Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

François (pape) - Page 36

  • La bombe

    vigano_foto.jpg

    Enfin un prélat met les pieds dans le plat, pour de bon, et dit tout ce qu’il sait sur l’affaire McCarrick et sur la mafia ecclésiastique des invertis et prédateurs sexuels en Amérique et au Vatican. C’est Mgr Carlo Maria Viganò, ancien nonce apostolique (de 2011 à 2016) aux Etats-Unis. Et il demande la démission des responsables, y compris de François qui est englué jusqu’au cou dans ces affaires, comme on pouvait s’en douter par de nombreux indices.

    Le nom de Mgr Viganò devint connu lors des Vatican leaks, car l’une de premières révélations de ces fuites fut une lettre de l’archevêque se plaignant d’avoir été envoyé aux Etats-Unis parce qu’il se battait contre la corruption au Vatican alors qu’il était secrétaire général du gouvernorat. « On » lui avait donné une belle promotion pour qu’il ne mette plus son nez dans ces affaires, selon le principe « promoveatur ut amoveatur » (qu’il soit promu pour qu’on s’en débarrasse). Dans les westerns on dit : « They shot the sheriff » (ce fut d’ailleurs le titre d’un article du blog MondayVatican). Mais Viganò aux Etats-Unis est tombé sur des affaires bien pires que celles dont il s’occupait au Vatican. Et il a cherché à combattre l’immonde corruption qu’il découvrait. Mais il s’est heurté à des puissances qui d’abord avaient l’appui de ceux qui l’avaient exilé, puis du pape en personne…

    J’avais l’intention de citer quelques paragraphes du texte de Mgr Viganò. Mais je ne le ferai pas. Il faut lire intégralement ce réquisitoire implacable de 11 pages. On le trouvera dans son texte original italien ici, et en traduction française .

  • Un scandale parmi les scandales

    Alors qu’a éclaté le scandale du rapport de la justice de Pennsylvanie sur quelque 300 prêtres prédateurs sexuels (et tout ce qu’on peut imaginer autour, comme des prêtres élaborant des images pédopornographiques avec des images pieuses), ce qui implique de nombreux évêques – le cardinal Wuerl serait cité 200 fois dans le rapport, après le scandale McCarrick (le cardinal qui se faisait appeler “Tonton Ted” par ses amants et ses victimes) qui n’a certainement pas fini de faire des vagues en raison des nécessaires complicités au niveau épiscopal, on découvre que lors de la Rencontre mondiale des familles va se produire devant le pape et 75.000 fidèles un chanteur vedette irlandais qui s’était prononcé ouvertement pour le oui au « mariage » entre personnes de même sexe lors du référendum. Ce chanteur (de mélasse), Daniel O’Donnell, est réputé avoir vendu plus de 10 millions de disques. Il est évident que sa prise de position publique, répercutée par tous les médias, avait eu une influence sur les citoyens. Et il va se faire applaudir par le pape…

    Mais on sait aussi que l’invité vedette de la Rencontre est James Martin, un prêtre jésuite dont la principale occupation est de promouvoir les droits LGBT dans l’Eglise (et François l’a fait consultant au service communication du Saint-Siège).

    Tandis que nulle part dans les si nombreuses réunions de cette Rencontre des familles il n’est question de l’avortement…

    Mais qui suis-je pour juger ?

  • "Le Pape dictateur"

    Capture+d%E2%80%99e%CC%81cran+2018-07-11+a%CC%80+10.20.30.pngCe livre a d’abord été publié sous pseudonyme en italien, en novembre 2017, dans le format Kindle, puis en anglais, puis dans une version actualisée, en anglais, en e-book et en version papier, en avril dernier, cette fois sous le nom de l’auteur, Henry Sire.

    Ayant parcouru ce que l’on en disait ici et là, je n’avais guère l’intention de le lire, me disant que je devais savoir au moins la plus grande partie de ce qu’il raconte, et trouvant le titre mauvais.

    Mais, puisque mon amie Jeanne Smits l’a traduit, et qu’il existe donc désormais en français, j’ai fait l’effort de le lire. Un bien mince effort, à vrai dire, car il se lit très facilement, grâce à la fois au talent de l’auteur et à celui de la traductrice.

    Comme prévu, je savais (et mes lecteurs aussi) une bonne partie de ce qui est raconté. Un peu plus même sur certains dossiers, un peu moins sur d’autres (particulièrement sur l’Ordre de Malte, dont l’auteur est un spécialiste, et sur l’atmosphère qui règne dans l’écurie… heu, la Curie).

    L’intérêt du livre est évidemment, même pour ceux qui savent, de rassembler en un seul petit livre tout ce qui est dispersé par ailleurs. Cet entassement n’est pas sans conséquence sur le mental du lecteur : par moments c’est plus étouffant que toute canicule venue ou à venir, et par moments il est vivement conseillé de se munir de bottes d’égoutier et d’un masque à gaz (dans l’écurie, euh… quand on parle de la Curie). A noter : le déroulement des deux synodes manipulatoires sur la famille est très remarquablement résumé.

