Texte intégral du remarquable communiqué d’Alexandre Simonnot après sa condamnation (il n’y a rien à retrancher, rien à ajouter).
Le 2 décembre 2006, Maurice Boscavert, maire socialo-communiste de Taverny, érigeait, sur l’obélisque de cette ville, un immonde préservatif géant de 11 mètres de hauteur, facturé aux contribuables 7 500 euros !
Pour avoir osé déchirer cette obscénité pornographique qui constituait, de toute évidence, un attentat à la pudeur et un objet de scandale pour les jeunes enfants, je viens d’être lourdement condamné à, non-seulement, 1000 euros d’amende, mais aussi 9000 euros de dommages et intérêts envers la mairie socialo-communiste de Taverny !
Profondément écœuré et scandalisé par ce verdict, je déclare ne plus croire en la justice de mon pays.
Ne nous y trompons pas, ce jugement ne condamne pas le citoyen et élu du peuple Alexandre Simonnot, il condamne la pudeur, les bonnes mœurs et la morale publique ! Désormais, dans nos villes, il sera permis d’exhiber publiquement tout et n’importe quoi, même les pires obscénités, sans jamais en être inquiété…
Les magistrats de Pontoise porteront donc la lourde responsabilité de la décadence morale et de la déliquescence des mœurs dans notre département. Qu’ils ne s’étonnent plus de voir se multiplier les crimes et délits à caractère sexuel dans notre société, ils en seront directement responsables !
C’est, aujourd’hui, une victoire pour l’anti-France, les ennemis de la famille et les obsédés sexuels ! Mais que ces derniers se rassurent : ils ont remporté une bataille mais de gagneront jamais la guerre qu’ils ont déclarée à la France, fille aînée de l’Eglise.
Pour ma part, je m’estime, malgré cette parodie de justice, totalement innocent. Et si, par malheur, le maire de Taverny réitérait une telle provocation, qu’il sache que je reviendrai et recommencerai mon action. Jamais je ne laisserai ma ville être transformée en un musée de la capote et de la pornographie !
Seule la Justice Divine me rendra raison et punira très sévèrement ceux qui m’ont condamné, car c’est moi, l’accusé, qui aurais dû les juger !
« Malheur à celui qui scandalisera l’un de ces petits enfants. »
Alexandre Simonnot
Conseiller Municipal Front National de Taverny
Membre du Comité Central du Front National
1, rue Jean XXIII-95150 TAVERNY
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