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Evidemment

Selon la circulaire de janvier 2008, les clandestins pouvaient être régularisés à condition qu'ils aient un contrat de travail ou une promesse d'embauche, à durée indéterminée, dans certains secteurs « sous tension ».

On a vu d'abord que les clandestins pouvaient être régularisés dans des secteurs n'appartenant pas à liste limitative donnée par le gouvernement.

On voit maintenant que des clandestins sont régularisés alors qu'ils n'ont qu'un CDD.
En effet, 14 intérimaires clandestins du BTP, pris en charge par Droits devant !, la CGT, le NPA, etc., ont été régularisés le 6 mars.

"Une brèche est désormais ouverte", se réjouit Jean-Claude Amara, qui parle d'une "victoire majeure", car "la question du principe de la régularisation des intérimaires est désormais acquise".

« Ce qui n'est pas pour déplaire également au Medef, en phase avec ce gouvernement et la CGT dans ce domaine, commente Bruno Gollnisch dans un communiqué. Les Français demandeurs d'emplois apprécieront, mais il est vrai qu'un clandestin est moins exigeant en termes de salaires qu'un Français. Cette volonté de faire pression à la baisse sur le salaire des travailleurs français est d'ailleurs une des raisons de la politique d'immigration menée depuis des décennies par l'UMPS et un certain patronat... »

Commentaires

  • Dommage que monsieur Gollnisch emploie l'argument marxiste de l'intérêt des patrons pour les bas salaires.

    Chacun sait que les salaires sont confisqués en grande partie par l'impôt sur le revenu, la TVA et les cotisations Sécurité sociale (contraception, circoncision, avortement, fécondation in vitro etc.)

    Nous ne sommes plus au XIXème siècle pour voir dans le patron celui qui fait pression à la baisse sur les salaires pour augmenter son profit dans l'immoralité complète. Ce schéma marxiste a toujours été faux mais il est manifestement faux aujourd'hui.

    Les vrais motifs des immigrationistes (quel est l'intérêt des salariés français dans l'immigration ?) sont la volonté de détruire la France ethniquement, religieusement et culturellement, le reste est baratin.

  • Merlin: "Dommage que monsieur Gollnisch emploie l'argument marxiste de l'intérêt des patrons pour les bas salaires."

    Je pense moi aussi que l'intérêt des patrons n'explique rien à lui seul. Il y a un autre élément qui va avec, qui est la corruption du gouvernement. Les immigrés sont bon marché parce que les employeurs ne payent pas les coûts infligés par l'immigration au reste de la société. Mais pour nous, c'est très coûteux.

    Comment se fait-il que les patrons aient l'oreille du gouvernement, et pas nous? Peut-être parce que les patrons sont trop proches du gouvernement et qu'ils reversent une partie de leurs gains sous forme de pots de vin à la fois aux partis et aux décideurs politiques. Dans ce cas, avec tout l'argent que nous coûte l'immigration, ça nous reviendrait beaucoup moins cher d'en dépenser une petite partie pour acheter nos propres politiciens. Il suffirait de payer un peu plus cher que les patrons et que le lobby de l'immigration. Mais on a un problème d'organisation. C'est évidemment plus facile d'agir pour un syndicat de patrons.

    Une autre solution serait que les syndicats d'employés négocient avec le gouvernement et les patrons pour qu'on fasse baisser les salaires et qu'on augmente les profits des patrons sans avoir recours à l'immigration. Employeurs et employés y seraient gagnants.

    A long terme, l'immigration est un désastre total. Les enfants et petits enfants des patrons ne seront pas épargnés. Sur le court terme, je doute que l'immigration soit rentable pour les patrons et les investisseurs dans leur ensemble. En effet, les patrons aussi payent des impôts pour financer le coût de l'immigration. Ceux qui n'emploient pas d'immigrés sont donc lésés par ceux qui en emploient. Au final, je soupçonne qu'il y a plus de patrons perdants que gagnants. Même si de son propre point de vue, chaque patron avait intérêt à employer des immigrés plutôt que d'augmenter les salaires, ça ne signifierait pas que ce soit l'intérêt collectif des patrons (chacun a intérêt à tricher, mais la société dans son ensemble a intérêt à interdire la triche, une tâche qui revient au gouvernement et à la police).

    A mon avis, les syndicats de patrons ne défendent pas les intérêts collectifs des patrons et investisseurs. Pas plus que les syndicats d'employés ne défendent les intérêts des employés (leur premier souci devrait être de s'opposer à l'immigration). Et les syndicats de parents d'élèves (noyautés par les profs) se fichent des intérêts des élèves. Enfin, Sarko a visiblement décidé d'en finir une bonne fois pour toute avec les indigènes européens. Donc, je suis d'accord avec la conclusion de Merlin.

  • Merci, Nominoé, de votre aimable avis sur mes opinions.

    Le bien commun (vérité, justice, droits de l'homme et donc honnêteté) est le véritable but de la société politique. Je sais que la fonction publique française est profondément corrompue par la franc-maçonnerie notamment.

    Vraiment dommage que monsieur Gollnisch, à l'exemple de ces malfaiteurs que sont les marxistes soutenus pas certains évêques, diffame ainsi les entrepreneurs sans lesquels il n'y aurait ni commerce ni industrie (voir l'expérience du tout Etat de l'URSS), alors que le vrai problème est la confiscation de la richesse et des gains (même salariaux) par l'Etat et ses démembrement au profit de l'application d'une idéologie.

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