    Lire le livre permet aussi de comprendre le titre. C’est un mauvais titre parce qu’il faut lire le livre pour le comprendre. A priori, un pape dictateur, c’est moins étonnant qu’un pape démocrate… Tout pape est d’une façon ou d’une autre un « dictateur », à l’aune de notre idéologie démocratique. Il n’a de comptes à rendre à personne qu’aux trois d’en haut, c’est lui seul qui prend les décisions, il publie des textes revêtus de sa seule signature et qui ont force de loi, et cela a encore été renforcé par le dogme de l’infaillibilité pontificale. Donc, à la limite, le pape dictateur, c’est un pape qui agit en pape, et c’est donc plutôt un bon point.

    En réalité, ce titre correspond à l’analyse psychologique que fait l’auteur de la personnalité de Bergoglio, à partir de la très spécifique dictature de Juan Perón, qui régnait en Argentine du temps de la jeunesse du futur pape. Et là c’est fort intéressant, sur tous les plans, pour comprendre comment se conduit le clône vaticanesque de Perón. La mystique du pouvoir, dépourvue de toute considération morale, permettant de dire tout et son contraire et de manipuler les personnes comme des pions à son service exclusif, qu’on jette donc s’ils ne servent plus, et la façon d’éliminer les gêneurs.

    Tel est l’intérêt principal du livre pour ceux qui connaissent déjà les sinistres manœuvres et les cruelles injustices du pape régnant.

  • François change le catéchisme

    Voici la nouvelle rédaction, en vigueur depuis hier, de l’article 2267 du Catéchisme de l’Eglise catholique, le plus évolutif de tous puisque c’est déjà sa troisième version depuis 1992. Elle a le label François et affirme ouvertement le contraire de toute la tradition :

    2267. Pendant longtemps, le recours à la peine de mort de la part de l’autorité légitime, après un procès régulier, fut considéré comme une réponse adaptée a la gravité de certains délits, et un moyen acceptable, bien qu’extrême, pour la sauvegarde du bien commun.

    Aujourd’hui on est de plus en plus conscient que la personne ne perd pas sa dignité, même après avoir commis des crimes très graves. En outre, s’est répandue une nouvelle compréhension du sens de sanctions pénales de la part de l’État. On a également mis au point des systèmes de détention plus efficaces pour garantir la sécurité à laquelle les citoyens ont droit, et qui n’enlèvent pas définitivement au coupable la possibilité de se repentir.

    C’est pourquoi l’Église enseigne, à la lumière de l’Évangile, que « la peine de mort est une mesure inhumaine qui blesse la dignité personnelle » [1]et elle s’engage de façon déterminée, en vue de son abolition partout dans le monde.

    _______________________

    [1] François, Discours aux Participants à la Rencontre organisée par le Conseil Pontifical pour la Promotion de la Nouvelle Évangélisation, 11 octobre 2017.

    On voit qu’il s’agit, là encore ouvertement, non pas de rappeler ce qu’est la doctrine catholique (ce qui est le propre d’un catéchisme), mais de se mettre en conformité avec l’esprit du monde et de faire du Catéchisme un élément de lobbying pour faire appliquer partout l’idéologie dominante. Ce qui est souligné vers la fin de la lettre aux évêques qui accompagne l’oukase :

    10. La nouvelle formulation du n.2267 du Catéchisme de l’Église Catholique veut pousser à un engagement décisif, notamment par un dialogue respectueux et serein avec les autorités politiques, afin de favoriser une mentalité qui reconnaisse la dignité de chaque vie humaine; de même, elle incite à créer les conditions qui permettent d’éliminer dans le monde contemporain l’institution légale de la peine de mort, là où elle est encore en vigueur.

    On admirera aussi la pirouette de la Congrégation pour la doctrine de la foi (sic) qui se termine ainsi :

    la nouvelle formulation du n.2267 du Catéchisme s’inscrit dans un développement authentique de la doctrine, qui ne contredit pas les enseignements antérieurs du Magistère.

    Faut oser…

    N.B. On constate qu’évidemment dans la prose de la Congrégation il n’y a aucun mention des condamnés à mort qui se sont convertis grâce à cette condamnation, et qui sont éventuellement morts en odeur de sainteté grâce à la peine de mort. Voir à ce sujet l’excellent livre du Père Bruckberger.

    *

    PS 1. Interdire la peine de mort pour une raison de principe, c'est prétendre empêcher la Rédemption, ou pour le moins contester le mode de la Rédemption voulu par Dieu.

