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  • Au moins c’est clair

    « Personne ne souhaite aujourd’hui qu’il y ait dans l’UMP quelqu’un qui puisse avoir la même légitimité à l’intérieur de l’UMP que Nicolas Sarkozy parce que Nicolas Sarkozy doit rester le leader naturel de l’UMP. Il n’est pas le leader juridique, il doit rester le leader naturel. » Déclaration de Jean-Pierre Raffarin.

  • Chrétiens d’Irak

    Un prêtre de l’Eglise chaldéenne et trois diacres ont été assassinés, hier dimanche, à Mossoul. Après la messe, les trois hommes sont partis en voiture. A une centaine de mètres de l’église, une autre voiture leur a bloqué le passage, quatre hommes armés en sont sortis et les ont abattus à bout portant. Le prêtre, Raghib Ganni, 31 ans, avait déjà été la cible d’attaques, et l’église avait été bombardée il y a quelques mois.

    Ce quadruple meurtre a été perpétré alors que se tenait à 25 km de là le synode de l’Eglise chaldéenne. Le dernier synode s’était tenu à Rome, mais cette fois les évêques ont décidé de le tenir en Irak : « Malgré le climat d’insécurité qui règne dans le pays, le Patriarche en personne et les évêques ont choisi de tenir leur synode chez eux et non à l’étranger, comme signe important de solidarité à notre peuple, pour leur dire qu’ils sont présents et que leur vie leur tient à cœur », a expliqué le procureur chaldéen près le Saint-Siège, Mgr Philip Najim.

    Dans le même temps, un couvent des sœurs chaldéennes du Sacré Cœur, dans le quartier Dora de Bagdad, a été investi par un groupe de terroristes en l’absence des deux religieuses. Quand elles sont revenues, elles ont trouvé le couvent saccagé et transformé en base d’opérations militaires.

    On lira dans le prochain numéro de Reconquête un article sur la situation tragique des chrétiens d’Irak. Nous avions annoncé avant l’invasion américaine ce qu’elle entraînerait pour les chrétiens d’Irak. Nous avions hélas raison.

  • Un collège musulman à Vitry-sur-Seine ?

    Le 11 mai dernier a circulé l’information selon laquelle un collège musulman ouvrirait ses portes à Vitry-sur-Seine à la rentrée prochaine. L’information émanait des milieux musulmans, qui annonçaient qu’un dossier allait être déposé, mais pour l’heure personne n’était au courant tant à l’Education nationale que dans la municipalité. Du moins officiellement.

    Dans son blog, Romain Vincent, candidat FN aux législatives, a écrit le 31 mai :

    « Dès le mois de septembre prochain, un nouveau collège musulman devrait ouvrir ses portes à Vitry-sur-Seine. Ce sera le deuxième du genre en Ile-de-France. Regroupés au sein de l'association Education et Savoir, les initiateurs du projet coopèrent au comité des établissements privés que l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) a mis en place. » Il souligne que « la politique du député sortant René Rouquet, également maire d'Alfortville, est à l'origine de telles initiatives » : « Dès 2006, la mairie a en effet décidé de financer la construction d'une mosquée à Alfortville pour un coût de 720.000 euros, entièrement à la charge des contribuables. Quand des élus décident de bafouer ainsi les fondements de la République en remettant en cause la loi de 1905 sur la laïcité, il est logique que des organisations religieuses leur emboîtent le pas avec de nouvelles exigences. »

    On citera (en corrigeant l’orthographe...) le commentaire qui a été publié sur le blog, signé Karim : « Je ne suis pas de droite ni de gauche. Je suis un Français issu de l'immigration. Une fois je me suis fais taper parce que je mangeais pendant le ramadan. J'en ai marre de voir des intégristes faire la loi dans ma ville. Je vote pour toi Romain Vincent, méme si t’es le pote à Le Pen. »

  • Le Pen, l'armée, la nation

    Voici quelques extraits du discours de Jean-Marie Le Pen, lors de la fête du CNC, hier à Villepreux, en commençant par l’hommage à Roger Holeindre.

