Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

fn - Page 9

  • Anne-Christine Royal : la conviction en action

    Anne-Christine Royal, cousine de Ségolène et candidate FN dans la 10e circonscription de Gironde, s’est enchaînée pendant 24 heures à un cep de vigne à Lugon, de vendredi à samedi, « pour marquer symboliquement son attachement au terroir du grand Libournais et pour exprimer son sentiment de révolte » face à la politique européenne menée contre les viticulteurs. Elle entendait « souffrir un peu » avec les viticulteurs « parce que les mots, ça va un temps ».

    Aux dernières heures de son action, elle a tenu une conférence de presse. Se disant « très fatiguée » par sa nuit où elle a « claqué des dents », elle a cependant « eu le sentiment très fort d'être soutenue par l'âme de tous ces gens qui ont travaillé la terre auparavant ». « J'ai eu le sentiment que mon combat était un combat juste. » Plusieurs dizaines de viticulteurs sont venus la voir, certains venant déposer en tracteur des bouteilles vides, en signe de soutien à son action.

    La candidate du FN a critiqué la « démagogie quotidienne des élus qui vont serrer des mains sur les marchés, taper sur l'épaule des viticulteurs en disant “on vous a compris“ alors qu'ils ont par ailleurs tous signé les traités bruxellois qui bradent la France ».

    « Si je suis élue députée, a-t-elle ajouté, je serai le cri de détresse des viticulteurs. Je m'engage à affronter le ridicule et peut-être le mépris de certains élus, je m'engage à ne pas mettre les pieds à l'Assemblée nationale sans avoir attaché à ma cheville un cep de vigne. Et s'il faut, que ce soit en baskets ou en escarpins, traîner pendant cinq ans ce cep de vigne à l'Assemblée, je le ferai jusqu'à ce qu'enfin les viticulteurs soient entendus dans leur détresse et qu'on renégocie les traités bruxellois. »

  • Un collège musulman à Vitry-sur-Seine ?

    Le 11 mai dernier a circulé l’information selon laquelle un collège musulman ouvrirait ses portes à Vitry-sur-Seine à la rentrée prochaine. L’information émanait des milieux musulmans, qui annonçaient qu’un dossier allait être déposé, mais pour l’heure personne n’était au courant tant à l’Education nationale que dans la municipalité. Du moins officiellement.

    Dans son blog, Romain Vincent, candidat FN aux législatives, a écrit le 31 mai :

    « Dès le mois de septembre prochain, un nouveau collège musulman devrait ouvrir ses portes à Vitry-sur-Seine. Ce sera le deuxième du genre en Ile-de-France. Regroupés au sein de l'association Education et Savoir, les initiateurs du projet coopèrent au comité des établissements privés que l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) a mis en place. » Il souligne que « la politique du député sortant René Rouquet, également maire d'Alfortville, est à l'origine de telles initiatives » : « Dès 2006, la mairie a en effet décidé de financer la construction d'une mosquée à Alfortville pour un coût de 720.000 euros, entièrement à la charge des contribuables. Quand des élus décident de bafouer ainsi les fondements de la République en remettant en cause la loi de 1905 sur la laïcité, il est logique que des organisations religieuses leur emboîtent le pas avec de nouvelles exigences. »

    On citera (en corrigeant l’orthographe...) le commentaire qui a été publié sur le blog, signé Karim : « Je ne suis pas de droite ni de gauche. Je suis un Français issu de l'immigration. Une fois je me suis fais taper parce que je mangeais pendant le ramadan. J'en ai marre de voir des intégristes faire la loi dans ma ville. Je vote pour toi Romain Vincent, méme si t’es le pote à Le Pen. »

  • Propos de Le Pen en campagne

    Jean-Marie Le Pen était hier à Nancy. Evoquant les « qualités d’acrobate et d’illusionniste exceptionnelles de Nicolas Sarkozy », il a souligné que celui-ci avait « laissé entendre » qu’il était sur la même longueur d’onde que le FN en faisant référence « à toute une série de valeurs dont nous étions dépositaires », « mais il y a un certain nombre de points sur lesquels M. Sarkozy est en parfait désaccord avec le programme du FN, contrairement à ce que pensent certains de nos électeurs ». Notamment sur l’Europe (Sarkozy veut faire « passer par la fenêtre une Constitution croupion »), les valeurs (il a « confié la politique étrangère à M. Kouchner, figure emblématique de mai 68), ou même la Turquie , sujet sur lequel Sarkozy n’est plus du tout aussi clair que pendant la campagne. Et s’adressant aux électeurs FN : « Je comprends ceux qui ont voté Sarkozy contre Royal mais je les invite à rejoindre leur famille politique. »

