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Islam - Page 88

  • Au Bangladesh

    Le lundi de Pâques, le  prêtre qui célébrait la messe dans un village catholique de l’ethnie khasia au Bangladesh a entendu des grands cris. Les villageois étaient attaqués par une bande d’au moins 35 musulmans. Le prêtre a reçu de graves coups de couteau, et des menaces de mort. Les musulmans ont volé de l’argent, détruit des Bibles, des croix, des images pieuses, des instruments de musique, et aussi des habitations, et ils ont tué des oies et des poulets.

    Les assaillants agissaient sur ordre de Syed Ara Begum, un riche musulman, propriétaire d’une plantation de thé, qui veut faire partir les chrétiens pour agrandir son territoire (d’autant que les chrétiens produisent aussi du thé).

    L’affaire a été connue par Asianews grâce à l’appel lancé par Mgr Bejoy N. D'Cruze, l’évêque de Syleht : « C’est une communauté très pacifique, mais qui est souvent victime de la majorité Bengali. Nous voulons la justice et la sécurité pour nos prêtres et nos fidèles. Nous espérons que le gouvernement trouvera une solution pacifique et que notre peuple pourra vivre sans tensions. »

    Ces Khasia, originaires de l’Inde, se sont installés dans la région de Syleht il y a longtemps. Ils vivent et travaillent en toute légalité dans 108 villages répartis sur quatre paroisses catholiques.

  • Ils jettent les chrétiens à la mer

    La police italienne a arrêté 15 immigrés musulmans venus d’Afrique noire, dont le bateau pneumatique venant de Libye, contenant une centaine de personnes, avait accosté mercredi à Palerme.

    Ils sont inculpés d’homicide multiples aggravés « pour raison de haine religieuse » : ils sont soupçonnés d’avoir jeté à la mer 12 de leurs compagnons pour la seule raison qu’ils étaient chrétiens. Les témoignages et des photos confirment les faits.

    Voir le communiqué de Chrétienté Solidarité Persécutions.

  • Le Christ invisible

    Près de 250 tombes ont été profanées dans le cimetière de Castres. Des dizaines de crucifix ont été jetés à terre, une statue de la Sainte Vierge a été arrachée, « le symbole de la croix était spécialement visé », selon le maire.

    Le procureur adjoint déclare n’avoir vu « pour l’instant aucune connotation à caractère religieux ou racial ».

    Parce que lorsqu’il n’y a pas d’élément anti-musulman ou antisémite (or le carré juif a été épargné) ce n’est ni religieux ni racial. C’est du vandalisme sans connotation…

    Un exemple de plus que pour les autorités tout est permis contre les chrétiens et contre la religion chrétienne : les atteintes n’en sont pas, tout simplement. C’est pire que dans certains pays musulmans.

    Addendum

    Un suspect de 21 ans a été arrêté.

    "L'homme répète en boucle des prières musulmanes, il bave, son état a été déclaré incompatible avec une garde à vue", déclare le procureur adjoint.

    Il se confirme donc qu'il n'y a rien de religieux. Puisque c'est un fou. Pas d'amalgame.

  • La charia en Indonésie

    L’Indonésie, qui est le plus grand pays musulman du monde, et dont l’islam était qualifié de modéré jusqu’à ces dernières années, est en théorie un Etat laïque. Mais la charia ne cesse de progresser (elle est même officiellement appliquée dans l’Etat d’Aceh).

    Un nouvel indice de la progression de l’islamisme sur tout le territoire : à partir de demain 16 avril toute vente de boisson alcoolisée sera interdite dans les boutiques, les échoppes et les centres commerciaux, en application d’une loi votée le 16 janvier dernier (et qui n’a donc pas été mise au placard…).

    Comme les boissons alcoolisées traditionnelles et occidentales sont répandues, y compris chez les musulmans, on considère que le gouvernement va se priver de l’équivalent de 460 millions de dollars de rentrées. Ce qui devrait être compensé, selon les autorités, par une hausse de la taxe sur les boissons alcoolisées dans les bars, les restaurants et les hôtels, où leur consommation reste permise.

  • Dhimmitude plein pot

    Le Conseil de Paris a décidé hier de faire passer le loyer annuel des locaux occupés par le CFCM de 30.583,14 € à… 100 €. En outre, 90% de la dette du CFCM, 49.216  €, lui est remise gracieusement.

    La loi de 1905 est évidemment respectée, puisque, comme chacun sait, le Conseil français du culte musulman n’a rien à voir avec le culte musulman (pas d'amalgame, s'il vous plaît).

  • Alep martyre

    La guerre s’est intensifiée à Alep… à l’approche de la Pâque orthodoxe (12 avril). Dans la nuit du jeudi au vendredi saints et le vendredi saint, les quartiers chrétiens ont été bombardés comme jamais auparavant. Il y a eu au moins 20 morts, dont aussi deux catholiques salésiens de 21 et 17 ans et leur mère.

  • Tiens…

    Trois jeunes de 21 ans, poursuivis pour avoir déposé une tête de cochon devant une mosquée de Besançon, ont été relaxés le 10 avril.

    Pourtant le ministère public avait dénoncé « un acte délibéré visant à porter atteinte à l'intégrité psychique » des musulmans.

    L’avocat des jeunes gens a fait valoir qu’il n’y avait pas eu atteinte à l’intégrité psychique de quelque musulman que ce soit puisque personne n’avait vu la tête de porc avant la police qui l’a enlevée.

