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Islam - Page 85

  • Obscène

    Anne Hidalgo, maire de Paris, soutient le Qatar qui porte plainte contre Florian Philippot qui a eu l’outrecuidance de lier ce pays au terrorisme islamiste :

    Je pense que s'ils se sentent insultés, ils ont raison d'avoir recours au droit. Ce que je peux dire sur Paris et la relation que l'on a avec le PSG, le patron du PSG, c'est une relation d'abord extrêmement positive, très forte. Je les remercie d'avoir mis le club de Paris au niveau auquel il est, de soutenir des choses qui m'importaient beaucoup, je pense au foot féminin, la lutte contre l'homophobie, le racisme dans les stades, nous travaillons main dans la main. Je suis heureuse de cette collaboration avec eux.

    Le Qatar donne au PSG trois fois plus d’argent que n’en ont les autres clubs de même niveau. Ce déluge de fric plaît beaucoup au maire de la capitale des bobos.

    Ce qui est surtout ahurissant est qu’elle fait ainsi l’éloge d’un pays où il n’y a aucune liberté d’expression, aucune liberté politique, sociale, religieuse.

    Mais au fond peut-être est-ce ce dont rêvent secrètement les socialistes…

    Quant à la lutte contre l'homophobie c'est un gag : l'homosexualité est punie de mort au Qatar. Excellent :

     

  • Une nouvelle mosquée, une !

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    « Toute blanche, avec une majestueuse coupole de verre, deux salles de prière aux soubassements de marbre d’Italie, et un petit minaret. » (Le Parisien)

    La mosquée de Villeneuve-la-Garenne (92) a été inaugurée hier par le préfet de la République, le maire UMP, et le président de l’association de l’Unification islamique, Abdelkhalek Khallouki.

    On attendait des « représentants d’autres religions », selon Le Parisien, mais l’article sur l’inauguration n’en dit rien.

    Le journal en profitait pour faire le point :

    Le département compte à ce jour 52 mosquées et salles de prière, selon la préfecture. La plus grande d’entre elles, inaugurée en 2009, est la mosquée de Gennevilliers (2 500 places), située rue Paul-Vaillant- Couturier. A Nanterre, deux mosquées sont actuellement en chantier : l’une des plus vastes d’Ile-de-France, le long de l’A86, et une plus petite, couplée avec une école musulmane, boulevard Clemenceau. Plusieurs autres mosquées sont en cours de construction à Puteaux, Clamart, Asnières et Gennevilliers, dans le quartier des Grésillons. Enfin, d’autres lieux de cultes sont en attente de terrain, d’autorisation ou de financements à Courbevoie, Levallois et Suresnes.

  • Islam : nouvelle étape

    Une quarantaine d’imams, de théologiens et d’acteurs de terrain ont lancé discrètement, lundi dernier à Bobigny, un « Conseil théologique musulman de France » (CMTF). Autrement dit un conseil de la fatwa. Cela aurait dû se faire sous l’égide du CFCM, mais comme chacun le sait le CFCM ne fait strictement rien. Alors les représentants des Frères musulmans en France sont passés à l’action.

    Le bureau exécutif de ce conseil français de la fatwa comprend neuf membres.

    Le premier nommé est Ahmed Jaballah, directeur de l’IESH Paris (le soi-disant « Institut Européen des Sciences Humaines », qui est le centre de formation de l’UOIF), secrétaire général adjoint du Conseil européen de la fatwa (CEFR, Frères musulmans), membre de l’Union internationale des savants musulmans (UISM, Frères musulmans).

    Deux autres spécimens intéressants sont Cheikh Larbi Becheri, diplômé en charia de l’université de Médine, membre du CEFR et de l’UISM, responsable le l’IESH de Château-Chinon, le premier établissement ouvert par l’UOIF ; et Cheikh Ounis Guergah, diplômé en charia de l'Université de Médine, membre du CEFR et de l’UISM, professeur de théologie musulmane et directeur des études à l’IESH de Paris.