    Interrogé sur l’avenir du Front national, il a répondu qu’il se préoccupait surtout de l’avenir de la France, soumise à une immigration massive : « J’ai les plus grandes angoisses pour ma progéniture et mes compatriotes, et les Européens eux-mêmes. Il y a des villes entières françaises qui sont à majorité musulmane, comme Roubaix par exemple ou des villes comme Marseille qui ont 200.000 citoyens musulmans. »

  • « La machine populiste »

    Arte va consacrer le 12 juin une soirée au « populisme » en Europe. En première partie, une « enquête » intitulée La machine populiste. En réalité, c’est évidemment Arte qui fabrique et lance une nouvelle machine de guerre contre ce que la chaîne des intellos appelle le « populisme », qui est une horreur : c’est le nationalisme, la xénophobie, l’extrême droite, etc., qui a en « fil rouge » la désignation d’un ennemi intérieur. Sic.

    Et les Français sont bien placés pour le savoir, puisque si les précurseurs du populisme sont apparus dans les années 70 au Danemark et en Norvège, nous dit-on, c’est l’émergence du Front national en 1983 à Dreux qui a donné son impulsion au mouvement. « Dès lors, explique le réalisateur, le FN s’est imposé sur l’échiquier politique français, il a servi de locomotive aux populistes d’Europe, servant de modèle de stratégie d’intégration aux instances démocratiques. L’extrême droite était jusque là mise à l’écart, constituée de groupuscules de type factieux et antiparlementaires. L’influence de M. Le Pen, élu député européen en 1985, a normalisé sa présence au sein du système démocratique européen. » Alors le populisme est devenu contagieux, les thématiques du Front national se sont répandues comme des cellules cancéreuses dans les autres partis, de droite comme de gauche. Résultat : « Le FN a gagné sur le terrain idéologique, et les thèmes populistes ont triomphé en Europe. »

    Il est quelque peu exagéré de dire, hélas, que les thèmes populistes ont « triomphé en Europe », même si en France en effet c’est le cas avec l’élection de Nicolas Sarkozy.

    On goûtera toutefois de voir un adversaire résolu du populisme en arriver globalement à la même conclusion que ceux qu’il dénonce. Mais c’est bien sûr pour en appeler au combat contre cette hydre effroyable.

    En deuxième partie, Arte se penche plus particulièrement sur... la Pologne, bien sûr, qui est en permanence dans la ligne de mire de la pensée unique. Sous le titre Citizens K.

    K comme Kaczynski... et comme Kolossale finesse d’Arte.

    L’un des auteurs de ce « documentaire » explique que les frères Kaczynski « c’est un autre genre de populisme qu’on ne peut pas mélanger à l’extrême droite ». En bref, ce sont des « démocrates paranoïaques ». Comme on le voit, le documentaire est objectif, et les réalisateurs le soulignent eux-mêmes : ils interrogent seulement des gens qui font partie de la galaxie Kaczynski : « Nous n’avons pas voulu exprimer nos opinions mais plutôt amener le téléspectateur à se faire sa propre idée. » Kolossale finesse, là encore. Chacun sait qu’un savant montage de propos de proches d’une personnalité politique peut être beaucoup plus efficace pour le détruire qu’un reportage donnant la parole à un panel diversifié. Avec cet avantage qu’on fait croire en effet au téléspectateur qu’il se fait sa propre idée, alors que c’est de cette façon qu’il est le plus manipulé.

    La journaliste de l’AFP qui présente longuement ces émissions ajoute le coup de pied de l’âne, à propos des frères Kaczynski : « On apprend notamment qu’ils avaient joué à l’âge de 11 ans, dans un film à succès, le rôle de deux enfants méchants... »

    3756d456cbd4743b3cf8c833dc25db19.jpgOr on n’apprend rien du tout. Dès l’élection de Lech Kaczynski à la présidence de la République, la presse avait rappelé que les deux frères avaient été les héros du film pour enfants Sur ces deux-là qui ont volé la lune (dont le succès ne s’est jamais démenti en Pologne). Il s’agit d’une fable gentillette où deux bambins au visage angélique volent la lune et essayent de la vendre... Ils n’étaient pas plus « méchants » dans ce film qu’ils ne le sont devenus aujourd’hui qu’ils cherchent non pas à décrocher la lune mais à sauver leur pays de la pieuvre euromondialiste, ce qui est au moins aussi difficile.

