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Politique française - Page 79

  • Un rideau de fumée

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    L’agitation autour du projet de loi OGM n’est qu’un rideau de fumée destiné à faire croire aux citoyens que le Parlement sert encore à quelque chose.

    L’épisode pittoresque mais sans lendemain de la motion de procédure est du même acabit que l’impromptu Koscisuko-Morizet d’il y a un mois.

    Le projet de loi OGM n’est rien d’autre que la transposition des directives européennes 98/81 et 2001/18.

    Il sera donc adopté, parce que Bruxelles l’exige.

    Si les prétendus opposants à ce texte étaient cohérents, ils dénonceraient la dictature européenne. Mais ils s’en gardent bien. Ils se contentent de jouer aux rebelles d’opérette dans ce dérisoire théâtre d’ombres qu’est devenu le Parlement français.

  • Dérisoire

    Le vote à une voix de majorité de la motion de procédure communiste, hier à l’Assemblée nationale, fait naturellement les délices de la presse. Jean-François Copé n’a pas réussi à mobiliser ses troupes, et le « vote solennel » du projet de loi OGM, dans un hémicycle dégarni, a tourné en eau de boudin.

    Les éditorialistes ne vont pas plus loin que la mousse politicienne, dont ils se repaissent à satiété.

    Mais tout cela est dérisoire. Le gouvernement a aussitôt convoqué la commission mixte paritaire, qui se réunira dès cet après-midi. La commission arrêtera un texte, celui qui a été voté au Sénat, et les deux chambres le voteront à la fin du mois.

    Ce texte sera voté, parce qu’il s’agit purement et simplement de la transposition de deux directives européennes, et que la France, soumise à l’Europe, n’a pas d’autre choix que de les adopter. Ces directives sont déjà anciennes et Bruxelles fait pression depuis longtemps pour qu’elles soient appliquées en France.

    Curieusement, les commentateurs se taisent sur ce fait capital. Le Parlement français n’est qu’une chambre d’enregistrement des décisions de la Commission européenne. Mais il faut le cacher aux Français. Alors on invente des saynètes dérisoires pour faire croire que les députés ont un rôle décisif.

    On est en plein dans la politique des apparences, apanage de la présidence Sarkozy.

    Puisqu’on est dans l’anecdote, signalons en une qui ne doit pas faire rire le président. Le 2 avril, l’Assemblée nationale adoptait, par 32 voix contre 30 (sic), un amendement du communiste André Chassaigne. « Ce Chassaigne, je l’aime bien ! », aurait alors dit Nicolas Sarkozy. Mais ce vote allait provoquer la zizanie au sein du gouvernement, avec Nathalie Kosciusko-Morizet accusant notamment Jean-Louis Borloo d’être entré « dans un concours de lâcheté » avec Jean-François Copé. Non seulement il n’y avait qu’une poignée de députés à l’Assemblée, mais parmi les 32 qui avaient voté l’amendement Chassaigne, il y avait 3 UMP... La motion de procédure qui provoque un nouveau psychodrame dans la majorité émanait également d’André Chassaigne. Il n’est pas certain que Nicolas Sarkozy l’aime toujours aussi bien...

  • Il faut interdire à ces prétendus « indigènes » d’insulter la France

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le groupuscule qui s’intitule « Mouvement des Indigènes de la République » organise, le 8 mai prochain, une « marche contre la république raciste et coloniale », afin de « dénoncer les crimes coloniaux », de « célébrer la grande victoire du peuple vietnamien à Dien Bien Phû », etc.

    Pour l’honneur de la France et des Français, les pouvoirs publics se doivent d’interdire une telle manifestation qui blesse de façon si odieuse le sentiment national au point d’exalter les ennemis de la France.

    Houria Bouteldja, la porte-parole du mouvement, est cette personne qui veut « dénationaliser l’histoire de France » et « faire exploser » l’identité française, et qui appelle « souchiens » les « Blancs » qu’elle veut « rééduquer ».

    Puisqu’il y a un ministère de l’identité nationale, on attend qu’il défende cette identité et notre mémoire nationale, et l’on attend aussi que le gouvernement rende justice aux anciens combattants d’Indochine et de la Coloniale ignoblement insultés par ces furieux.

  • Un seul détail réel pour l’Etat Européiste français : son Peuple

    Communiqué du FNJ

    Le Front National de la Jeunesse fait bloc derrière son Président, Jean-Marie Le Pen et dénonce sans réserve le diktat de la pensée unique de l’establishment UMPS/PC/MODEM.

