

    Ah ben oui, dans les écoles musulmanes on apprend la charia. L’étonnant serait qu’on ne l’y enseignât point… Et la charia, c’est notamment l’amputation des voleurs. Ben oui.

    Et l’on apprend aussi aux élèves que ceux qui ne croient pas en l'islam sont condamnés au "feu de l'enfer" après la mort. Ben oui. Mais là ce n’est pas la charia, c’est le Coran.

    Quoi qu’il en soit, cela n’émeut en rien le ministre de l’Education. Ce qui l’interpelle, c’est seulement le contenu antisémite de cet enseignement, sur lequel il a demandé un rapport…

  • Intégration

    Alaeddine Yahia, tapeur de ballon au RC Lens :

    « Je suis né en France mais je suis et me sens Tunisien. La Tunisie, c’est mon pays, ma culture. »

    (Team Tunisie, via F. Desouche)

  • Une hirondelle

    Mgr James, évêque de Nantes, vient de nommer les abbés Jouachim et Roseau, membres de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre, vicaires de la paroisse saint Clément pour leur apostolat (qu’ils exerçaient déjà) auprès des fidèles attachés à la forme extraordinaire. L’évêque reconnaît donc ainsi officiellement leur mission. Et il va visiter la paroisse le 9 janvier prochain.

  • Quelle affaire !?

    Les protestations des organisations juives concernant le propos de Benoît XVI sur Pie XII « le Juste » qui a « sauvé des juifs plus que personne » sont passées à la trappe. On ne parle que du préservatif, seul sujet intéressant du livre à paraître…

    Les adeptes de la religion du caoutchouc sont partagés, mais pour l’essentiel ils saluent l’avancée. Les « traditionalistes » ont trouvé une occasion de tirer à boulets rouges sur le pape qui jette aux orties la doctrine de l’Eglise…

    En fait il n’y a strictement rien de nouveau dans ce que dit Benoît XVI, sinon que pour la première fois c’est un pape qui dit ouvertement ce qui se dit dans le secret du confessionnal (où il s’en dit bien d’autres, même chez les « traditionalistes » les plus sévères).

    Benoît XVI rappelle la doctrine de l’Eglise sur la sexualité. Il ajoute que si un homme prostitué met un préservatif, cela peut être de sa part « un premier pas vers une moralisation, un début de responsabilité permettant de prendre à nouveau conscience que tout n’est pas permis et que l’on ne peut pas faire tout ce que l’on veut ». En bref, à sa pratique doublement mauvaise de la sexualité (homosexualité et prostitution), il est préférable qu’il cherche à limiter la mise en danger de la vie d’autrui.

    Si un bandit va braquer une banque, s’il utilise une arme sans munitions, c’est un premier pas, un début de responsabilité : il ne tuera pas. Ce n’est pas pour autant que l’Eglise admet le braquage des banques ou prône l’utilisation de pistolets non chargés.

    Peut-être certains ont-ils oublié que l’Eglise n’est pas contre un morceau de caoutchouc, mais contre la contraception.

  • Sainte Cécile

    L’Église reconnaît et honore dans sainte Cécile trois caractères dont la réunion la distingue souverainement au sein de cette admirable famille des Bienheureux qui resplendit au ciel, et en fait descendre les grâces et les exemples. Ces trois caractères sont : la virginité, le zèle apostolique, le courage surhumain qui lui a fait braver la mort et les supplices ; triple enseignement que nous apporte cette seule histoire chrétienne.

    Dans ce siècle aveuglément asservi au culte du sensualisme, n’est-il pas temps de protester par les fortes leçons de notre foi contre un entraînement auquel échappent à peine les enfants de la promesse ? Depuis la chute de l’empire romain, vit-on jamais les mœurs, et avec elles la famille et la société, aussi gravement menacées ? La littérature, les arts, le luxe n’ont d’autre but, depuis longues années, que de proposer la jouissance physique comme l’unique terme de la destinée de l’homme ; et la société compte déjà un nombre immense de ses membres qui ne vivent plus que par les sens. Mais aussi malheur au jour où, pour être sauvée, elle croirait pouvoir compter sur leur énergie ! L’empire romain essaya aussi, et à plusieurs reprises, de soulever le fardeau de l’invasion ; il retomba sur lui-même et ne se releva plus.