    Il me semble que cela ne devrait pas suffire à une relaxe, car il n’y a pas besoin de voir pour être « atteint ».

    Mais peut-être que les juges de Besançon veulent faire comprendre qu’ils ont autre chose à faire.

    Il faut dire aussi qu’il n’y avait aucune partie civile.

  • Au Pakistan

    Le 10 avril, un jeune chrétien de 14 ans, Nauman Masih, a croisé des musulmans qui allaient à la mosquée, et qu’il ne connaissait pas. Les musulmans l’ont arrêté et l’ont questionné. Apprenant qu’il était chrétien, ils l’ont frappé et arrosé d’essence et ont mis le feu.

    L’adolescent s’est jeté dans un tas de sable avant d’être secouru. Il est maintenant à l’hôpital de Lahore et souffre de graves brûlures sur tout le corps.

    Addendum 15 avril

    Le jeune homme est mort à l'hôpital de Lahore des suites de ses brûlures.

  • Les martyrs du Jeudi Saint

    Hier matin, les témoignages sur le massacre de Garissa au Kenya (au moins 148 morts et 80 blessés) étaient aussi abondants que disparates et contradictoires. Impossible de savoir quelle était la proportion des chrétiens tués. D’autant que les chababs ne font pas toujours la distinction (Allah reconnaîtra les siens…), et en outre les étudiants des universités « à l’occidentale » commettent de toute façon un grave péché. Selon certains témoins, d’ailleurs, les (quatre, ou cinq) chababs, entrés sur le campus vers 5h30 après avoir tué deux gardiens, avaient commencé par semer la terreur à la mosquée. Selon d’autres, ils avaient commencé à tirer sur les étudiants qui allaient à la chapelle… Ensuite ils auraient tiré sur tout ce qui bouge, puis auraient pris le contrôle des dortoirs et alors auraient fait le tri, parmi les étudiants qui n’avaient pas réussi à fuir, entre musulmans et chrétiens, laissant partir les premiers et tuant ou gardant les autres en otages. Il a fallu toute la journée et une partie de la soirée aux soldats kényans pour mettre un terme à l’horreur, les chababs se faisant alors exploser.

    Il apparaît finalement que la quasi totalité des morts, en dehors des deux gardiens, d’un policier et d’un soldat (dont on ne connaît pas la confession) étaient des chrétiens. Non pas fauchés par d’aveugles rafales de kalachnikov, mais froidement exécutés un par un. Un employé des ambulances Saint-Jean disait : « Ils ont tous la face contre terre, et ils ont été abattus d’une balle dans la nuque. »

    Une rescapée parlant de ses trois camarades tuées dit : « L’erreur qu’elles ont faite, c’est d’avoir dit : Jésus, sauve-nous, parce que c’est à cet instant qu’ils les ont abattues. »

    L’erreur ? Mais les chababs triaient d’abord en fonction des vêtements – et les chrétiennes n’étaient pas voilées. La terrible erreur aurait été de renier le Christ. En mourant dans la prière, comme les 21 coptes en Libye, elles ont été d’authentiques martyres. Les chababs ricanaient, en parlant de leur mort inéluctable : « Ça nous fera de belles vacances de Pâques. » Mais ce sont les chrétiens qu’ils ont massacrés qui sont allés participer directement au triomphe pascal.

  • Un certain président Muhammadu Buhari…

    Goodluck Jonathan n’a pas eu de chance cette fois-ci malgré son prénom : l’élection présidentielle du Nigeria a été remportée par son rival Muhammadu Buhari.

    On ne peut pas dire que ce soit une bonne nouvelle, même si l’homme assure avoir changé…

    Muhammadu Buhari est un homme du nord islamiste, né à Daura, à la frontière du Niger. Il est de l’ethnie Fulani, celle de ces « bergers » musulmans qui massacrent régulièrement les paysans chrétiens. En 2001 il avait souligné son « engagement total à la charia qui déferle sur tout le Nigeria ». En 2013 il demande au gouvernement d’arrêter de massacrer les gens de Boko Haram et déclare que ce qui est responsable des problèmes de sécurité du pays, c’est… « l’activité militante du Delta du Niger », autrement dit des ethnies chrétiennes du sud. Faut oser… Toutefois il avait plus récemment élevé la voix contre Boko Haram et avait même échappé à un attentat jihadiste.

    Le général Muhammadu Buhari a 72 ans. Dès 1966 il avait participé à un coup d’Etat militaire qui s’était notamment soldé par l’assassinat de la plupart des officiers Ibo (ethnie chrétienne du Delta). En 1976 il est ministre du Pétrole et, en même temps, directeur de la Nigerian National Petroleum Corporation. C’est alors que 2,8 millions de dollars ont disparu des comptes de la dite NNPC.

    En 1983 il est le commandant de la division blindée de Jos. Il fomente un coup d’Etat, prend le pouvoir et instaure une dictature.

    Mais en 1985 il est renversé par un autre coup d’Etat mené par un autre général.

    Il s’était présenté aux présidentielles de 2003, 2007 et 2011. Les trois fois il avait violemment contesté le résultat, alors qu’en 2003 il avait eu 32% des voix, et en 2007 moins de 19%. En 2011 il avait de nouveau frôlé les 32%, et il dira: « Si ce qui est arrivé en 2011 se produit à nouveau en 2015, par la grâce de Dieu, le chien et le babouin seront tous trempés de sang. »

    Ouf… (pour le moment).