Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 6

  • Le travail du dimanche

    n529481353_2158473_1513.jpg

  • Sarkozy par Sarkozy

    Il est là jusqu'en 2017, il bouffé la gauche (mais « quand la fille Le Pen est face à un candidat divers gauche on n'hésite pas une seconde), il a toujours une idée d'avance, il conduira à bien ses réformes dont « l'histoire du dimanche », il a fait « disparaître les chapelles, les sectes et les sous-sectes » à l'UMP...

    (C'est dans Le Figaro.)

  • Sainte Elisabeth de Portugal

    Ange de la paix, mère des pauvres, reine charitable : Elisabeth cumule les titres. Pourtant, elle semble demeurer, pour la postérité, patronne toujours secourable, sinon pleinement imitable, des épouses fidèles bien que trompées. En 42 ans de mariage elle supporte, durant plus de 30 ans, les favorites de son mari. cet euphémisme ne désigne-t-il pas les maîtresses préférées d'un souverain ? En cet environnement, se résoudre à l'infidélité de l'époux, passe encore : élever ses bâtards : suréminente vertu! On pèsera, en ces perspectives, le placide constat du vieil hagiographe :

    Non seulement la sainte femme endure sans se plaindre peines et chagrins ; plus encore, elle éduque comme siens les enfants qui ne sont pas les siens. Surtout, jamais ne se plaint des infidélités du roi.

    Une décennie de bonheur conjugal après la conversion du roi Denis, récompense cette longanimité exemplaire. Aux antipodes du pharisaïsme, la reine constate : La bonté de mon époux couvre ses péchés. Que sa charité efface les miens !
    Somme toute, avant d'envisager le divorce - conduite d'échec -, toute épouse trompée invoquera noble Dame Elisabeth. Son existence illustre en effet par exemples vivants, deux directives évangéliques :

    - Par la patience, vous sauverez les âmes (Lc XXI, 19).

    - Que l'homme ne sépare pas ce que Dieu a uni (Mt XIX, 6).

    Facile à répéter, difficile à vivre !

    Sainte Elisabeth, priez pour nous.

    (Lu sur le site Missel.)

  • Un coûteux mensonge irlandais

    Le Premier ministre irlandais a confié au ministre des Affaires étrangères Micheal Martin la tâche de diriger la campagne pour le oui au second référendum sur le traité de Lisbonne.

    Celui-ci a décidé d'envoyer 1,9 million de cartes postales soulignant que l'Irlande a obtenu de garder son commissaire européen et des garanties juridiquement contraignantes sur l'avortement, le neutralité, la fiscalité et la protection des droits des travailleurs.

    On lit ensuite :

    « Le gouvernement s'est assuré, après des discussions avec tous les Etats membres, que lorsque le peuple aura voté sur le traité de Lisbonne, celui-ci sera accompagné des nouvelles garanties légalement contraignantes concernant ses principales préoccupations. »

    Mais ce n'est pas vrai.

    D'une part les « garanties juridiquement contraignantes » ne concernent ni le commissaire européen ni les droits des travailleurs, mais ne sont que des promesses verbales.

    D'autre part, les « garanties juridiquement contraignantes » ne prendront effet que lorsqu'elles auront été ratifiées par tous les Etats membres à l'occasion d'un nouveau traité européen...

    Ces cartes postales mensongères vont coûter 220.000 euros au contribuable irlandais.

  • Mais que fait la Halde ?

    Promotion 2009 à l'Ecole nationale de ski et d'alpinisme : les 54 nouveaux guides diplômés sont :

    1. Lionel Albrieux ; Geoffroy Arvis ; 3. Alexandre Auchecorne ; 4. Gilles Baudry ; 5. Pascal Bellin; 6. Thomas Berges; 7. Sara Berthelot; 8. Eric Biancarelli ; 9 . Laurent Bibollet ; 10. Thomas Boillot; 11. Nicolas Bonnet ; 12. Ollivier Bres ; 13 . Sébastien Cazorla; 14. Mathieu Cesarano; 15 . Hugues Chardonnet; 16. François Chollet ; 17. Bruno Cobus ; 18. Michel Coranotte; 19. Cyril Cottaz; 20. Emmanuel Dubost; 21. Paul-Philippe Dudas; 22. Christophe Dumarest ; 23. Cyril Dupeyré; 24. Julien Dusserre; 25. Nicolas Faure ; 26. Nicolas Feraud; 27. Basile Ferran; 28. Odillon Ferran ; 29. Patrice Flesch; 30. Vincent François ; 31. Pierre Gaillard ; 32. Olivier Gandy; 33. Benoît Garoute; 34. Antoine Groleau ; 35. Roland Higuera; 36. Mikaël Jacquet; 37. Laurent Labudigue; 38. Jean-Nicolas Louis; 39. Guillaume Lucazeau; 40. Nicolas Magisson; 41. Benjamin Maire; 42. Frédéric Marcellin; 43. Mason Peter; 44. Eric Monnier ;45. David Moratille; 46. Jérôme Para ; 47. Laurent Perquis; 48. Thomas Pietrzyk; 49. Jean-François Reffet; 50. Vincent Rovel; 51. Pierre Soba; 52. François-Régis Thevenet; 53. Sébastien Thiollier; 54. Stéphane Visentin.

    (Le Dauphiné, via François Desouche)

  • Clandestin, et alors ?

