Préface de la messe ambrosienne :
Vere quia dignum tibi gratias agere, æterne Deus. Qui beatissimam Mariam virginem Unigeniti tui genitricem esse voluisti: quoniam nec alia Deum mater decebat, quam virgo; nec virginem alius filius, quam Deus. Sicut autem divinæ Majestati tuæ in nomine Jesu omne genu flectitur cœlestium, terrestrium et infernorum; sic audito Mariæ nomine, inclinantes se cœli, terra procumbens, trepidantes inferi tuam in Virgine Matre adorandam omnipotentiam confitentur. Et ideo cum Angelis...
Car il est vraiment digne de vous rendre grâces, Dieu éternel qui avez voulu que la bienheureuse Vierge soit la mère de votre Fils unique ; car il ne convenait pas qu’un Dieu ait d’autre mère qu’une vierge, ni une vierge d’autre fils qu’un Dieu. Comme au nom de Jésus tout genou fléchit devant votre divine Majesté, au ciel, sur la terre et dans les enfers, de même, quand est prononcé le nom de Marie, les cieux s’inclinent, la terre se prosterne, l’enfer tremble, confessant votre adorable toute-puissance. C’est pourquoi donc, avec les Anges…
On trouvera ci-dessous mon récit de la journée du 12 septembre 1683, tel que je l’ai publié l’an dernier pour le dixième anniversaire de ce blog.
Mais voici une nouvelle vidéo : le lever de la Reine de Pologne le 27 août dernier à 6 heures, avec la nouvelle couronne qu’elle a reçue la veille, 300e anniversaire de son couronnement par le pape (et la nouvelle couronne du Fils, qu’on ne voit quasiment pas tellement elle réfléchit la lumière).