    Il y a aussi Mohamed Mosadek, docteur en fiqh hanafite de l’Université d’Al-Azhar, professeur de théologie musulmane à l’Université d’Al-Azhar et chargé de cours à la faculté de droit de Strasbourg au master d’islamologie, ou Nawel Zine, professeur de théologie à l’IESH de Paris…

  • Le collège-lycée Ibn Khaldoun

    Hier s’est répandue la rumeur selon laquelle Manuel Valls, en visite aujourd’hui à Marseille, allait acter la reconnaissance par l’Etat d’un établissement scolaire musulman.

    En réalité, Manuel Valls est à Marseille pour un comité interministériel délocalisé, pour la signature d’un contrat de plan Etat-région, et il doit visiter Eurocopter : son agenda ne signale pas la visite d’une école musulmane. Du reste, selon certains, la chose devait se faire hier jeudi, ce qui était encore plus impossible.

    De toute façon, c’est le mois prochain que sera signé le contrat entre l’école en question et l’Etat.

    Cette rumeur, imprudemment relayée par l’Observatoire de l’islamisation, a permis cependant d’en savoir plus sur l’école en question. C’est en effet l’Observatoire qui a indiqué qu’il s’agissait du collège-lycée Ibn Khaldoun, lequel est sous influence directe du Qatar et de l’UOIF, c’est-à-dire des Frères musulmans.

    Le 22 mai dernier avait lieu en effet la « pause » (sic) de la première pierre des nouveaux bâtiments de l’institution. Avec Amar Lasfar, président de l’UOIF, flanqué des ambassadeurs du Qatar et du Koweit. Au moins on sait d’où vient l’argent…

    Et dans son discours, le directeur a indiqué que le contrat signé en juin sera une nouvelle étape.

    La femme en rose est Samia Ghali, maire du 8e secteur de Marseille et sénatrice PS de Marseille.

    A propos de Ibn Khaldoun, il a écrit ceci, qui n’émeut pas la République :

    « Les seuls peuples à accepter l'esclavage sont les nègres, en raison d'un degré inférieur d'humanité, leur place étant plus proche du stade animal. »

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  • Ils sont très forts

    L’Etat islamique a mis en ligne des images montrant que le site de Palmyre est intact.

    Ouf, se disent tous les défenseurs de la culture antique et du « patrimoine mondial ».

    Et pendant ce temps-là le massacre continue. L’Etat islamique a tué au moins 200 personnes à Palmyre, et encore une vingtaine de « collaborateurs du régime syrien »… dans le théâtre antique…

    Personne ne proteste. Après tout c’est un peu comme l’opéra à Orange. Sauf qu’il n’y a pas de musique et que les gens meurent pour de vrai.

    Mais l'essentiel est que les pierres soient intactes, n'est-ce pas.

  • « Community managers »

    Le Premier ministre de la France, Manuel Valls, annonçait hier une « nouvelle étape » dans la lutte contre l’endoctrinement jihadiste sur internet. Il va mettre en place un « bataillon de community managers de l'État, pour opposer une parole officielle à la parole des jihadistes et ne pas leur laisser l'espace numérique ».

    Certains vieux croûtons irrécupérables, comme moi, ne savent pas ce que sont des « community managers ». Alors j’ai demandé à mon moteur de recherche. Et celui-ci, dont la langue maternelle est pourtant l’anglais, m’a répondu par des articles sur le « gestionnaire de communauté ».

    Parce que les « worldwide » Google et Wikipedia parlent français, tandis que notre Premier ministre, pour faire branché, parle le sabir international.

    Cela pour la forme. Quant au fond, il va de soi que dans les états-majors jihadistes on est tordu de rire devant la menace de ces « gestionnaires de communauté », ignorant volontairement tout de l’islam, que Manuel Valls va lancer sur la toile pour contrer leur propagande…

  • A Birmingham

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    Ceci est une classe d’une école primaire de Birmingham, en Angleterre, avec l'indication de la langue maternelle de chaque élève. Aucun d'entre eux n’a l’anglais comme langue maternelle. Et tous (sans doute) sont musulmans.

    En ce qui concerne l’ensemble de l’école, elle a 859 élèves, dont 94,3% ne parlent pas anglais chez eux.

