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  • Pan sur le bec du « vaticaniste »

    Le P. Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint-Siège, a tenu à démentir les « observations soi-disant bien informées » du plus célèbre « vaticaniste », Andrea Tornielli, qui affirmait que le retard de la publication de la constitution apostolique sur les anglicans étaient dus à des dysfonctionnements de la Curie et à des désaccords sur la question des prêtres mariés (surtout sur le célibat des futurs séminaristes).

    Or le retard est « purement technique, afin d'assurer l'uniformité dans le langage et les références canoniques », a dit le P. Lombardi, citant le cardinal Levada.

    Et pour mettre un terme à la rumeur sur le célibat des prêtres et des séminaristes, il a rendu public l'article 6, pour montrer que le retard n'est pas dû à de prétendus désaccords au sein de la curie sur cette question. (Le § 2 de cet article précise, comme on pouvait s'en douter, que les futurs candidats au sacerdoce des ordinariats des ex-anglicans devront être célibataires.)

    Pour plus de précisions, voici la note du Vatican, dans la traduction de l'agence Apic.


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  • Rerum, Deus, tenax vigor

    Rerum, Deus, tenax vigor,
    Immotus in te permanens,
    Lucis diurnæ tempora
    successibus determinans :

    Largire clarum vespere,
    Quo vita numquam decidat,
    Sed præmium mortis sacræ
    Perennis instet gloria.

    Præsta, Pater piissime,
    Patrique compar Unice,
    Cum Spiritu Paraclito
    Regnans per omne sæculum. Amen.

    Immuable vigueur qui soutiens toutes choses,
    Qu'à toutes on voit présider,
    Qui de tous les moments absolument disposes,
    Les fais s'entre-produire et s'entre-succéder,

    Donne un soir éclairé, qui fermant notre vie
    Nous ouvre un tranquille avenir,
    Où pour prix d'une course heureusement finie
    Nous trouvions une gloire à ne jamais finir.

    Que le Père et le Fils accordent cette grâce
    A l'humble ferveur de nos vœux,
    Eux qui règnent sans fin dans cet immense espace
    Que remplit l'Esprit Saint, qui n'est qu'un avec eux.

    (Hymne de none, traduction Pierre Corneille.)

  • Fin de la farce présidentielle afghane

    Hamid Karzai a été déclaré président élu d'Afghanistan (sic) par la Commission indépendante (sic) électorale.

    Hier, son rival Abdullah Abdullah avait retiré sa candidature pour le second tour, prévu le 7 novembre, considérant qu'il y aurait autant de fraudes qu'au premier.

    Hier soir, la Commission affirmait encore que le second tour aurait lieu samedi prochain.

    Ce midi, la Commission déclarait Karzai vainqueur de la présidentielle.

    Ce matin, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon était arrivé à Kaboul pour « parler » de la présidentielle. Il a salué l'annulation du second tour et félicité le vainqueur...

    Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont fait de même.

  • Il n’y a plus de commissaires européens

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le mandat de la Commission européenne a expiré le 31 octobre à minuit.

    Le Conseil européen des 29 et 30 octobre a longuement bavardé sur le changement climatique mais n'a pris aucune disposition à ce sujet.

    De ce fait, depuis hier 1er novembre, 26 des 27 commissaires européens agissent dans la plus totale illégalité car, en droit, ils ne sont plus commissaires. (Seul le président de la Commission, M. Barroso, agit dans un cadre légal, ayant été réélu à son poste par le Parlement européen le 16 septembre dernier.)

    C'est un nouvel exemple de la façon dont les eurocrates se moquent des règles qu'ils ont eux-mêmes édictées.

    Depuis hier, toute déclaration d'un prétendu commissaire européen doit être considérée comme nulle et non avenue.

    Il est du ressort de la Cour européenne de Justice de constater qu'il n'y a plus aujourd'hui qu'un seul commissaire européen, M. Barroso, et que les 26 autres sont des usurpateurs.

  • Chute du mur de Berlin : trous de mémoire et indécentes récupérations

    Communiqué de Bernard Antony

    Le manque de vergogne est à l'évidence très partagé au sein de la classe politico médiatique et intellocratique. Les plus fieffés compagnons de route, des années durant, de tous les régimes léninistes, trotskistes, staliniens ou maoïstes, se pavanent dans la célébration de la chute d'un mur séparant deux zones  dont ils clamaient que l'oppression était à l'Ouest et la liberté à l'Est.

    Les uns ne se souviennent plus d'avoir acclamé l'entrée des chars communistes à Budapest, à Gdansk, à Prague, d'avoir célébré avec Aragon « l'éclat des fusillades » et avec Sartre l'extermination des « salauds ».

    Les autres ne se souviennent plus d'avoir loué avec Bernard-Henri Lévy et Kouchner la révolution culturelle maoïste et ses soixante millions de morts, d'avoir chanté avec un Patrice de Beer ou un Jean Lacouture les gloires des tortionnaires communistes du Vietnam ou des idéologues génocideurs du Cambodge, ou encore d'avoir protégé et honoré le traître Boudarel tortionnaire de nos soldats.

    Cependant, les fondateurs de Chrétienté-Solidarité luttaient en France contre les hordes rouges mais aussi allaient témoigner concrètement, de la Russie au Nicaragua, du Cambodge à la Lituanie, de  la Pologne à  la Croatie, leur soutien aux peuples luttant pour leur foi et leur liberté.

