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Religion - Page 37

  • « L’Eglise catholique de Bruxelles »

    Le « service de communication du vicariat de Bruxelles » présente ses vœux sur la page d’accueil du site « L’Eglise catholique de Bruxelles ». Mais le service de communication n’est évidemment plus catholique :

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    « On a retourné l'Evangile dans tous les sens : pas de nouveau-né, pas de Bethléem, pas de crèche, pas d'ange non plus! Jésus adulte émerge de la foule, sort des eaux, voit le Ciel s'ouvrir et entend une voix proclamer ce jour plein de joie. Que cette fête de la Nativité nous invite à ne pas trop entretenir nos certitudes mais bien à accueillir les visages de Celui qui vient au coeur de notre quotidien! »

    (via belgicatho)

     

  • Un tribunal bêtement anticlérical

    La soi-disant « Libre Pensée » triomphe parce que le tribunal de Coutances, nous explique-t-elle, a donné raison à un homme qui voulait voir son nom effacé du registre des baptêmes. L’évêque de Coutances est sommé d’effacer le nom de cet homme, au nom du respect de la vie privée.

    « Le fait d’avoir été baptisé par l’Église catholique est un évènement intime constituant une information personnelle sur un individu... dès lors cet évènement relève de la protection de l’article 9 du Code Civil. (…) L’existence d’une mention de ce baptême sur un registre accessible à des personnes tierces à l’individu concerné (...) constitue en soi une divulgation de ce fait qui porte par conséquent atteinte à la vie privée de l’intéressé. »

    Ce jugement est proprement absurde. D’abord le baptême n’est pas privé, c’est un acte public. Ensuite, le registre des baptêmes est quant à lui inaccessible non seulement à des personnes tierces (hors le curé), mais même à la personne concernée, qui ne peut obtenir qu’un « certificat de baptême », et non un extrait d’acte de baptême ou un copie de l’acte de baptême. Enfin, il est invraisemblable que la justice permette ainsi de trafiquer des documents, de falsifier des archives.

    L’évêché de Coutances fait appel.

  • Contre le Christ tout est permis

    Une représentation de la « pièce de théâtre » "Sur le concept du visage du fils de Dieu" a été perturbée par des manifestants protestant contre la christianophobie. En fait cette pièce, proprement immonde, est ignoblement blasphématoire.

    Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand condamne des « méthodes violentes contraires à la démocratie », qui « portent atteinte à un principe fondamental de liberté d'expression protégé par le droit français ». Et il souligne que l’AGRIF, qui demandait l’interdiction de la pièce, a été déboutée.

    Aurait-il la même réaction s’il s’agissait d’une pièce aussi ignoble contre Mahomet ?

    Oh, que je suis bête. Une telle pièce ne peut pas exister, bien sûr. Les artistes savent ce qu’ils doivent respecter.

  • Un « calendrier de l’Avent » pour les chats

    Toujours plus loin dans le blasphème inconscient et mercantile : la marque Gourmet Gold (groupe Purina) a inventé un « calendrier de l’Avent » pour les chats… « Chaque jour un plaisir différent »…

    C’est en promotion chez Carrefour.

  • Allah en Malaisie : c’est reparti

    Les chrétiens de Malaisie ont fini par obtenir gain de cause en justice contre les musulmans qui leur interdisaient d’appeler Dieu « Allah » comme ils l’ont toujours fait. Cela dit, ils ne le peuvent toujours pas, car l’affaire est en appel. Et un « savant musulman » de renom, le Dr Mohd Sani Badron, directeur du Centre d'Etudes économiques et sociales, relance la polémique.

    Ses propos sont tout à fait intéressants, et je les dédie aux rigolos du dialogue islamo-chrétien :

    "La mauvaise traduction du mot Dieu par Allah dans la Bible en malais doit être abandonnée, parce qu’elle montre de façon erronée les deux religions comme égales." "La traduction de “Dieu” par “Allah” est très fautive, ce mot doit être traduit correctement… nous parlons non seulement du mot mais de sa signification, et la signification est mauvaise et infidèle." "En ce qui concerne la signification, le terme correct pour Dieu chez les chrétiens est “Tuhan”, et le mot “Seigneur” est également “Tuhan”, pas “Allah”."

