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Culture de mort - Page 229

  • Une bonne nouvelle, quand même...

    La chambre du conseil de Namur, conformément aux réquisitions du parquet, a débouté hier les lobbies homosexuels et prononcé un non-lieu dans le dossier relatif aux « propos homophobes » tenus par Mgr Léonard, évêque de Namur, reproduits dans un hebdomadaire en avril 2007.

    Se référant à Freud (ce qui a mis les homos en fureur), Mgr Leonard avait déclaré à propos de l’homosexualité : « « C'est un stade imparfaitement développé de la sexualité qui contredit sa logique intérieure. Les homosexuels ont rencontré un blocage dans leur développement psychologique normal, ce qui les rend anormaux. »

    Si la chambre du conseil a estimé que de tels propos étaient effectivement de nature à blesser la communauté homosexuelle, elle a souligné que le réel problème était de savoir s'ils constituaient une incitation à la discrimination. Or elle a conclu qu’à la lecture du propos il ne ressort nullement que Mgr Léonard ait été animé de pareille intention. La chambre a considéré qu'il n'y avait donc pas lieu de renvoyer l'accusé devant le tribunal correctionnel.

    (Via e-deo)

  • La propagande homo, par delà la mort

    L’avis de décès d’Yves Saint-Laurent paru hier dans Libération présentait Pierre Bergé comme « son compagnon depuis 50 ans, son partenaire au pacte civil de solidarité (PACS) ».

    Dans une interview à Paris Match, Pierre Bergé précise : « Nous avions établi un testament parallèle. Nous nous étions pacsés. L’un est l’héritier de l’autre. »

    Il précise encore que le PACS avait été conclu « pour des raisons symboliques. On a décidé qu’il fallait le faire, comme ça, d’un commun accord. Cela a eu lieu à son domicile, récemment. »

    Récemment. D’un commun accord. L’un est l’héritier de l’autre...

    Et voici ce que dit Pierre Bergé quant à la maladie d’Yves Saint-Laurent : « Son cancer du cerveau avait été détecté il y a un an, par hasard, après une chute. L’avantage, si l’on peut dire, de cette maladie est qu’on ne souffre pas, qu’on ne se rend compte de rien. Il a cessé de s’alimenter seul. Il avait perdu l’usage de la parole. Il ne connaissait pas la nature de son mal. Il n’aurait pas eu la force psychique de le supporter. »

    Il avait perdu l’usage de la parole, mais il était d’accord pour être pacsé et établir un « testament parallèle ». C’est beau l’amour.

  • Couleurs gaies dans les écoles de Nancy-Metz à la rentrée

    Le président de Couleurs gaies, Dominique Weyant, a fait savoir hier que le rectorat de Nancy-Metz a accordé son agrément pour que le groupuscule homo (Centre lesbien, gay, bi, transsexuel de Lorraine Nord, agréée Jeunesse & Education populaire en 2001…) fasse « des actions de prévention contre l'homophobie », c’est-à-dire de la propagande homosexuelle, dans les écoles.

    La cour administrative d’appel avait condamné le rectorat, le 14 février, à 1.500 euros de dommages et intérêts pour avoir refusé cet agrément, et lui ordonnait de reconsidérer sa décision dans les trois mois. Le rectorat a traîné plus de trois mois, mais il a bien fallu qu’il s’exécute. La Halde était venue au procès montrer qui est l’autorité dans ces affaires.

    Couleurs gaies va pouvoir fêter sa victoire samedi, lors de la « marche des fiertés » samedi prochain à Metz, en attendant de faire sa propagande dans les écoles à la rentrée, comme l’annonce triomphalement Dominique Weyant.