    Toi, Roger, qui es non seulement médaillé militaire, ancien d'Indochine et d'Algérie, mais aussi écrivain, grand reporter, co-fondateur et vice-Président du Front et ancien député de Seine-Saint Denis, en même temps que vice-Président fondateur du Front National et depuis aujourd'hui, flamme d'or du FN.

    Ta vie était déjà bien remplie.  Mais tu as voulu faire plus encore, et notamment contribuer à restaurer dans l'esprit de nos compatriotes, en particulier chez les jeunes générations, les valeurs patriotiques, religieuses, philosophiques et humaines qui ont fait la grandeur de notre peuple.

    On te trouve toujours, sur le front de l'honneur français, pour lutter contre les campagnes de désinformation, les calomnies et les atteintes à l'honneur de l'Armée française propagées par la plupart des grands médias, et en particulier pour rétablir la vérité sur les campagnes d'Indochine et d'Algérie, par le témoignage de ceux qui ont lutté pour une juste cause.

    Oui, mesdames et messieurs, Roger et le CNC se battent pour des valeurs simples, pour l'honnêteté, la confiance, le don de soi, l'envie de servir et d'être un exemple dans l'honneur et la fidélité.

    Il se bat pour ces valeurs dont parlait si bien le Père Delarue, aumônier des paras et légionnaires en Indochine. Nous luttons tous pour réveiller nos compatriotes abrutis par le matérialisme, la société de consommation et toutes les idéologies chimériques de notre époque. Nous nous battons pour leur faire comprendre qu'il n'y a pas de liberté nationale sans indépendance militaire.

    Notre système de défense, principal gage de notre sécurité, n'existe plus. Jacques Chirac l'a tué, depuis 1995.

    Le motif invoqué, à l'époque, était la fin de la guerre Froide. On nous disait alors que l'armée pouvait être "un peu" - j'insiste sur le "un peu"- réduite, puisque la menace avait disparu.
    Les motifs réels de l'abandon de notre outil militaire étaient en réalité tout autre. C'était les restrictions budgétaires imposées par l'Europe de Bruxelles, le désir de construire une défense européenne et non plus française, et l'acceptation de l'inféodation de la France à l'OTAN.

    (…) L'armée est donc à la limite de ses possibilités, et ce qui reste de sa capacité opérationnelle ne tient plus pour l'instant qu'au dévouement et à la qualité de ses hommes.

    Pourtant, dans l'histoire de l'humanité, une règle d'or, toujours vraie, apparaît comme le nez au milieu de la figure : pour empêcher la guerre, toujours possible, il faut la préparer.

    Et pour bien la préparer, nous devons identifier clairement les menaces et les adversaires potentiels.

    Or, cette menace n'a pas disparu avec le naufrage de l'URSS. Elle est devenue au contraire multiple, protéiforme et géographiquement diversifiée.

    La menace peut par exemple émaner de groupes à revendications religieuses ou politiques, voire d'organisations maffieuses disposant d'équipements acquis sur le marché noir international de l'armement.

    Elle peut viser notre territoire, de manière conventionnelle ou terroriste, allant de l'attentat sanglant à la destruction d'un site sensible, comme une centrale nucléaire ou une usine chimique, en passant par l'empoisonnement du réseau d'eau potable d'une grande ville.

    Elle peut viser nos intérêts économiques, comme le montre l'éventualité d'une guerre américaine contre l'Iran, qui entraînerait le blocage du détroit d'Ormuz, et, probablement, une crise économique sans précédent.

    Elle peut viser nos ressortissants, comme ce fut le cas, il y a peu, en Côte d'Ivoire.

    Elle peut venir de l'extérieur, mais aussi de l'intérieur.

    Je note l'extrême sensibilité de certaines populations étrangères ou d'origine étrangères aux événements du Moyen-Orient,

    Je note l'extrême vulnérabilité de certains à la propagande religieuse et haineuse des imams intégristes, qu'on laisse, contre toute raison, prêcher en toute impunité, mais il est vrai que les gens en place vont jusqu'à encourager ce mouvement, y compris monsieur Sarkozy, qui a organisé le financement de l'Islam sur notre sol !

    La présence en France de ceux qui ont fait des stages au Pakistan ou en Afghanistan, voire leurs premières armes en Bosnie ou au Kosovo, est un risque majeur qu'il faut prendre en compte.