  • Pas de connotation religieuse ou raciste

    Une quinzaine de tombes ont été profanées dans le cimetière de Belleville-sur-Meuse, commune au nord de Verdun, nous a appris l’Est républicain. L’entrefilet se termine ainsi :

    « Ces profanations n'ont ni connotation religieuse, ni raciste. »

    C’est ce qu’il faut ajouter, depuis un certain temps déjà, à toute annonce d’une profanation. Ni religieuse ni raciste, cela veut dire qu’on ne s’en est pas pris à des tombes musulmanes ou juives.

    Quand ce ne sont que des tombes chrétiennes, et des croix, ça ne compte pas. Et dans ce cas-là, on voit que même le mot « profanation » perd toute signification…

    (via Le Salon Beige)

  • Les prénoms français sont des prénoms chrétiens

    Marine Le Pen sur Youtube :

    "Le fait de donner un prénom français à ses enfants quand on a obtenu la nationalité française ou quand on est d'origine étrangère a été un des éléments qui a extrêmement bien fonctionné dans l'histoire de France pour que l'assimilation se fasse très rapidement, cela a été le cas pour les Italiens, les Portugais, les Espagnols, les Polonais, ils donnaient un prénom français à leurs enfants. C'est un moyen d'assimilation très très efficace, très très performant. Ce n'est plus le cas aujourd'hui : sous prétexte de conserver ou de montrer le lien avec la nationalité d'origine ou la culture d'origine, on donne aux enfants français des noms à consonance étrangère, je pense que ça leur rend la vie probablement plus compliquée, cela freine l'assimilation nécessaire, ça la retarde."

    C’est une façon comme une autre de montrer que ceux qui ne donnent pas des prénoms français le font parce qu’ils veulent donner des prénoms musulmans, et que les prénoms musulmans ne sont pas français. Parce que l’islam n’est pas français. Mais si les lobbies décryptent ainsi le discours, Marine Le Pen sera traitée de raciste…

  • Une nouvelle bienheureuse de la Révolution

    « Je participe spirituellement à la joie des Filles de la Charité et de tous les fidèles qui, à Dax, prennent part à la béatification de Sœur Marguerite Rutan, témoin lumineux de l’amour du Christ pour les pauvres », a dit Benoît XVI en français lors de l’Angelus d’hier. Juste avant, il avait dit en Italien : « Je suis heureux de rappeler qu'aujourd'hui à Dax, en France, est béatifiée Sœur Marguerite Rutan, Fille de la Charité. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, elle a travaillé avec beaucoup d'engagement à l'hôpital de Dax, mais, dans les persécutions tragiques qui suivirent la Révolution, elle fut condamnée à mort (pour sa foi catholique et sa fidélité à l'Eglise. »

    Plus de 5.000 personnes ont participé à la cérémonie, dans les arènes de Dax. La messe était célébrée par le cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les causes des saints et envoyé spécial du pape, une quinzaine d’évêques et le nonce apostolique. Il y avait là aussi 900 religieuses de la congrégation de la bienheureuse Marguerite Rutan, ainsi que le ministre de la Justice Michel Mercier.

    (Je l’avais annoncée ici.)

  • Profanation et sacrilège

    La porte du tabernacle de l’église d’Arc-et-Senans a été forcée avec un… crucifix, et les hosties répandues par terre. De l’urine et un crachat ont été trouvés près de l’autel.

    Le maire, qui porte plainte, fait remarquer que l'équipement et les bâtiments communaux font depuis plusieurs années déjà l'objet de dégradations en tous genres. C’est pourquoi France 3 parle de « vandalisme ».

    Mais ce n’est pas du « vandalisme », quand on se sert d’un crucifix pour forcer un tabernacle et souiller des hosties consacrées.

    (Via Le Salon Beige)

  • Le moine comme l’embryon

    "Pour les Occidentaux, c’est l’action qui prime et ils nous demandent comment nous pouvons rester pendant tant d’heures à l’église sans rien faire. Je réponds: que fait l'embryon dans le sein de sa mère? Rien, mais comme il est dans le ventre de sa mère, il se développe et grandit. C’est pareil pour le moine. Il garde le lieu saint dans lequel il se trouve et ce même lieu le garde et le façonne. Le miracle, c’est que nous sommes en train d’entrer au paradis, ici et maintenant. Nous sommes au cœur de la communion des saints."

    (La Pentecôte sur le Mont Athos)