    Oui ; la famille elle-même, la famille surtout est menacée. Contre la reconnaissance légale, disons mieux, l’encouragement du divorce, il est temps qu’elle songe à sa défense. Elle n’y arrivera que par un seul moyen : en se réformant elle-même, en se régénérant d’après la loi de Dieu, en redevenant sérieuse et chrétienne. Que le mariage soit en honneur, avec toutes les chastes conséquences qu’il entraîne ; qu’il cesse d’être un jeu, ou une spéculation ; que la paternité et la maternité ne soient plus un calcul, mais un devoir sévère ; bientôt, par la famille, la cité et la nation auront repris leur dignité et leur vigueur.

    Mais le mariage ne remontera à cette élévation qu’autant que les hommes apprécieront l’élément supérieur sans lequel la nature humaine n’est tout entière qu’une ignoble ruine ; cet élément céleste est la continence. Sans doute, tous ne sont pas appelés à l’embrasser dans sa notion absolue ; mais tous lui doivent hommage, sous peine d’être livrés au sens réprouvé, comme parle l’Apôtre. (…)

    Le second caractère que présente à étudier la vie de sainte Cécile est cette ardeur de zèle dont elle est demeurée l’un des plus admirables modèles, et nous ne doutons pas que sous ce rapport encore la leçon ne soit de nature à produire d’utiles impressions. L’insensibilité au mal dont nous n’avons pas à répondre personnellement, dont les résultats ne sont pas en voie de nous atteindre, est un des traits de l’époque ; on convient que tout s’en va, on assiste à la décomposition universelle, et l’on ne songe pas à tendre la main à son voisin pour l’arracher au naufrage. Où en serions-nous aujourd’hui, si le cœur des premiers chrétiens eût été aussi glacé que le nôtre ; s’il n’eût été pris de cette immense pitié, de cet inépuisable amour qui leur défendit de désespérer du monde, au sein duquel Dieu les avait déposés pour être le sel de la terre ? Chacun alors se sentait comptable sans mesure du don qu’il avait reçu. Fût-il libre ou esclave, connu ou inconnu, tout homme était l’objet d’un dévouement sans bornes pour ces cœurs que la charité du Christ remplissait. (…)

    Quelle tendresse maternelle Cécile ressentait pour les âmes de ses frères, par cela seul qu’elle était chrétienne ! A la suite de son nom, nous pourrions en enregistrer mille autres qui attestent que la conquête du monde par le christianisme et sa délivrance du joug des dépravations païennes, ne sont dues qu’à ces actes de dévouement opérés sur mille points à la fois, et produisant enfin le renouvellement universel. Imitons du moins en quelque chose ces exemples auxquels nous devons tout. Perdons moins de temps et d’éloquence à gémir sur des maux trop réels. Que chacun se mette à l’œuvre, et qu’il gagne un de ses frères - bientôt le nombre des fidèles aura dépassé celui des incroyants. Sans doute, ce zèle n’est pas éteint, il opère dans plusieurs, et ses fruits réjouissent et consolent l’Église ; mais pourquoi faut-il qu’il sommeille si profondément dans un si grand nombre de cœurs que Dieu lui avait préparés !

    La cause en est, hélas ! à la froideur générale, produit de la mollesse des mœurs, et qui donnerait à elle seule le type de l’époque, s’il ne fallait encore y joindre un autre sentiment qui procède de la même source, et suffirait, s’il était de longue durée, à rendre incurable l’abaissement d’une nation. Ce sentiment est la peur, et l’on peut dire qu’il s’étend aujourd’hui aussi loin qu’il est possible. Peur de perdre ses biens ou ses places ; peur de perdre son luxe ou ses aises ; peur enfin de perdre la vie. Il n’est pas besoin de dire que rien n’est plus énervant, et partant plus dangereux pour ce monde, que cette humiliante préoccupation ; mais avant tout, il faut convenir qu’elle n’a rien de chrétien. Aurions-nous oublié que nous ne sommes que voyageurs sur cette terre, et l’espérance des biens futurs serait-elle donc éteinte dans nos cœurs ? Cécile nous apprendra comment on se défait du sentiment de la peur. Au temps où elle vécut, la vie était moins sûre qu’aujourd’hui. Alors on pouvait bien avoir quelque raison de craindre ; cependant on était ferme, et les puissants tremblèrent souvent à la voix de leur victime.