    Comme il faut prendre aussi en compte les facteurs futurs de déstabilisation de régions entières de la planète. Le siècle naissant verra indubitablement des conflits de toutes intensités autour de l'eau potable, nouvel enjeu de survie et de puissance…

    Pour redresser les choses, mesdames et messieurs, il nous faut reconstruire un outil militaire indépendant, adapté à la menace, à nos besoins et à nos intérêts, à la défense prioritaire de la France et des Français, où qu'ils se trouvent dans le monde.

    Cette politique nationale et autonome nécessite des moyens financiers importants, mais aussi et surtout une pensée militaire à la mesure des risques de demain et un sentiment, un esprit national et une volonté de liberté et d'indépendance.

    Elle n'exclut évidemment aucune coopération, aucune alliance, à partir du moment où elle est conforme et utile à nos intérêts.

    Il s'agit là d'un préalable indispensable, ne serait-ce que parce qu'elle nous permettra de peser dans les orientations diplomatiques et tactiques d'une telle alliance.

    Il s'agit du rang de la France, de sa liberté de manœuvre stratégique et militaire, donc politique. Il s'agit, je le répète, de sa capacité à assurer elle-même sa propre survie.

    J'ai donc proposé, pendant la campagne présidentielle, d'infléchir les grands axes de notre politique de défense (…).

    Bien sûr, il ne s'agit là que des mesures d'urgence, c'est-à-dire indispensable à notre survie. Pour assurer l'avenir des jeunes générations, il faut bien autre chose. Il faut une véritable révolution intellectuelle et morale, pour rétablir le lien intellectuel et charnel entre l'armée et la nation.

    L'armée est en effet consubstantielle à la nation. Sans nation, plus d'armée, et sans armée, plus de nation.

    Notre combat vise donc à contribuer à restaurer dans l'esprit de nos compatriotes, en particulier chez les jeunes générations, les valeurs patriotiques et humaines qui ont fait la grandeur de notre peuple.

    (…) L'honneur d'un soldat est comparable à l'âme d'un peuple.

    C'est pour cela qu'il impérativement associer les jeunes générations aux combats du passé. C'est pour cela qu'il faut susciter des manifestations destinées à commémorer les hauts faits de notre histoire militaire, et honorer la mémoire des héros qui ont donné leur vie et honorer aussi ceux qui l'ont risquée pour la France.

  • Saint François Caracciolo

    Votre amour pour le divin Sacrement de nos autels fut bien récompensé, ô François ; vous eûtes la gloire d'être appelé au banquet de l'éternelle patrie à l'heure même où l'Eglise de la terre entonnait la louange de l'Hostie sainte, aux premières Vêpres de la grande fête qu'elle lui consacre chaque année. Toujours voisine de la solennité du Corps du Seigneur, votre fête à vous-même continue d'inviter les hommes, comme vous le faisiez durant votre vie, à scruter dans l'adoration les profondeurs du mystère d'amour. C'est la divine Sagesse qui dispose mystérieusement l'harmonie du Cycle, en couronnant les Saints dans les saisons fixées par sa Providence ; vous méritiez le poste d'honneur qu'elle vous assigne dans le sanctuaire, près de l'Hostie.

    (Dom Guéranger, Année liturgique)

    Cette année, la fête du Corps du Christ a lieu jeudi prochain. Dans le calendrier de l’Eglise grecque melkite catholique, elle est précédée d’une vigile de trois jours, qui commence donc aujourd’hui.

  • Sainte Trinité

    Ex quo omnia, per quem omnia, in quo omnia, ipsi gloria in sæcula.

    A celui de qui tout procède, par qui tout existe, en qui tout subsiste, à lui la gloire à jamais.

  • Le Pen et les valeurs de la France

    Voici quelques petits extraits du discours prononcé ce jour par Jean-Marie Le Pen dans les salons Equinoxe à Paris.

    Le nouveau gouvernement comprend quatre socialistes, parmi lesquels deux noms symbolisent la gauche la plus conformiste qui soit.

    Le premier, M. Jouyet, est un énarque, un ami du couple Hollande-Royal, l’ancien directeur de cabinet de M. Delors quand il présidait la Commission européenne. C’est à cet euro-technocrate que M. Sarkozy a confié le secrétariat d’Etat aux Affaires européennes.

