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Europe - Page 186

  • Turquie : un chapitre de plus

    Réunis à Bruxelles, les représentants des 27 pays de l'UE ont décidé d'ouvrir un douzième "chapitre" thématique sur la liste des 35 qui jalonnent les pourparlers d'adhésion de la Turquie à l'UE. C'est le chapitre sur l'environnement.

    Il n'y a évidemment eu aucune tentative de veto de la France. (Sarkozy avait fait mieux que la présidence suédoise : il en avait fait ouvrir deux.)

  • Le président d’Eurojust tombe pour… complicité de corruption

    « Eurojust est un organe de l'Union européenne institué en 2002 afin d'encourager et améliorer la coordination des enquêtes et des poursuites judiciaires entre les autorités compétentes des États membres de l'Union chargées de traiter les affaires de criminalité organisée transfrontalière », lit-on sur le site de l'Union européenne.

    Son président, le Portugais José da Mota, a démissionné mercredi, peu après avoir été suspendu de ses fonctions pour 30 jours par la justice portugaise pour avoir fait pression sur des magistrats afin d'arrêter des poursuites impliquant le Premier ministre portugais José Socrates dans une affaire de corruption.

    Le porte-parole d'Eurojust a fait savoir que cette affaire n'entacherait pas la réputation de l'agence parce qu'il s'agissait d'une affaire nationale qui n'implique pas l'agence européenne.

    Il n'empêche qu'il s'agit du président d'Eurojust, et que les faits allégués datent de 2002, alors que José da Mota était déjà membre de l'agence...

    A l'époque, José Socrates était ministre de l'Environnement, et selon l'enquête il avait permis la construction d'un centre commercial sur un terrain protégé en échange de pots de vin. Deux magistrats ont affirmé que M. Mota a tenté de les persuader d'abandonner l'enquête à la demande de Jose Socrates, devenu Premier ministre, et du ministre de la Justice.

  • Symbole turc

    Le siège du Secrétariat pour l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne, à Istanbul, a été inauguré par le Premier ministre Erdogan, accompagné de son ministre pour les affaires européennes et de plusieurs représentants de l'Union européenne.

    Le bâtiment est une ancienne école orthodoxe confisquée par l'Etat il y a quelques années...

    (Novopress)

  • Catherine Ashton dans le texte

    La baronne Catherine Ashton, nommée haut représentant de l'UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, était hier devant la commission des affaires étrangères du Parlement européen pour une séance de questions et réponses, avant son audition de confirmation officielle qui aura lieu en janvier.

    Après avoir donné des réponses plus qu'évasives à plusieurs questions de politique internationale, elle a conclu à propos de ses fonctions :

    « C'est tout nouveau. Je n'ai pas de bureau, je ne dispose pas d'un cabinet, je n'ai pas d'équipe. J'ai hérité d'un morceau de papier vierge et pour le moment j'ai écrit une ou deux petites choses dessus. »

    On rappelle qu'à la Chambre des Lords, lorsqu'elle fut chargée d'y faire ratifier le traité de Lisbonne, elle avait déclaré :

    « Le projet est d'avoir un haut représentant qui devient le vice-président de la Commission avec des fonctions très spécifiques. C'est un rôle qui est défini dans le traité et qui est dévolu à une seule personne. »

  • « Europe, patrie spirituelle »

    Le patriarcat de Moscou a publié un livre intitulé « Europe, patrie spirituelle » : il s'agit d'un volume en édition bilingue italienne et russe, qui recueille les discours que Joseph Ratzinger - Benoît XVI a consacré ces dix dernières années à l'Europe. L'introduction de l'ouvrage est du président du département pour les relations ecclésiastiques extérieures du patriarcat de Moscou, l'archevêque Hilarion de Volokolamsk, et l'initiative éditoriale est du Département des relations ecclésiastiques extérieures du patriarcat de Moscou, en coopération avec l'Association internationale Sofia.