  • Le Pen en appelle aux électeurs UMP et UDF

    Jean-Marie Le Pen, hier à Lille : « S’il n’y a pas de véritable opposition à l’Assemblée nationale, c’est-à-dire s’il n’y a pas d’élus du Front national, l’UMP aura tous les pouvoirs, y compris celui de ne rien faire, ou de faire pire encore... J’appelle donc l’ensemble des électeurs de l’UDF et de l’UMP à aider à constituer cette opposition en soutenant le candidat FN, en particulier au deuxième tour. »

    Jean-Marie Le Pen a rappelé que jusqu’ici l’UMP faisait voter socialiste ou communiste contre un candidat FN au second tour. « Nous allons voir si l’ouverture de M. Sarkozy est strictement réservée à la gauche ou si elle comporte une ouverture plus générale. »

    Et de souligner : « Une seule chose peut contraindre Nicolas Sarkozy à appliquer la politique pour laquelle il a été élu : élire des députés FN qui exerceront une pression permanente sur lui. »

  • Sarkozy comme Prodi

    Si l’on veut savoir jusqu’où va l’européisme de Nicolas Sarkozy, on en a eu l’illustration hier à l’issue de la rencontre entre le Président français et le président du conseil italien Romano Prodi, ancien président de la Commission européenne et européiste forcené.

    En effet, Romano Prodi s’est dit en accord avec le contenu du « traité simplifié » que propose Sarkozy. Et il a précisé les points d’accord : présidence stable de l’Union, ministre des Affaires étrangères, suppression de la règle de l’unanimité, reconnaissance de la personnalité juridique de l’Union européenne. Prodi a ajouté qu’ils avaient examiné ensemble les problèmes qui seront abordés lors du prochain sommet européen (21-22 juin), « pour lesquels nous sommes unis par une commune volonté de renforcer les institutions européennes ». Et l’on ne peut renforcer les institutions européennes qu’en affaiblissant les institutions nationales. Du reste, si l’on supprime la règle de l’unanimité, les institutions nationales ne sont plus que de simples relais des institutions européennes. « La suppression de la règle de l’unanimité est la suppression de tout ce qui reste des souverainetés nationales », souligne Jean-Marie Le Pen dans un communiqué sur « l’européisme extrémiste de Sarkozy ».

    Les deux dirigeants ont également marqué leur accord pour « renforcer la gouvernance économique de la zone euro », ce qui est dans la logique de la monnaie unique, autrement dit de la suppression de la souveraineté économique.

    Jean-Marie Le Pen constate que Sarkozy « veut aller encore plus loin que la Constitution européenne, que les Français ont pourtant rejetée par référendum », et avertit que « si les électeurs veulent garder la France, ils doivent impérativement voter aux législatives pour les candidats du Front National ».

    Romano Prodi a enfin manifesté son accord avec le projet d’Union méditerranéenne de Nicolas Sarkozy (avec la Turquie comme « pivot »...), et à sa proposition d’une réunion préliminaire des « sept pays méditerranéens » de l’UE pour « donner une signification au niveau opérationnel à la politique méditerranéenne ». Ainsi Romano Prodi accepte-t-il sans sourciller de voir dans les « pays méditerranéens » le Portugal, qui ne connaît d’autre mer que l’océan Atlantique, mais pas la Slovénie , dont la côte touche pourtant celle de l’Italie...

  • Les législatives du FN

    Bruno Gollnisch a tenu ce matin une conférence de presse pour présenter, en compagnie de Jean-Marie Le Pen qui va s’y impliquer personnellement, la campagne du Front national pour les législatives.

    Le Front national présentera des candidats dans toutes les circonscriptions, en respectant strictement la règle de la parité, contrairement à ceux qui l’ont votée...

    L’axe de la campagne sera de montrer que l’UMP, avec ses 358 députés, a un bilan désastreux et n’a réalisé aucune des réformes que souhaite la droite nationale. Lors de la présidentielle, Nicolas Sarkozy a droitisé son discours, mais cela ne donne aucune garantie qu’il réalisera quoi que ce soit. Par exemple, annoncer la création d’un ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale n’implique en aucune manière que soient prises les mesures qui s’imposent dans ce domaine.

    La campagne aura donc pour but de clarifier les positions des adversaires du FN, en mettant l’accent sur un certain nombre de mesures nécessaires :

    ­– Le rétablissement de l’expulsion des délinquants étrangers, alors que Sarkozy a fait voter la loi qui permet de les garder.

    – Le retour à la laïcité sainement conçue, la neutralité de l’Etat, contre le financement public des mosquées voulu par Sarkozy.

    – La réforme des lois d’acquisition de la nationalité française, et non des mesurettes comme l’acquisition de rudiments de la langue française.

    – La préférence nationale, et non la discrimination positive.

    – Le droit de vote réservé aux Français, et non octroyé aux étrangers comme continuent de le voir Borloo ou Robien.

    – L’affirmation que la Constitution européenne est caduque et qu’on ne cherchera pas à la faire revenir par la fenêtre.

    – L’arrêt immédiat des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne.

    – La réduction immédiate de la TVA sur la restauration, promise il y a cinq ans par Jacques Chirac, et qui n’a en réalité pas besoin d’une autorisation européenne puisqu’il ne s’agit pas de produits d’exportation.

    « Seul le vote FN peut obliger le gouvernement à prendre en compte » ces revendications, souligne Bruno Gollnisch.