    Dieu sait ce qu’il nous réserve ; mais si bientôt la peur ne faisait place à un sentiment plus digne de l’homme et du chrétien, la crise politique ne tarderait pas à dévorer toutes les existences particulières. Quoi qu’il arrive, l’heure est venue de rapprendre notre histoire. La leçon ne sera pas perdue, si nous arrivons à comprendre ceci : avec la peur, les premiers chrétiens nous eussent trahis, car la Parole de vie ne fût pas arrivée jusqu’à nous ; avec la peur, nous trahirions les générations à venir qui attendent de nous la transmission du dépôt que nous avons reçu de nos pères.

    Dom Guéranger (1873)

  • 24e et dernier dimanche après la Pentecôte

    Ce dernier dimanche de l’année liturgique pourrait s’appeler dimanche de l’Avent (adventum), puisqu’il annonce le dernier avènement, celui de la fin du temps. Or c’est l’un des trois avènements du temps de l’Avent, qui commencera le dimanche suivant, précisément par la même annonce de la fin du temps.

    Le contexte est certes tout différent. Au premier dimanche de l’Avent, cette annonce est une lointaine prophétie. En ce dimanche, on est vraiment au temps de la parousie. La description des événements est effrayante, mais avec saint Paul dans l’épitre, « nous rendons grâces à Dieu le Père, qui nous a rendus dignes d’avoir part à l’héritage des saints dans la lumière, qui nous a arrachés à la puissance des ténèbres, et nous a fait passer dans le royaume de son Fils bien-aimé, en qui nous avons la rédemption par son sang, et la rémission des péchés ».

  • La mosquée de Grigny

    Le maire communiste de Grigny et le président de l’union des musulmans de la ville ont posé la première pierre de la mosquée.

    Le premier a salué "un projet rassembleur, fédérateur et ouvert aux autres". Le second a déclaré : "C'est un événement symbolique car c'est un lieu qui doit permettre l'unité de tous les habitants de Grigny."

    Sans rire.

  • Le choc significatif de deux nouvelles

    Mercredi, Hillary Clinton, présentant le rapport annuel du département d’Etat sur les libertés religieuses dans le monde, a épinglé… l’Europe :

    "Plusieurs pays européens ont appliqué des restrictions sévères à l'expression religieuse."

    Son adjoint chargé des droits de l'homme, Michael Posner, a ensuite cité l'interdiction de construire des minarets en Suisse et l'interdiction de la burqa.

    Aujourd’hui, on apprend que le Congrès ne fait aucune objection à la vente d’armes à l’Arabie saoudite. Le gouvernement Obama avait notifié cette vente le 20 octobre au Congrès, qui avait un mois pour éventuellement réagir. Il s’agit d’un contrat de 60 milliards de dollars, la plus grande vente d’armes jamais réalisée par les Etats-Unis.

  • Saint Félix de Valois

    Deus, qui beatum Felicem Confessorem tuum ex eremo ad munus redimendi captivos coelitus vocare dignatus es: praesta, quaesumus; ut per gratiam tuam ex peccatorum nostrorum captivitate, ejus intercessione liberati, ad coelestem patriam perducamur. Per Dominum nostrum Jesum Christum…

    O Dieu, qui, par une inspiration céleste, avez daigné appeler votre bienheureux Confesseur Félix, de la solitude du désert à l’œuvre du rachat des captifs ; faites, s’il vous plaît, que son intercession nous obtienne de vous la grâce d’être délivrés de l’esclavage de nos péchés, et de parvenir à la patrie céleste.

    (voir mes notes précédentes, notamment celle-ci)