    PS 2. On a aboli la peine de mort mais on l'a rétablie ces dernières années pour le crime de terrorisme, de façon hypocrite, extra-judiciaire, et donc illégitime, contraire à l'état de droit dont on nous rebat les oreilles. L'exemple le plus spectaculaire jusqu'ici ayant été les assassins du P. Hamel abattus sur le parvis de l'église alors qu'ils n'avaient que des couteaux. Tous les terroristes non kamikazes sont ainsi abattus, et l'on ne me fera pas croire que des policiers d'élite ne puissent jamais en arrêter un autrement qu'en le tuant...

    PS 3. On ne saurait oublier la facétie bergoglienne précédente, datant du 30 juillet : l'ouverture de la cause de béatification du P. Arrupe, le fossoyeur des jésuites, ami des "théologiens de la libération", dont la politique fut tellement désastreuse que Jean-Paul II dut intervenir.

  • François aide l’islam

    072cba2_5888925-01-06.jpg

    561 Yéménites sont arrivés sur l’île de Jeju, en Corée du Sud. Les Coréens, qui savent ce que sont les Yéménites, n’en veulent pas. Les manifestations se succèdent, et en moins de deux semaines une pétition a recueilli plus de 500.000 signatures pour que ces faux réfugiés (tous sont des hommes jeunes, comme d’habitude) retournent d’où ils viennent. Bien entendu, l’évêque de l’île, en bon petit soldat de François, exhorte les habitants à accueillir leurs frères… Mais il n’est pas du tout écouté. Alors François est venu à la rescousse : il a envoyé un don de 10.000 euros pour les « réfugiés ». Or chacun sait que les Yéménites sont des islamistes fanatiques.

    Les réfugiés chrétiens, par exemple d’Erythrée, apprécient certainement cette solidarité du pape…

  • Résistance à Paderborn

    L’archevêque de Paderborn, Hans-Josef Becker, est l’un de ceux qui viennent d’autoriser officiellement les prêtres à donner la communion aux conjoints protestants de fidèles catholiques.

    Un groupe de prêtres du diocèse, qui a constitué dès février l’association Communio veritatis pour lutter contre cette dérive, qualifie cette décision d’inacceptable.

    Ils rappellent que pour recevoir la sainte communion il faut être pleinement membre de l’Eglise catholique et être en état de grâce (Compendium du Catéchisme de l’Eglise catholique, 291). En outre Jean-Paul II, dans Ecclesia de Eucharistia, a souligné que quiconque nie une des vérités de foi sur l’eucharistie rend la communion illégitime. Or, rappellent ces prêtres, « cela fait partie de l’essence du protestantisme de ne pas partager la pleine foi catholique en la sainte Eucharistie ».

    En ce qui concerne le fameux canon 844 §4, le groupe reprend les explications du cardinal Brandmüller et souligne : « Aucun évêque diocésain ne peut déclarer que la situation dans un mariage mixte est une situation d'urgence grave qui rende possible l'intercommunion. » Car il s’agit de « situations extrêmes, comme la guerre, la déportation ou les catastrophes naturelles ».

    Ils soulignent encore que selon ce canon un chrétien non catholique peut recevoir une aide sacramentelle d’un prêtre catholique à condition qu’il ne puisse pas trouver de ministre de sa propre Eglise. Or en Allemagne il y a partout des églises protestantes. Mais cette précision du droit canonique montre que cette disposition vise uniquement les orthodoxes du Proche-Orient, comme l’indique clairement le paragraphe précédent (§3) : des chrétiens qui ont la même foi en l’eucharistie et qui se trouvent privés de prêtre du fait de circonstances spéciales (et comme cela ressort également de ce que disait Jean-Paul II dans le passage cité de Ecclesia de Eucharistia).

    Communio veritatis comptait au départ une dizaine de prêtres. Il s’est renforcé depuis, sans qu’on sache de combien. Ils sont menés par le Père Frank Unterhalt, de Brilon. Ce prêtre avait déjà fait parler de lui, l’an dernier, en invitant au centre paroissial un responsable de l’AfD, Malte Kaufmann, sur le thème « Une politique chrétienne est-elle possible ? ». Certains paroissiens s’étaient plaints auprès de l’archevêché, et le vicaire général avait répondu que les évêques avaient condamné plusieurs fois l’AfD et que les fidèles devaient manifester leur opposition. La conférence avait dû se dérouler sous la protection de la police (parce que bien sûr les antifas ne s’éteint pas fait prier pour intervenir). A noter que le curé doyen avait pris publiquement la défense du P. Unterhalt.

    Le canon 844 :

    Lire la suite

  • Le renouveau de l’Eglise

    Le 26 juin, le pape a nommé président de l’Administration du patrimoine du siège apostolique Mgr Nunzio Galantino, en remplacement du cardinal Calcagno, qui a eu 75 ans au début de l’année.