    La seule manifestation de mémoire véritable pour les cent millions d'exterminés du communisme et les souffrances de milliards d'hommes depuis 92 ans sera donc celle qu'organise Chrétienté-Solidarité (samedi 7 novembre de 18 h à 21 h, place du Président Edouard Herriot, Paris 7ème, à côté de l'Assemblée Nationale). Ce sera une manifestation d'Amitié Française et chrétienne, de solidarité humaine, et de prière.

    Ce sera aussi l'expression de la nécessaire vigilance contre les virus mutants du marxisme-léninisme et de l'indignation qui nous saisit devant les actes récents et indécents de la collaboration avec le communisme.

  • Ne faites pas honte à ma mémoire

    Deux des familles de soldats français tués lors de l'embuscade d'Uzbin, le 18 août 2008, en Afghanistan, ont décidé de saisir la justice. Elles doivent porter plainte aujourd'hui pour « mise en danger de la vie d'autrui », selon leur avocat, l'ineffable Gilbert Collard.

    C'est une première.

    Le site Secret défense a publié ce message d'un engagé à sa famille :

    « A mes parents, à ma famille,
    « Je suis engagé, je suis conscient des risques de mon métier, je les assume. Si un jour je ne reviens pas, merci de ne pas faire honte à ma mémoire en engageant ce genre d'action. »

  • Mrap

    Le Mrap a célébré ses 60 ans samedi à l'Hôtel de Ville de Paris. Belle reconnaissance, pour un lobby ex-communiste* islamophile, qui a perdu la moitié de ses adhérents ces dix dernières années.

    mrap.jpg

    Désormais, l'Agrif en a deux fois plus que lui...

    (* Je veux dire que le Mrap a longtemps été dirigé par des communistes, et non qu'il aurait été une courroie de transmission du PCF, ce que, techniquement, il n'était pas, ce qui lui a permis de gagner les procès qu'il intentait contre ceux qui le qualifiaient ainsi.)

  • Cloches

    clocher.jpegL'église Jean XXIII, construite il y a deux ans sur le Plateau, à Sartrouville (un quartier à forte densité musulmane), avait été conçue avec un « clocher » très laid qui ne devait pas accueillir de cloches (comme on le voit sur la photo, le haut est entièrement fermé). La raison officielle était qu'il ne fallait pas perturber les plus proches voisins. En réalité chacun avait bien compris qu'il ne fallait pas « provoquer » les musulmans...

    Or voilà qu'une communauté de religieuses, les Sœurs du Christ, qui fermait ses portes en Bretagne, à Tréguier, a donné ses trois cloches à l'église Jean XXIII. Celles-ci ont été bénies dimanche. La paroisse fait appel à la générosité des fidèles, car leur installation coûtera 40.000 euros. Y compris la modification du clocher ?

    En tout cas bravo à ces religieuses.

    (Information trouvée sur e-deo)

  • Prier pour eux

    Extrait de l'allocution de Benoît XVi à l'Angélus d'hier:

    Demain nous attend la Commémoration annuelle de tous les fidèles défunts. Je voudrais vous inviter à vivre cette occasion selon l'authentique esprit chrétien, c'est-à-dire dans la lumière qui vient du Mystère pascal. Le Christ est mort et ressuscité et il nous a ouvert le passage vers la maison du Père, le Royaume de la vie et de la paix. Celui qui suit Jésus dans cette vie est accueilli là où Il nous a précédés. Alors que nous rendons visite aux cimetières, rappelons-nous que là, dans les tombes, reposent seulement les dépouilles mortelles de nos proches dans l'attente de la résurrection finale. Leur âme comme dit l'Écriture "sont déjà dans les mains de Dieu" (Sag 3,1). Donc la manière la plus efficace de les honorer est de prier pour eux, en offrant des actes de foi d'espérance et de charité. En union dans le Sacrifice eucharistique, nous pouvons intercéder pour leur salut éternel, et expérimenter la plus profonde communion, dans l'attente de nous retrouver tous ensemble, et jouir pour toujours de l'amour qui nous a créés et rachetés.

  • Commémoration de tous les fidèles défunts

    La commémoration de tous les fidèles défunts incite à penser aux morts en général, aux morts de sa famille en particulier, et, par contrecoup, à notre propre mort. Il y a des gens qui ne pensent jamais à la mort. Je n'arrive pas à comprendre comment c'est possible. Car enfin, s'il y a une seule chose dont on soit certain pour l'avenir, et il n'y en a aucune autre dont nous puissions être certains, c'est que nous allons mourir. C'est donc un événement essentiel. C'est même le seul événement essentiel de notre vie à venir. Or on se prépare pour tous les grands événements. Il faut donc se préparer à la mort. Maintenant, et tout le temps. Cela n'a rien de sinistre. Car penser à la mort, c'est penser à Dieu. C'est se mettre en présence de Dieu, amour, lumière, liberté, miséricorde, plénitude de vie. Si l'on pensait à la mort en permanence, on ne pècherait pas, comme l'ont dit et répété les maîtres spirituels. C'est pourquoi saint Barsanuphe de Gaza donnait cette consigne : « Sois vigilant et attends la mort. » Cette veille constante est un enseignement du Seigneur dans l'Evangile. Il s'agit de veiller en attendant... l'Epoux, qui arrive au milieu de la nuit. Veiller consiste à tenir toujours allumée la lampe de la charité : l'amour de Dieu et du prochain. Attendre la mort, non seulement ce n'est pas triste, mais c'est le secret de la joie.