  • Un référendum sur le mariage en Californie

    Alors que la Cour suprême de Californie a de facto légalisé le “mariage” homosexuel le 15 mai, en jugeant « discriminatoire » la définition du mariage comme l’union entre un homme et une femme, les défenseurs du mariage ont recueilli plus des 700.000 signatures nécessaires pour un référendum d’initiative populaire visant à modifier la Constitution de l’Etat. Le référendum aura lieu le 4 novembre, en même temps que l’élection présidentielle américaine. L’amendement constitutionnel proposé est que « seul un mariage entre un homme et une femme est valide et reconnu en Californie ».

    En attendant, les premiers “mariages” homosexuels en Californie pourront être conclus à partir du 17 juin, selon une circulaire récemment envoyée aux officiers d'état-civil. Les formulaires de mariage ne définissent plus un "époux" et une "épouse", mais une "partie A" et une "partie B". Sic.

  • L’auteur des profanations d’Elne s’est dénoncé

    L’auteur des profanations d’Elne  a été arrêté lundi et mis en examen mardi pour violation de sépultures et dégradation de biens publics.

    Simon Dorange-Bernal, âgé de 21 ans et domicilié chez sa tante, s'était dénoncé en appelant la gendarmerie au téléphone.

    Lors de sa garde à vue, le jeune homme, sous curatelle, et qui travaille dans un centre d'aide par le travail (Cat) à Elne, avait réitéré ses aveux.

    Il a indiqué aux enquêteurs le lieu où il s'était débarrassé de la bombe de peinture qu'il avait utilisée pour inscrire les mots "Satan" ou le nombre "666" sur plusieurs sépultures.

    « Il a déclaré avoir agi seul. Il aurait fait cela pour que l’on parle de lui. C’est pour ces mêmes raisons qu’il a appelé la gendarmerie : par désir de reconnaissance. Il a également dit être attiré par le phénomène satanique, mais les perquisitions de son domicile n’ont pas permis d’étayer cet élément du dossier. »

    « Vu les descriptions qu’il donne et le délai - il déclare avoir commis les dégradations dans la première partie de la nuit de samedi, avant minuit - oui, nous pensons qu’il a agi seul. Ce qu’il décrit fait penser que pour lui, c’était une façon de procéder à un rituel », a toutefois ajouté le colonel de gendarmerie qui a recueilli les aveux.

    Une expertise psychiatrique a été pratiquée, mais le vice-procureur de la République a indiqué que ses résultats ne seraient pas rendus publics.

  • Profanations de tombes chrétiennes : l’insupportable silence des autorités

    Communiqué de Louis Aliot, secrétaire général du FN

    246 tombes du cimetière d’Elne dans les Pyrénées-Orientales ont été profanées dans la nuit du 31 mai. Ces nouvelles violations de sépultures font suite à la profanation quelques jours plus tôt de croix et de stèles des cimetières catholiques d’Ottange en Moselle et de Marville dans la Meuse.

    Ces multiplications de dégradations de lieux de culte chrétiens se font dans l’indifférence des autorités et de la classe politique, qui ne manquent pourtant jamais de marquer, à juste titre, leur indignation quand les cibles des profanateurs sont des cimetières juifs ou musulmans.

    Louis Aliot, Secrétaire général du Front National et conseiller municipal de Perpignan, dénonce l’insupportable silence des autorités et des professionnels de l’indignation sélective et enjoint le gouvernement à faire preuve de la plus extrême fermeté face aux profanations de cimetières chrétiens.

  • Les profanations d’Elne

    Communiqué de Bernard Antony, président de l’AGRIF

    L’immense profanation de 250 tombes au cimetière d’Elne dans les Pyrénées-Orientales marque un degré supplémentaire dans le développement de l’hystérie satanique antichrétienne encouragée par toute une culture de mort développée notamment dans des expositions de ce que l’on appelle « l’art contemporain ».

    L’AGRIF s’est naturellement d’ores et déjà portée partie civile dans cette affaire et l’a confiée à son avocat régional, Maître Bonneau.

  • Brésil : l’embryon humain et le droit à la vie

    La Cour suprême du Brésil a confirmé hier la constitutionnalité de la loi de 2005 sur la « biosécurité ». Elle confirme donc la légalité de la recherche à partir des cellules souches d’embryons humains.