    Depuis 6 ans, Alassane nettoyait les carreaux du commissariat d'Orléans.

    Le 10 juin dernier, un policier lui a demandé ses papiers.

    Il n'a pu montrer que sa carte vitale.

    Il a été interpellé et placé en rétention administrative.

    Le lendemain de son placement, le juge des libertés du tribunal de grande instance d'Orléans, saisi par le préfet d'une demande de prolongation de la période de rétention, a annulé la procédure.

    Le parquet n'a pas fait appel.

    (Le Post, via François Desouche)

  • Après Mindanao, Jolo

    Au moins six personnes ont été tuées et 40 autres blessées mardi dans deux attentats à la bombe sur l'île de Jolo, dans le sud des Philippines.

    La première bombe a explosé dans une zone commerciale de l'île de Jolo, tuant six personnes et en blessant 30 autres. Deux heures plus tard, une autre bombe a explosé à proximité d'une jeep militaire de patrouille, à Iligan faisant au moins 10 blessés, dont 3 soldats, selon l'armée.

    A Jolo, c'est Abou Sayyaf. A Mindanao (où l'attentat a eu lieu devant la cathédrale et a fait finalement 6 morts), c'est le MILF. Mais ce sont les mêmes islamistes.

    On notera qu'on ne peut pas incriminer des conflits interethniques, car l'ethnie majoritaire de Jolo, ce sont les Tausug, dont une partie est catholique, et l'autre musulmane.

  • Caritas in veritate

    La troisième encyclique de Benoît XVI est publiée aujourd'hui.

  • 07-07-09

    Il y a deux ans le pape Benoît XVI publiait son motu proprio Summorum Pontificum, dans lequel il disait que tout prêtre peut célébrer la messe selon le missel de saint Pie V qui doit « être honoré en raison de son usage vénérable et antique », et que tout curé doit accueillir les demandes de cette messe quand il existe un groupe stable qui le souhaite.

    Deux ans après, le nombre de lieux de culte paroissiaux où se célèbre la messe traditionnelle en France est passé de 132 à 204.

    Ce qui est dérisoire, quand on sait que le cardinal Castrillon Hoyos n'a cessé de répéter que la volonté du pape était qu'il y ait une messe de saint Pie V dans toutes les paroisses.

    Mais les évêques français, qui ont inventé la parabole de la multiplication des pierres, ont tout fait pour empêcher une véritable mise en œuvre du motu proprio, comme ils l'avaient déjà fait pour celui de Jean-Paul II.

    Le cardinal Castrillon Hoyos quitte la commission Ecclesia Dei, qui doit être intégrée à la Congrégation pour la Doctrine de la foi.

    Dans une interview il déclare :

    Dans la commission Ecclesia Dei, je m'étais proposé trois choses et j'ai pu les accomplir: - que tous les prêtres du monde puissent célébrer librement la Messe, que se libéralise le rite ancien sans oppositions au nouveau et sans que cela soit obligatoire. - faire connaître la richesse de ce rite - enlever l'excommunication des évêques lefebvristes et les rapprocher à nouveau de l'Eglise.

  • Saints Cyrille et Méthode

    Extrait de la catéchèse de Benoît XVI, le 17 juin dernier.

    Les deux frères furent envoyés en Moravie par l'empereur Michel III, auquel le prince moldave Ratislav avait adressé une requête précise : « Notre peuple - lui avait-il dit - depuis qu'il a rejeté le paganisme, observe la loi chrétienne ; mais nous n'avons pas de maître qui soit en mesure de nous expliquer la véritable foi dans notre langue ». La mission connut très vite un succès insolite. En traduisant la liturgie dans la langue slave, les deux frères gagnèrent une grande sympathie auprès du peuple. Toutefois, cela suscita à leur égard l'hostilité du clergé franc, qui était arrivé précédemment en Moravie et qui considérait le territoire comme appartenant à sa juridiction ecclésiale. Pour se justifier, en 867, les deux frères se rendirent à Rome. Au cours du voyage, ils s'arrêtèrent à Venise, où eut lieu une discussion animée avec les défenseurs de ce que l'on appelait l'« hérésie trilingue » : ceux-ci considéraient qu'il n'y avait que trois langues dans lesquelles on pouvait licitement louer Dieu : l'hébreu, le grec et le latin. Bien sûr, les deux frères s'opposèrent à cela avec force. A Rome, Cyrille et Méthode furent reçus par le pape Adrien II, qui alla à leur rencontre en procession, pour accueillir dignement les reliques de saint Clément. Le pape avait également compris la grande importance de leur mission exceptionnelle. A partir de la moitié du premier millénaire, en effet, les slaves s'étaient installés en très grand nombre sur ces territoires placés entre les deux parties de l'Empire romain, l'oriental et l'occidental, entre lesquels il existait déjà des tensions. Le pape comprit que les peuples slaves auraient pu jouer le rôle de pont, contribuant ainsi à maintenir l'union entre les chrétiens de l'une et l'autre partie de l'Empire. Il n'hésita donc pas à approuver la mission des deux Frères dans la Grande Moravie, en acceptant l'usage de la langue slave dans la liturgie. Les livres slaves furent déposés sur l'autel de Sainte-Marie de Phatmé (Sainte Marie Majeure) et la liturgie en langue slave fut célébrée dans les Basiliques Saint-Pierre, Saint-André, Saint-Paul.

    (Voir aussi la conclusion et mon commentaire)