    Depuis des décennies les eunuques de la politique interdisent toutes pensées libres. La Jeunesse de la France ne veut plus être mise au bûcher de la « judeomania » et autres lobbies.

    Nous appelons tous les Enfants de France qui veulent être libres à nous rejoindre dans notre Combat le plus Sacré : celui de la libération de notre vieille Nation réduite à l’état de vassale des lois Fabius-Rocard-Gayssot et autres serviteurs des négriers de notre Peuple.

    Le véritable point de détail de l’Histoire semble être pour l’Etat Européiste qui prétend gouverner notre Nation son Peuple.

    Le projet de Constitution et son rejet par référendum en est l’exemple : le Peuple dit NON ! L’Etat considère que c’est un détail et fait admettre ce texte par l’Assemblée qui n’a plus rien de Nationale.

    Les Français réclament du pain ? Là encore détail de l’Histoire, c’est les immigrés non régularisés qui travaillent pour engraisser les patrons-voyous et l’Etat français européiste.

    Les gens qui n’ont pas d’âme n’ont qu’une idée : vous priver de la vôtre. L’âme d’un Peuple n’est pas un détail.
    Réagissons avant que notre jeunesse et donc l'avenir de notre Nation ne soit qu’un détail !

    Pour le rétablissement de la liberté, rejoignez nos rangs !

    L’AVENIR DE LA FRANCE APPARTIENT A SA JEUNESSE !

    VIVE LA LIBERTE D’EXPRESSION !

    VIVE LA LIBERTE DE PENSER !

    VIVE LA FRANCE !

    FRONT NATIONAL DE LA JEUNESSE (LIBRE !).

  • Le Pen le 1er mai

    Extraits du discours prononcé place des Pyramides


    Jeanne

    Personnage historique au parcours indiscutable, elle fut au plan spirituel Sainte et Martyre, au temporel, elle fut un grand chef de guerre et un grand chef politique. Elle parlait un français tel, qu’Alain Fournier a pu en dire que c’était du « français du Christ ». Amour du peuple, amour de la Patrie terrestre qu’elle ne sépare jamais de la Patrie céleste, légitimité, autorité du Roi, indépendance de la France, identité et sécurité des français, rassemblement des forces nationales, action vigoureuse contre l’ennemi, foi dans l’avenir, tels furent ses principes et ses objectifs. Six siècles plus tard, tels sont les nôtres !

    L’Europe

    « L’Europe » est l’unique grand dessein de la classe politique, l’alibi de son impuissance, le masque de sa lâcheté.

    La religion antiraciste

    Oui, depuis 35 ans, nous vivons sous une insupportable chape de plomb, qui prétend consacrer comme vérités officielles les points de vue de l’antiracisme militant. La religion antiraciste transforme certaines opinions en véritables blasphèmes, et ce qu’il faut bien appeler l’idéologie officielle, impitoyable et totalitaire, asservit le peuple français et consacre un véritable recul de civilisation. Non, mesdames et messieurs, la France n’est plus un pays libre, ni d’ailleurs un pays d’hommes libres. Tout le monde se couche, tout le monde s’écrase, tout le monde se tait, pour ne pas offenser les puissants, pour ne pas encourir leurs foudres. Je me fais une autre idée de l’homme, et une autre idée de ma fonction de tribun du peuple. Non, je ne plierai pas face aux oukases de l’orthodoxie officielle. Non, je ne cracherai pas à la figure de la liberté et de la vérité. Je ne fuirai pas. Je ferai face, conformément à ce que j’ai toujours été, conformément à ce que je crois juste, conformément à ce que je suis. L’homme n’est homme qu’au travers des principes qu’il se donne et des disciplines auxquelles il s’astreint.

    Assez de repentance ! Assez d’autodénigrement ! Assez de masochisme ! Nous voulons vivre libres, c’est-à-dire debout, fiers de nos anciens et de nos droits immémoriaux ! Et cette liberté, elle nous autorise à demander, à exiger, l’immigration zéro, l’insécurité zéro, la préférence nationale totale ! Pour les logements, les emplois, les aides sociales, Français premiers servis !