    Le second est Kouchner, qui a passé par tous les ponts aux ânes de la gauche contemporaine (…). C’est à ce tiers-mondiste tiers-mondain mais 100% mondialiste qu’a été confié le ministère des Affaires étrangères. (…)

    Outre Kouchner, plusieurs ministres portent les contre-valeurs de 68 qui, depuis bientôt 40 ans, détruisent les fondements de notre civilisation :

    Mme Bachelot (…), favorable au mariage homosexuel et à l’adoption d’enfants par de tels couples. A ce propos, il n’y a pas de ministre de la Famille. Cela n’est certainement pas un oubli.

    Mme Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur, favorable à la recherche sur les embryons humains, étape décisive dans l’avènement du Meilleur des Mondes, dans lequel l’homme aura perdu toute dignité.

    Mme Albanel, ministre de la Culture, qui a voulu imposer l’année dernière dans la chapelle royale du château de Versailles une manifestation profanatoire intitulée Magie noire pour mariage blanc, soulevant l’indignation non seulement de l’évêque mais aussi du maire de Versailles. (…) Le choix de Mme Albanel montre que l’invocation par M. Sarkozy de 2.000 ans de chrétienté n’était qu’un discours de campagne destiné à tromper les électeurs catholiques. (…)

    C’est au nom de cette discrimination positive que l’UMP veut favoriser l’islam aux dépens des autres religions, notamment aux dépens de celle qui constitue un élément essentiel de l’identité de notre nation : le christianisme. Croyantes ou non, toutes les personnes de bonne foi l’admettent : les racines chrétiennes  de la France sont une évidence, marquée notamment par les figures historiques de Clovis, baptisé en 496, de saint Louis, de sainte Jeanne d’Arc. S’épanouissant dans notre héritage culturel gréco-latin, ces racines ont assuré le rayonnement de la civilisation française. Les valeurs traditionnelles de notre société, même sécularisées, prennent leur source dans le christianisme. La liberté, légalité, la fraternité qui constituent la devise de la République française sont des principes d’inspiration chrétienne. Ainsi la morale enseignée autrefois par les hussards noirs de la République chers à Péguy n’était guère différente de celle transmise par les prêtres. La laïcité elle-même prend sa source dans la réponse faite par le Christ au pharisien lui demandant s(‘il fallait payer l’impôt à César : Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Refusant la confusion en vigueur dans les régimes islamistes, elle établit, non pas une séparation hermétique comme le voudraient certains esprits bornés, mais une distinction équilibrée entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel.

    Ces principes qui fondent l’identité française, M. Sarkozy les bafoue. (…)

    Nous voulons promouvoir et défendre les valeurs qui ont fait la grandeur de la France. Nous refusons donc les revendications communautaristes de toutes sortes, aussi bien celles des associations islamistes qui veulent imposer la charia en France que celles des lobbies homosexuels qui exigent le mariage et le droit d’adopter des enfants.

    Respectueux de la dignité de tout être humain, nous voulons protéger la Vie depuis sa conception jusqu’à son terme naturel.

    (…) Contrairement à ce que prétendent les esprits frileux de l’UMP, du PS et de l’UDF, notre pays n’est pas condamné à finir dans l’hospice euro-bruxellois. Membre du conseil de sécurité des Nations unies, possédant le troisième domaine maritime mondial, la France peut jouer de nouveau un rôle de premier plan dans le monde (…).

    Ce programme de renouveau national, ce ne sont pas les députés sortant de l’UMP qui l’appliqueront. Ils obéissent à des principes contraires aux nôtres. Seul le Front national est aujourd’hui en mesure de le mettre en œuvre. (…)

  • La « fable » de la transmission du savoir antique par les Arabes

    Il y a ceux qui par islamophilie prétendent que tout le savoir antique nous a été apporté par les Arabes. Et il y a ceux qui par islamophobie (et « défense de l’Occident ») prétendent que rien ne nous a été apporté par les Arabes. L’une et l’autre attitudes sont contreproductives pour ceux qui les défendent. On promeut très mal ses idées en tordant la vérité. Il faudrait prendre exemple sur Bernard Antony, capable de polémiques très dures, et qui dans son Histoire des Juifs donne une saisissante illustration de ce qu’est un jugement pondéré respectueux des faits, de tous les faits.