    Un ancien procureur général avait saisi la Cour suprême en faisant valoir que la loi était contraire au droit à la vie garanti par la Constitution.

    « Un embryon n’est pas un groupe de cellules mais un individu appartenant à l’espèce humaine », avait rappelé le président de la conférence épiscopale.

    La Cour suprême en a jugé autrement : l’embryon humain est exclu du droit à la vie...

  • La non-fécondation in vitro

     « 26 ans après la naissance d’Amandine, nous sommes dans une situation très fragile dans le domaine du développement de la procréation » assistée en France, se plaint le Pr René Frydman, « père » du premier « bébé-éprouvette » français.

    Il critique une situation où la demande « n’est pas freinée » et qui n’est pas « optimum en terme d’âge ». 15% des femmes « traitées » (sic) en 2004 avaient entre 40 et 44 ans, « ce qui est énorme », « parce que l’on sait qu’entre 40 et 44 ans en fécondation in vitro on est entre 1 et 5% de résultat ».

    Un long parcours, très pénible et coûteux, pour arriver à une frustration...

    (Selon le bilan de l’Agence de biomédecine pour 2005, les chances globales de grossesse sont de 23%.)

  • Procès du préservatif géant : 1.000 euros d’amende et 9.000 euros de dommages et intérêts !

    Texte intégral du remarquable communiqué d’Alexandre Simonnot après sa condamnation (il n’y a rien à retrancher, rien à ajouter).

    Le 2 décembre 2006, Maurice Boscavert, maire socialo-communiste de Taverny, érigeait, sur l’obélisque de cette ville, un immonde préservatif géant de 11 mètres de hauteur, facturé aux contribuables 7 500 euros !

    Pour avoir osé déchirer cette obscénité pornographique qui constituait, de toute évidence, un attentat à la pudeur et un objet de scandale pour les jeunes enfants, je viens d’être lourdement condamné à, non-seulement, 1000 euros d’amende, mais aussi 9000 euros de dommages et intérêts envers la mairie socialo-communiste de Taverny !

    Profondément écœuré et scandalisé par ce verdict, je déclare ne plus croire en la justice de mon pays.

    Ne nous y trompons pas, ce jugement ne condamne pas le citoyen et élu du peuple Alexandre Simonnot, il condamne la pudeur, les bonnes mœurs et la morale publique ! Désormais, dans nos villes, il sera permis d’exhiber publiquement tout et n’importe quoi, même les pires obscénités, sans jamais en être inquiété…

    Les magistrats de Pontoise porteront donc la lourde responsabilité de la décadence morale et de la déliquescence des mœurs dans notre département.  Qu’ils ne s’étonnent plus de voir se multiplier les crimes et délits à caractère sexuel dans notre société, ils en seront directement responsables !

    C’est, aujourd’hui, une victoire pour l’anti-France, les ennemis de la famille et les obsédés sexuels ! Mais que ces derniers se rassurent : ils ont remporté une bataille mais de gagneront jamais la guerre qu’ils ont déclarée à la France, fille aînée de l’Eglise.

    Pour ma part, je m’estime, malgré cette parodie de justice, totalement innocent. Et si, par malheur, le maire de Taverny réitérait une telle provocation, qu’il sache que je reviendrai et recommencerai mon action. Jamais je ne laisserai ma ville être transformée en un musée de la capote et de la pornographie !

    Seule la Justice Divine me rendra raison et punira très sévèrement ceux qui m’ont condamné, car c’est moi, l’accusé, qui aurais dû les juger !

    « Malheur à celui qui scandalisera l’un de ces petits enfants. »

    Alexandre Simonnot
    Conseiller Municipal Front National de Taverny
    Membre du Comité Central du Front National
    1, rue Jean XXIII-95150 TAVERNY
    01 39 60 23 39 / 06 62 34 28 19