    Quelques jours avant, François avait dit à un journaliste de Reuters : « Je cherche des candidats qui ont une attitude renouveau, une personne nouvelle, après tant d’années. Calcagno connaît bien le fonctionnement, mais peut-être faut-il renouveler la mentalité. »

    Citations de Galantino :

    Dans le passé, nous nous sommes concentrés exclusivement sur le non à l'avortement et à l'euthanasie. Il ne peut pas en être ainsi, au milieu, il y a l'existence qui se développe. Je ne m'identifie pas avec les visages sans expression de ceux qui récitent le chapelet à l'extérieur des cliniques qui pratiquent l'interruption de grossesse, mais avec ces jeunes qui sont opposés à cette pratique et luttent pour la qualité des personnes, pour leur droit à la santé, au travail.

    Aujourd'hui, accueillir les immigrés est une sorte de réparation, une réparation pour les dommages que nous avons accomplis pendant des années et pour les vols que nous avons commis.

    La Réforme fut, est, et sera à l’avenir un événement de l’Esprit… La Réforme commencée par Martin Luther il y a 500 ans fut un événement du Saint-Esprit… La Réforme correspond à la vérité exprimée dans la formule Ecclesia semper reformanda.

    Tel est le renouveau de l’Eglise selon François...

  • De plus en plus absurde

    Jusqu’ici le pape ne pouvait créer que six cardinaux-évêques, correspondant aux six évêchés « suburbicaires », les diocèses suffragants de Rome (il y en a 7 mais Ostie est à part). François a constaté que le nombre des cardinaux-diacres et cardinaux-prêtres a considérablement augmenté, mais que celui des cardinaux-évêques est resté le même (forcément). Il a donc jugé « nécessaire d’élargir la composition de l’ordre des évêques ». En conséquence de quoi, il a décidé de faire « cardinaux-évêques » les cardinaux Parolin, Sandri, Ouellet, et Filoni (le secrétaire d’Etat et trois chefs de dicastères).

    Quels diocèses peuvent donc bien être ceux de ces nouveaux « cardinaux-évêques » ? Aucun, puisqu’il aurait fallu que François crée quatre nouveaux diocèses suburbicaires… Ces cardinaux ont toujours pour titre leur paroisse romaine. Ils sont évêques paroissiaux…

  • Persécution ordinaire

    François a nommé Blase Cupich, le plus progressiste des évêques américains, archevêque de Chicago (et l'a donc fait cardinal). A Chicago il y a une superbe congrégation, les Chanoines réguliers de Saint Jean de Kenty, fondée par le P. Frank Phillips en 1998, qui célèbrent dans les deux formes du rite romain. Il était à prévoir que Cupich, l’âme damnée de François en Amérique, allait persécuter les Chanoines de saint Jean de Kenty, dont l’apostolat connaît un grand succès.

    Voilà qui est fait. Le fondateur a été viré. Sur la foi de fausses accusations. Et bien qu’il ait été blanchi à 100%, Cupich refuse de le réintégrer.

    Le 12 mars dernier, Mgr Cupich annonçait sa décision de « retirer ses facultés au Rd C. Frank Phillips CR, ce qui veut dire qu’il ne peut plus rester pasteur de Saint-Jean de Kenty ni supérieur des Chanoines réguliers ». Quatre jours plus tard il écrivait « à l’équipe, aux amis et paroissiens » de Saint-Jean de Kenty qu’il avait dû retirer ses facultés au Rd Frank Phillips après avoir « appris des allégations crédibles de conduite inappropriée impliquant des hommes adultes ».

    Le samedi de Pâques, Mgr Cupich rencontra les chanoines. Il leur expliqua que l’enquête diocésaine montrait que le P. Phillips était coupable, et leur demanda de ne pas témoigner en sa faveur devant la Commission d’examen indépendante.

    Le 26 mai, la dite commission conclut que le P. Phillips « n’a violé aucune loi pénale, civile ou canonique ».

    Mais Mgr Cupich refuse de rendre le P. Phillips aux chanoines et confirme au contraire que ses pouvoirs lui sont toujours retirés. Il n’a même pas le courage de le dire lui-même, bien sûr, il le fait dire par la Congrégation de la Résurrection dont dépendent les chanoines, par une lettre du 24 juin : nous acceptons cette décision et nous espérons que chacun comprendra et bla bla bla et continuera de se souvenir du P. Phillips dans ses prières… Le pharisaïsme se porte toujours aussi bien.

  • Il a encore menti

    Maintenant il prétend avoir appris l’existence des Dubia « par les journaux... une manière de faire les choses qui n'est, disons, pas très ecclésiale, mais nous faisons tous des erreurs ».

    Mensonge doublé d’une calomnie. Sauf si c’est Alzheimer, mais alors là il est urgent d’en tirer les conséquences.