    Non, la « transmission arabe du savoir antique » n’est pas purement et simplement une « fable ».

    Une preuve irréfutable est l’expression « chiffres arabes ». Chacun sait qu’il s’agit des chiffres persans. Mais ils ont été adoptés par le califat de Bagdad et se sont donc imposés dans tout le monde arabe, jusqu’au califat de Cordoue. Et c’est par Cordoue qu’ils sont arrivés en Europe chrétienne où on les a tout naturellement appelés « chiffres arabes ».

    Certains disent que c’est Gerbert d’Aurillac, l’un des hommes les plus savants de son temps, et qui allait devenir pape (Silvestre II), qui a introduit les chiffres arabes dans l’Europe chrétienne.

    Quoi qu’il en soit, Gerbert d’Aurillac, qui aurait pu aller étudier à Byzance (et il sera l’ami de l’empereur Othon II, marié à une princesse byzantine), est allé étudier à Cordoue, parce que c’est à la cour du calife de Cordoue qu’il y avait les plus grands savants et les plus grandes bibliothèques.

    Saint Thomas d’Aquin a connu Aristote par Averroès, qu’il appelle « le commentateur ». Le vrai nom d’Averroès, qui vivait en Espagne, est Abou al-Walid Mohammad ibn Ahmad ibn Mohammad ibn Rouchd. Il commentait Aristote (et Platon) d’après des traductions arabes qui avaient été réalisées à Bagdad et à Damas (souvent par des chrétiens de la cour des califes).

    Il y a donc eu une « transmission arabe du savoir antique » de Bagdad et Damas à Cordoue en passant par l’Egypte. On ne doit certes pas l’exagérer, mais on ne peut la nier.

    Addendum. Une autre preuve irréfutable de "transmission du savoir antique par les Arabes" est le mot algèbre, qui était un mot (al jabr) du titre d’un livre du mathématicien al Khouwarizmi, dont le nom lui-même a donné algorithme. Le mot chiffre est aussi un mot arabe. Quelques autres mots empruntés à l’arabe, indiquant un savoir ou un savoir faire : alambic, alcali, alcool, almanach, amalgame, antimoine, azimut, borax, camphre, coton, écarlate, élixir, goudron, laiton, magasin, maroquin, mousseline, nacre, nadir, nuque, rame (de papier), saphènes (veines superficielles de la jambe, vient d’Avicenne), satin, sirop, soude, sucre, talc, tarif, tasse, timbale, zénith, zéro.

  • Samedi des Quatre-Temps de Pentecôte

    Etant donc justifiés par la foi, ayons la paix avec Dieu par Notre-Seigneur Jésus-Christ, à qui nous devons aussi d'avoir accès par la foi à cette grâce dans laquelle nous demeurons fermes, et de nous glorifier dans l'espérance de la gloire des enfants de Dieu. (...) Et l'espérance ne déçoit pas, parce que l'amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par l'Esprit-Saint qui nous a été donné.

    (épître aux Romains)

  • Etre hostile à la franc-maçonnerie, c’est immoral...

    Le grand maître du Grand Orient de France, Jean-Michel Quillardet, se dit « profondément choqué » par des propos du nouveau premier président de la Cour de Cassation, Vincent Lamanda. Ces propos, qui constituent une « atteinte à l’honneur et à la réputation » des francs-maçons, sont « moralement inacceptables ». Le Grand Orient s’est entendu avec les autres obédiences maçonniques françaises pour mettre au point une « réaction officielle ». Mais dans un premier temps il va « prendre contact » avec Vincent Lamanda « pour savoir s’il confirme ou s’infirme » ces affreux propos que lui attribue Le Monde.

    Qu’a donc dit Vincent Lamanda ? Selon Le Monde, il « a déclaré son hostilité à la franc-maçonnerie ».

    C’est tout ? Oui, c’est tout.

    Il est « moralement inacceptable » qu’un haut magistrat soit « hostile à la franc-maçonnerie »... Parce que la franc-maçonnerie est la conscience de la République, donc aussi de la magistrature, donc aussi de la police, etc.