Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon est allé au Spitzberg. Il s'est dit "extrêmement alarmé et surpris" du rythme de la fonte des glaces. "L'Arctique est l'endroit où le réchauffement climatique est le plus rapide au monde. On dirait qu'il agit au ralenti mais en réalité il se fait de plus en plus rapide. Beaucoup plus que prévu." Si les dirigeants internationaux échouent à "agir très vite, a-t-il dit, nous le regretterons amèrement pour l'avenir de l'humanité et du monde".
"Des centaines de milliers de personnes vont mourir si nous n'agissons pas", a renchéri le ministre norvégien de l'Environnement, Erik Solheim.
Et des scientifiques lui ont expliqué avoir constaté ces deux dernières années une soudaine et importante augmentation des émissions de méthane, l'un des gaz à effet de serre les plus agressifs et donc l'un des principaux responsables du réchauffement climatique.
Le même jour, le WWF a présenté un document sur le "réchauffement de l'Arctique", qui est bien plus qu'un simple problème local, c'est un problème global". Selon le WWF, l'Arctique se réchauffe deux fois plus vite que la Terre dans son ensemble et si rien n'est fait, le niveau des océans aura monté d'environ 1,20 mètre en 2100, et les inondations des régions côtières, dues à la fonte des glaces, "affecteront plus d'un quart de la population mondiale". En outre, le réchauffement climatique libère dans la région polaire de grandes quantités de méthane, alors que ce gaz à effet de serre était jusqu'ici "emprisonné dans la glace". Cet effet contribue, à son tour, à l'accélération de la fonte des glaces arctiques.
Tout cela est faux, en dehors de la réalité du réchauffement de l'Arctique. Mais l'Arctique a connu entre 1910 et 1940 un réchauffement plus rapide que celui que nous constatons depuis 1970. Il n'est pas dû à l'effet de serre anthropique, mais aux oscillations naturelles de la température de l'Océan Atlantique.
La hausse du niveau des mers (entre 1 et 1,5 mm par an) n'est pas due à la fonte des glaciers mais à la hausse de la température de l'eau. Or depuis 2003 la température des océans est en légère baisse.
Les glaces arctiques ne contiennent pas de méthane. (Le méthane se trouve dans le permafrost, qui a résisté à des réchauffements climatiques bien plus importants que celui que nous connaissons, si tant est que ce réchauffement existe.)
Les preuves sont ici, et là, entre autres.
Non à la dictature de la fausse écologie, prétexte pour une dictature mondiale.
De falsis œcologistis libera nos, Domine.