    (Fdesouche)

  • Au Pakistan

    Le gouvernement pakistanais va présenter au Parlement un projet de loi destiné à combattre les abus de l’utilisation de la loi anti-blasphème.

    Le projet de loi, préparé par le ministère de l’Intérieur et approuvé par le ministère de la Justice, vise à décourager l’instrumentalisation de la loi, en introduisant des peines sévères pour ceux qui formulent de fausses accusations de blasphème. Le projet de loi viendrait corriger les lacunes procédurales, en introduisant de nouvelles clauses à l’intérieur du protocole à suivre dans les cas de blasphème présumé, dans le but de garantir que personne « ne se fasse justice par lui-même » mais que ce soit les institutions de l’Etat – police et magistrature – qui punissent les coupables. La nouvelle procédure rendrait nécessaire de démontrer la « mens rea » - intention criminelle – se trouvant derrière un acte blasphématoire, condition qui est absente aujourd’hui.

    Le Père Saleh Diego, président de la Commission Justice et Paix et Chancelier de l’Archidiocèse de Karachi, commente pour l’agence Fides :

    « Il s’agit d’un important pas en avant. Nous espérons et suivrons le débat au Parlement. Nous savons que différents partis sont favorables à bloquer les usages abusifs de la loi. Mais les partis extrémistes sont encore très forts. En tant qu’Eglise et en tant que communauté chrétienne au Pakistan, nous demandons depuis des années de mettre en place des mécanismes afin de mettre fin aux abus. Nous avons vu et affronté des cas graves dans le cadre desquels la loi a été manipulée. Il s’agit d’une question de justice, attendu que de nombreux innocents se trouvent en prison. »

    Actuellement, 14 citoyens pakistanais (dont Asia Bibi) se trouvent dans le couloir de la mort et 19 autres purgent des peines de réclusion à perpétuité pour « blasphème ». Il n’y a encore eu aucune exécution, mais 52 personnes accusées de blasphème ont été assassinées.

  • Fin de la mosquée de Venise

    La ville de Venise a fait fermer (le 22 mai) le pavillon islandais de la Biennale d’art contemporain : le pavillon islandais était l’église (désaffectée) Sainte Marie de la Miséricorde, que le soi-disant artiste islando-suisse Christian Büchel avait transformée en mosquée. Et bien entendu au fil des jours c’est devenu une vraie mosquée. Ce qui était bien l’intention puisque le titre de « l’installation » était : THE MOSQUE, The First Mosque in the Historic City of Venice.

    La police a fait valoir que l’interdiction de « l’utilisation, pendant les heures d’ouverture au public, de l’espace intérieur de l’ancienne église à des fins autres que celles d’une exposition » et « l’interdiction de l’utilisation du pavillon comme un lieu de culte » n’ont pas été respectées.

    Le président de la Vénétie, Luca Zaia, a résumé cela par une formule aussi décisive que compréhensible par les « artistes » contemporains : « Les installations ne doivent pas se transformer en réalité. »

  • Venez tous !

    L’Italie est aux petits soins pour tous les « migrants » qui débarquent. Toutes les communes doivent désormais accueillir des « réfugiés » : : un « réfugié » entre 300 et 1000 habitants ; deux « réfugiés » à partir de 1000 habitants ; six « réfugiés » à partir de quatre mille habitants, et ainsi de suite. L’Etat donne à la commune 35 euros par jour et par « réfugié », à charge pour elle de lui trouver un logement, de lui fournir vêtements, blanchisserie et autres services, et de lui fournir trois repas par jour.

    Un maire explique ses problèmes :

    « Dans la circulaire, par exemple, il est dit que, au petit-déjeuner, nous devons servir du café au lait ou du thé, avec des biscuits ou des biscottes et de la confiture. Mais est-ce que nous devons l’apporter à l’immigré à domicile ? Et qui est-ce qui le lui porte ? »

    Et, bien entendu, la circulaire précise que la commune doit lui servir des repas adaptés à sa religion…

    Comment accélérer l’invasion ? L’Italie a trouvé un bon moyen.

    Mais, au fait, est-ce si différent chez nous ?