Comme prévu, le Parlement géorgien a définitivement adopté la loi qui oblige les ONG et médias à indiquer leurs financements étrangers. Par 84 voix contre 4.
Josep Borrell a immédiatement dit « profondément regretter » ce vote, appelant la Géorgie à « revenir fermement sur la voie de l’UE ». Car l’UE « a souligné à plusieurs reprises que la loi adoptée par le Parlement géorgien allait à l’encontre des principes et des valeurs fondamentales de l’UE ». Et d’ajouter bien sûr la menace de sanctions : l’UE et ses Etats membres « examinent toutes les options »…
Car les pays n’ont qu’un droit : celui d’obéir à leurs maîtres de Washington, Londres et Bruxelles. Et c’est très mal de demander à M. Soros et aux autres manipulateurs d’opinion de révéler combien ils donnent pour manipuler l’opinion géorgienne.
Et pour inverser la vérité. Un député d’opposition affirme que le parti Rêve géorgien « sait qu’il perdrait le pouvoir si les élections étaient libres et équitables ». Car les élections ne sont libres et équitables que si elles sont sous l’influence des puissances étrangères. Telle est leur conception de la démocratie. Ouvertement, sans fard.