    S’il est un message que nous pouvons, que vous pouvez, dès ce soir, en regagnant vos fédérations, adresser à tous nos compatriotes, c’est ce message de fierté retrouvée que j’emprunterai à un personnage historique du nationalisme arabe, Gamal Abdel Nasser : « Relève la tête, mon frère, car les jours d’humiliation sont passés ! » Oui, relevez la tête, Français, les jours d’humiliation sont passés ! Vous êtes en train de reprendre possession de votre histoire ! Vous êtes en train de briser les chaînes avec lesquelles des générations de dirigeants politiques, économiques et syndicaux ont voulu entraver votre marche libre vers des lendemains de paix et de prospérité ! Vous êtes en train d’écrire à nouveau votre destin ! Vous êtes bien les héritiers de Jeanne, la plus belle des saintes qui ait été offerte à notre vénération, parce que sainte de tout un peuple, de notre peuple ! Suivons sa geste héroïque éternelle et la morale de sa vie, illuminée de sagesse divine, Combattons ! Et si Dieu le veut, pour nous aussi, la victoire nous sera accordée de surcroît.

  • + Jean-Claude Varanne +

    Jean-Claude Varanne, PDG de National Hebdo et vieux fidèle de Jean-Marie Le Pen, est mort hier d’une crise cardiaque à l’âge de 79 ans.

    Il était en excellente santé, mais était très affecté par les difficultés (litote) du journal, et ce qu’il y avait autour.

    Militant infatigable, il avait monté une liste aux municipales à Mantes-la-Ville aux dernières élections et avait mené une campagne très active. Ce fut la seule liste FN des Yvelines.

    Jean-Claude Varanne vivait loin de l’Eglise, mais il avait un vrai respect de la religion et des croyants. Je demande à mes lecteurs chrétiens de prier pour lui.

  • Mandat Sarkozy : le règne des patrons voyous

    Communiqué de Marine Le Pen

    Avec le soutien militant des syndicats supplétifs  comme la CGT, le patronat négrier de la restauration, de l’hôtellerie et du bâtiment a organisé une campagne pour obtenir la régularisation des travailleurs clandestins. Le très sarkozyste M. Daguin,  l’arrogant  porte parole de ces patrons voyous qui violent la loi en embauchant des clandestins, n’hésite pas à « exiger » la régularisation de 100.00 clandestins qui ont fait la fortune illégale de ces confrères.

    Alors que le gouvernement Sarkozy nous annonçait sa détermination à sanctionner le travail illégal, les ministres s’expriment tour à tour pour faire valoir des positions dangereusement molles voire carrément complaisantes. Les pouvoirs publics auraient même, semble-t-il, donné des assurances formelles de régularisation massive.

    Marine Le Pen, Vice Présidente du Front national lance un avertissement solennel à Nicolas Sarkozy visiblement en passe de violer ses promesses publiques de campagne et d’accepter le diktat d’un patronat prédateur pour faire baisser les salaires des travailleurs français.

    D’ores et déjà, elle appelle tous les Français à se mobiliser contre ces décisions immorales et dangereuses notamment à l’occasion d’actions de riposte ciblée qui seront annoncées dans les tous prochains jours.

     

    Addendum

    Marine Le Pen et le Front National appellent tous les Français à un rassemblement de protestation contre les patrons voyous qui demandent la régularisation massive de clandestins :
    Vendredi 25 avril 2008 à 18h30
    Devant le siège de l’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie)
    22 rue d’Anjou, 75008 Paris.

  • Socialistes : Maréchal, les voilà !

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    France 2 nous a gratifiés d’une émission retraçant la découverte du passé vichyssois de François Mitterrand, lors de la parution du livre de Pierre Péan en 1994.

    Cette prétendue découverte tardive des ingénus socialistes est une intégrale foutaise. Le passé de Mitterrand était parfaitement connu depuis toujours, et largement publié au cours des années 60 et 70 par la presse de droite nationale, dont l’hebdomadaire Minute. Les socialistes qui ne le connaissaient pas ne voulaient pas le connaître.

    En revanche, il s’est dit quelques vérités peu courantes : « presque tous les hommes de droite à Vichy ne sont pas collaborationistes » (Azéma), « Beaucoup de cadres de Vichy sont passés à la résistance en 1943 » (Henry Rousso), « les résistants les plus nombreux sont les Vichyssois résistants », etc.

    En tout état de cause, il y a beaucoup plus coupable que Vichy, car Vichy subissait la pression d’un ennemi victorieux et implacable, pour lequel la guerre continuait. Alors que c’est en pleine possession de tous les leviers de commande politiques, économiques, diplomatiques et militaires que les dirigeants français ont abandonné leurs compatriotes d’Algérie, ouvert les frontières à l’invasion étrangère, abdiqué l’indépendance nationale.

  • « Les Parisiens sous l’occupation »

    Nouvelle pomme de discorde entre le garde rouge (ex-Vert) Christophe Girard et son grand ami Bertrand Delanoë. L’adjoint à la révolution culturelle, au nom  du droit de censure que ses fonctions comportent par nature, voulait le retrait de l’exposition  « Les Parisiens sous l’occupation », constituée de photographies d’André Zucca, qui travaillait pour le journal nazi Signal. On y voit des Parisiens vivant normalement...

