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Petit rétropédalage

Le ministère britannique de l’Education a décidé :

Suivant les conseils du panel, nous introduisons des limites d'âge, afin de garantir que les enfants ne soient pas enseignés sur des sujets sensibles et complexes avant qu'ils ne soient prêts à les comprendre pleinement. 

Nous précisons également que le concept d'identité de genre - le sentiment qu'une personne peut avoir de son propre genre, qu'il s'agisse d'un homme, d'une femme ou d'un certain nombre d'autres catégories - est très contesté et ne doit pas être enseigné. Ceci est conforme à l'approche prudente adoptée dans notre guide sur les enfants qui se posent des questions sur le genre.

Avec d'autres facteurs, l'enseignement de cette théorie en classe pourrait inciter certains enfants à commencer à s'interroger sur leur genre alors qu'ils ne l'auraient peut-être pas fait autrement, et il s'agit d'une théorie complexe à comprendre pour les enfants.

Les faits concernant le sexe biologique et le changement de sexe continueront d'être enseignés.

« Plus jamais nous n’enseignerons aux jeunes filles qu’elles seraient peut-être plus heureuses en étant garçon », souligne Gillian Keegan, ministre de l’Education, soulignant que « les professeurs sont là pour enseigner des faits aux élèves, et non pour pousser les programmes de groupes militants ».

Elle ne sait pas encore que le « changement de sexe » n’est pas un fait scientifique mais une impossibilité, et que continuer d’enseigner le soi-disant « fait » du « changement de sexe » est toujours une puissante contribution au programme idéologique LGBT…

A propos des limites d'âge, ce qui est décidé est que l’éducation sexuelle ne doit commencer qu’à… 9 ans, et qu’on ne doit parler explicitement des diverses activités sexuelles qu’à 13 ans.

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