« 26 ans après la naissance d’Amandine, nous sommes dans une situation très fragile dans le domaine du développement de la procréation » assistée en France, se plaint le Pr René Frydman, « père » du premier « bébé-éprouvette » français.
Il critique une situation où la demande « n’est pas freinée » et qui n’est pas « optimum en terme d’âge ». 15% des femmes « traitées » (sic) en 2004 avaient entre 40 et 44 ans, « ce qui est énorme », « parce que l’on sait qu’entre 40 et 44 ans en fécondation in vitro on est entre 1 et 5% de résultat ».
Un long parcours, très pénible et coûteux, pour arriver à une frustration...
(Selon le bilan de l’Agence de biomédecine pour 2005, les chances globales de grossesse sont de 23%.)