    « Ce livre est un événement historique, sans précédent dans l'histoire millénaire des catholiques et orthodoxes russes », explique le directeur de la publication, le Pr Pierluca Azzaro, vice-président de l'Association internationale « Sofia » et professeur d'histoire de la pensée politique à l'Université catholique du Sacré Cœur de Milan. « Mais, plus encore et surtout, c'est un grand témoignage d'amour pour le Christ et entre les chrétiens. C'est de cet amour que la culture européenne doit jaillir dans toutes ses expressions multiformes : une culture vivante, trempée d'une énergie morale authentiquement créative, totalement vouée à l'édification d'un bon avenir pour tous. L'Europe, nous dit le pape, ainsi que l'archevêque Hilarion de Volokolamsk dans sa belle introduction, est un continent spirituel qui, avec ses deux ailes, l'Eglise d'Orient et l'Eglise d'Occident, s'élève sur l'étroite dualité Occident d'Europe-Russie : l'Europe se présente ainsi à nos yeux comme une 'patrie spirituelle' commune, selon la belle expression utilisée par le pape lors de son dernier voyage en République Tchèque. »

    C'est pourquoi, souligne-t-il, « ce n'est que si nous redécouvrons et réaffirmons ensemble cette dimension vitale de l'Europe, qu'il sera possible d'en conjurer le déclin ».

    (Zenit)

  • L’entrée en vigueur du traité de Lisbonne

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    C'est aujourd'hui la journée mondiale du sida, c'est aussi le jour qui a été choisi pour l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne.

    Le symbole est fort. Ce traité est le virus anti-immunitaire le plus virulent qui ait été inoculé à l'Europe et à ses nations depuis les mouvements stipendiés par l'URSS pour affaiblir la résistance des peuples au communisme.

    La « démocratie » européenne du traité de Lisbonne est infectée par un virus mutant du communisme soviétique, comme le montre quotidiennement le mode de fonctionnement des institutions de l'UE.

    La résistance des peuples est plus que jamais d'actualité contre les forces qui détruisent la liberté des nations.

  • Une résistance allemande

    Les ministres des Affaires sociales de l'UE étaient réunis hier à Bruxelles pour discuter d'un rapport d'étape sur la nouvelle directive anti-discriminations, qui doit étendre l'interdiction de toute discrimination aux transactions et aux services. La présidence suédoise espérait boucler le dossier avant la fin de l'année, mais c'est raté. L'Allemagne a catégoriquement dit non, en argumentant que l'Union européenne n'a pas à légiférer en une telle matière, que cela relève des lois nationales, et que cette position est inscrite dans l'accord de gouvernement de la nouvelle coalition allemande.

    Naturellement, l'eurocratie n'a pas dit son dernier mot. Si la Suède jette l'éponge, elle sera remplacée à la présidence tournante, à partir du 1er janvier, par l'Espagne. Et Zapatero, fidèle serviteur de la Commission européenne pour tout ce qui peut aller contre la loi naturelle, a la ferme intention de faire passer la directive. Il a déjà annoncé qu'il irait voir Mme Merkel...

  • « Démocratie » européenne : à Paris aussi

    Avec le traité de Lisbonne, la France a droit à deux députés européens supplémentaires. Mais rien n'a été prévu pour leur élection. Eh bien ils ne seront pas élus, mais désignés. Des députés désignés, c'est une grande nouveauté « démocratique » en France.

    Le Premier ministre François Fillon a écrit au président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer :

    "Je vous serais reconnaissant de faire procéder dans les plus brefs délais à cette désignation par l'Assemblée nationale en vous invitant, pour éviter toute polémique inutile, à retenir des modalités permettant la désignation d'observateurs appartenant l'un à un groupe de la majorité, l'autre à un groupe de l'opposition."

    On notera : « pour éviter toute polémique inutile ». Il faut le faire en douce...

    De toute façon, personne n'en parle. La dictature eurocratique et ses valets nationaux ont déjà tout anesthésié.

    NB. Fillon les appelle « observateurs » parce que les nouveaux députés européens n'auront pas le droit à la parole ni le droit de vote tant que l'Union européenne n'aura pas pondu un protocole sur la nouvelle composition du Parlement européen. Lequel protocole n'existe toujours pas, et quand il sera rédigé il devra être ratifié par les 27...

  • Commission européenne

    Les portefeuille de la future Commission européenne ont été distribués aujourd'hui. La seule nouveauté est la création d'un commissaire... « chargé de la lutte contre le réchauffement climatique ». Bien sûr. L'heureuse élue est la Connie Hedegaard, qui est actuellement ministre du gouvernement danois « pour la conférence de l'ONU sur le changement climatique à Copenhague 2009 ». Sic.