    Contrairement à ce qu’on cherche à nous faire croire, le jeu est ouvert. Il ne s’agira pas d’un duel UMP-PS. Pour la première fois depuis 30 ans, il n’y aura pas de candidature unique « RPR-centristes ». Bayrou annonce qu’il présentera des candidats partout. Le Front national a son rôle à jouer. Les électeurs qui se sont reportés sur Nicolas Sarkozy en croyant voter « utile », pour faire barrage à la candidate socialiste, doivent comprendre que pour peser sur le prochain gouvernement ils ne doivent pas contribuer à renforcer une majorité UMP pléthorique mais élire des députés FN qui feront pression pour que les propos « nationaux » de Sarkozy se traduisent partiellement par des actes nationaux.

    En outre, il est nécessaire d’élire des députés FN, simplement pour que la France n’apparaisse plus comme une république bananière où les millions de nationaux sont privés de représentation nationale.

    Avec les 3,8 millions de voix qui se sont reportées sur Jean-Marie Le Pen, le Front national peut remporter des succès (il n’avait obtenu que 2,8 millions aux dernières législatives). Si de nombreux électeurs qui ont cru devoir voter Sarkozy reviennent vers le Front national, le succès sera vraiment au rendez-vous.

  • Maintenant, les législatives

    Face aux envolées tricolores de Nicolas Sarkozy, « il est vital que les patriotes et nationaux prennent des garanties en faisant élire des députés du Front national », a souligné Jean-Marie Le Pen.

    Le scrutin majoritaire, dont les effets risquent d’être accentués par la « bipolarisation » de la présidentielle et la répétition des tours d’illusionniste de Sarkozy (il a recommencé dès son allocution de dimanche soir), ne permet guère d’envisager l’élection de nombreux députés FN, sauf prise de conscience brutale de l’électorat, toujours possible mais peu probable en période d’« état de grâce » du nouveau Président. Mais le vote FN n’en est que plus nécessaire. Il faut des députés FN pour rappeler constamment au nouveau Président ses promesses, pour infléchir sa politique dans un sens national. Il faut des députés FN comme pierres de touche, qui témoignent devant l’opinion de la vérité occultée sur les menottes européennes qui paralysent les pouvoirs publics, et qui vont les paralyser de plus en plus si l’on continue de fabriquer un super-Etat européen. Il faut des députés FN pour rendre visible, quelle que soit la majorité, l’opposition nationale.

    Il y a une autre raison de voter FN, sans avoir l’impression de perdre son temps et sa voix, c’est que les rapports entre Jean-Marie Le Pen et Nicolas Sarkozy ne sont pas du tout les mêmes qu’avec Jacques Chirac. Du temps de Chirac, l’UMP appelait à voter pour le candidat PS ou PC qui se retrouvait face à un candidat FN. Ce ne sera peut-être plus le cas. Mais pour le vérifier, encore faut-il qu’il y ait un candidat FN au second tour. Il est donc plus que jamais important de voter pour les candidats FN aux législatives.

  • Le FN fait échec à la grande mosquée de Marseille

    Comme cela était attendu après l’avis du « commissaire du gouvernement », le tribunal administratif a annulé, pour excès de pouvoir et violation de la loi de 1905, la délibération de la municipalité de Marseille accordant à l’association « La mosquée de Marseille » un terrain de 8.600 m2 pour un loyer annuel de 300 euros.

    Le tribunal avait été saisi par le Front national, représenté par Bruno Gollnisch et Jacky Blanc, secrétaire départemental FN des Bouches-du-Rhône.

  • L’exemple de Lucie Aubrac

    Le groupe communiste au conseil régional de Bourgogne a présenté le vœu qu’un lycée soit rebaptisé du nom de Lucie Aubrac.

    Le groupe FN a été le seul à s’y opposer. Dans le feu de la polémique, Régis de la Croix Vaubois a lancé : « Quand vous saurez qui elle était vraiment, vous rigolerez moins, bande de crétins... »

    Ces propos ont suscité un tollé, et le vice-président PS s’est fendu d’un communiqué : « Ceux qui ont ainsi sali la mémoire de cette résistance héroïque sont indignes de leur mandat et méritent la réprobation unanime de tous les Républicains » (avec un R majuscule, s’il vous plaît).

    L’AFP a eu l’honnêteté de contacter l’homme par qui le scandale est arrivé. Régis de la Croix Vaubois a précisé qu’il ne visait pas le passé de résistante de Lucie Aubrac (encore qu’il « reste quelques interrogations »), mais ses prises de position en faveur des « sans-papiers » : « Quelqu’un qui se met du côté de l’illégalité par son combat avec les sans-papiers n’apparaît pas comme le meilleur exemple à donner à des jeunes. »

    Ce qui devrait être incontestable pour tout Républicain...