    Mais Delanoë, s’il a fait cesser la campagne d’affichage sur les panneaux de la ville, refuse de supprimer l’exposition elle-même. « Cette affaire é été très mal engagée, dit-il. Il y aurait pu y avoir une vertu pédagogique à montrer que pendant cette période noire, avec la déportation des juifs, la souffrance du peuple de Paris, il y en avait aussi qui vivaient pas trop mal. L’absence de précaution a pu faire naître des malentendus. Quand j’en ai eu connaissance, j’ai demandé à Jean-Pierre Azéma, historien incontesté et incontestable, d’ajouter les avertissements nécessaires. »

    Et Delanoë de souligner perfidement : « Aucun de mes adjoints [suivez mon regard] ne m’a fait de suggestion ».

    Ainsi préfère-t-il maintenir l’exposition, car « des historiens et des associatifs me conseillent de na pas ajouter une faute à des erreurs ».

    Ainsi donc même Delanoë peut faire preuve de bon sens...

    Non seulement la vie continuait sous l’occupation, mais  il est également difficile d’oublier, n’en déplaise à Christophe Girard, que nombre d’intellectuels de gauche vivaient fort bien à Paris, et en bons termes avec l’occupant... Le summum étant atteint par Jean-Paul Sartre, qui n’hésita pas à écrire, en 1944 : « Jamais nous n’avons été plus libres que sous l’occupation allemande » (dans La république du silence).

    C’est peut-être ce genre de « mémoire » qu’il ne faut pas remuer...

  • Christophe Girard et la Chine

    Christophe Girard, militant homosexuel et adjoint du maire de Paris à la Culture , ex-Vert, était devenu PS en 2005, en précisant : « Mon parti, c’est Delanoë ». Toutefois, il n’est pas d’accord avec le maire de Paris qui veut faire du dalaï-lama citoyen d’honneur de la capitale. Il déclare dans une interview au Journal du Dimanche :

    « Le dalaï-lama est à mes yeux, comme Benoît XVI, particulièrement réactionnaire. Ce sont des hommes avec des règles et des principes, des dogmes, voire des doctrines. D'où leur rigidité envers des sujets tels que la contraception et l'homoparentalité. »

    Christophe Girard a quant à lui une idéologie, ce qui est en effet différent. Et une idéologie particulièrement inquiétante. Il explique en effet ainsi pourquoi il est contre le boycott des Jeux Olympiques :

    « Il serait inefficace et humiliant pour tout un peuple en marche. La Chine s'est éveillée et elle ne manquera pas de nous émerveiller. C'est un pays qui est en train d'inventer sa propre démocratie dans un contexte culturel que parfois les Occidentaux ne connaissent pas ou ne comprennent pas. »

    La démocratie chinoise, c’est l’implacable dictature du parti communiste, qui empêche évidemment toute expression démocratique, et interdit toute liberté d’expression. Toute critique du régime est punie de prison, par des procès rapides (comme Ségolène Royal s’en félicitait) où les droits de la défense n’existent pas.

    La démocratie chinoise, c’est le laogai : les camps de concentration et de « rééducation » (on dit aujourd’hui « éducation patriotique »).

    La démocratie chinoise, c’est aussi, sur le plan social, l’esclavage de millions d’ouvriers qui n’ont aucun droit syndical et de revendication, puisque ce sont eux qui sont au pouvoir, comme l’assure la Constitution  : « La République populaire de Chine est un État socialiste de dictature démocratique populaire, dirigé par la classe ouvrière ». Ces ouvriers, qui construisent les mégalopoles, n’ont même pas les droits élémentaires de tout citoyen, ils sont des étrangers dans leur propre pays : on les fait venir de la campagne, et ils n’ont pas le droit d’avoir le passeport qui leur permettrait de circuler dans la ville près de laquelle ils travaillent et sont logés comme des bêtes.

    Voilà ce qui émerveille Christophe Girard, qui est aussi, sans nul doute, émerveillé par l’interdiction d’avoir plus d’un enfant par famille et l’obligation de la contraception (ou de l’avortement).

    La « démocratie » que la Chine « invente », c’est l’alliance de la dictature communiste absolue, du libéralisme capitaliste sans frein, et d’un malthusianisme démographique dictatorial.

    Mais c’est le dalaï-lama et Benoît XVI qui sont les méchants...