Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture de mort - Page 212

  • Avortement « norvégien »

    La plupart des fœtus norvégiens avortés en Suède sont des filles, déclare Sissel Rogne, directrice de l'organisation médicale étatique norvégienne Bioteknologinemnda.

    Pourquoi des Norvégiennes vont-elles en Suède pour se faire avorter quand elles attendent une fille, et restent-elles en Norvège pour l'avortement d'un garçon ?

    La réponse de Bioteknologinemnda est simple : ces « Norvégiennes » qui avortent en Suède sont « des immigrées ». C'est-à-dire des musulmanes. Une sage-femme déclare que ces patientes sont surtout d'origine pakistanaise, et qu'elle entend souvent leurs parents masculins - mari, oncle, frère - déclarer ouvertement qu'ils ne veulent que d'un garçon.

    L'avortement peut être pratiqué jusqu'à la 12e semaine en Norvège, et le sexe du foetus n'est révélé aux parents qu'au terme de ces douze semaines. Il est permis jusqu'à la 18e semaine en Suède. Une fois qu'on sait que c'est une fille, il suffit de traverser la frontière pour s'en débarrasser.

    (Bivouac-id)

  • Luxembourg : il n’y aura pas de référendum

    Seulement 796 électeurs du Luxembourg se sont inscrits sur les listes déposées dans les mairies pour demander un référendum. Il en fallait 25.000 pour que soit organisé un référendum sur le projet de révision de la Constitution.

    La révision voulue par le grand-duc pour se déposséder de son dernier pouvoir va donc suivre son cours.

    La loi sur l'euthanasie aussi.

  • Une bonne loi ?

    Jeanne Smits pose des questions pertinentes à propos de la loi prévoyant l'indemnisation d'un congé pris pour accompagner un proche mourant.

    Cette loi a été votée à l'unanimité, comme la loi Léonetti, et ses éventuelles conséquences euthanasiques ne sont pas sans analogie avec celle-ci.

  • Le délire hygiéniste

    Les médias ont largement et complaisamment répercuté le nouveau dogme délirant de l'Institut national du cancer :

    « Le risque augmente avec la quantité globale d'alcool absorbée et est significatif dès une consommation moyenne d'un verre par jour. Toute consommation d'alcool est donc déconseillée. »

    Pour se désintoxiquer de cette honteuse propagande au pays du château Margaux et du château de Pommard, on lira l'article de Newsweek, basé sur les plus récents travaux scientifiques, intitulé Quatre raisons de plus de boire du vin rouge.

  • Les folies de la procréation assistée

    Nadya Suleman, la mère célibataire qui avait défrayé la chronique fin janvier en mettant au monde des octuplés, est menacée d'expulsion, parce que sa mère, à qui appartient la maison où elle habite (et qui y habite avec elle), ne rembourse pas ses emprunts.

    Les deux femmes habitent, près de Los Angeles, une maison de quatre pièces, avec les octuplés et les six premiers enfants de Nadya, tous conçus également par insémination artificielle...

  • Le « foirage » de l’opération Benoît XVI de Nancy Pelosi

    Daniel Hamiche explique sur son blog que Nancy Pelosi, présidente de la chambre des députés des Etats-Unis, voulait une audience avec le pape afin de montrer qu'on pouvait parfaitement être catholique et favorable à l'avortement, comme en témoignerait sa photo officielle avec un Benoît XVI tout sourire.

    Or l'entrevue n'a duré que 15 minutes chrono, et surtout le pape a refusé d'être photographié avec la dame, ce qui est tout à fait excptionnel.

    Et le Vatican a ensuite publié communiqué aussi bref que clair, et dépourvu de toute formule diplomatique :

    « La Salle de Presse du Saint-Siège a confirmé ce midi la rencontre du Saint-Père avec Mme Nancy Pelosi, Présidente de la Chambre des États-Unis d'Amérique. Benoît XVI a profité de cette occasion pour indiquer à son hôtesse que "la loi morale naturelle et l'enseignement constant de l'Église relatif à la dignité de la vie humaine, de sa conception à sa fin naturelle, imposent à tout catholique, en particulier aux législateurs, aux juristes et responsables politiques, de s'associer aux personnes de bonne volonté pour développer un cadre juridique juste qui protège la vie à chacun de ses stades". »

    Commentaire de Daniel Hamiche :

    Ce « rebuke » - comme le qualifie toute la presse américaine de toutes tendances -, cette réprimande était tellement inattendue et surprenante que le pitoyable communiqué de presse de "Madame Speaker" traitant de cette audience privée papale, ne la mentionne pas... C'est à se demander, interroge la presse américaine, si c'est bien à la même audience qu'ont participé le Souverain Pontife et Madame Speaker ? Assaillis de questions et d'interrogations par les journalistes américains, les conseillers en communication de Pelosi se sont tous mis aux abonnés absents...

  • Lia la Magnifique

    Elle s'appelle Lia. Elle a 12 ans. Elle habite à Toronto. Pour le concours de discours de sa classe, elle avait décidé de parler de l'avortement. Son professeur, une femme « pro-choix », lui demandait de choisir un autre sujet. Sa mère aussi (quoique contre l'avortement). Elle a tenu bon. Le professeur a dû reconnaître qu'elle était la meilleure, ce qui la qualifiait pour le concours de l'école. Où elle fut d'abord disqualifiée, avant d'être reconnue gagnante... Ce qui la qualifiait pour le concours régional. C'était mercredi soir. Elle a perdu. Pas question qu'un tel discours représente la région de Toronto.

    Pourtant Lia a gagné. Plus de 200.000 personnes ont déjà vu sa vidéo. Dont au moins une qui a décidé de ne pas avorter, selon les commentaires qui ont été laissés sur YouTube. On remarque aussi que, exceptionnellement, YouTube a fermé les commentaires, en raison du torrent d'insultes visant la petite fille...

    Dans son discours, elle démonte magistralement l'imposture de l'idéologie « pro-choix », et montre ensuite que ce sont réellement des êtres humains que l'on tue.

    Voici le début :

    « Qu'est-ce que vous diriez si je vous disais que à cet instant précis quelqu'un est en train de "choisir" si vous devez vivre ou mourir ? Qu'est-ce que vous diriez si je vous disais que ce "choix" n'est pas basé sur ce que vous pouvez faire ou ne pas faire, ce que vous avez fait dans le passé, ou ce que vous ferez dans l'avenir ? Et qu'est-ce que vous diriez si je vous disais que vous ne pouvez rien faire contre cela ? Chers élèves et chers maîtres, des milliers d'enfants sont en ce moment même dans cette situation. Quelqu'un est en train de "choisir" - sans même les connaître - s'ils vont vivre ou s'ils vont mourir. Ce quelqu'un, c'est leur mère. Et ce "choix", c'est l'avortement. »

    (Life News 1, 2, via ru)

  • Encore une proposition de loi pour l’euthanasie

    Elle émane du député UMP André Wojciechowski, et elle co-signée par ses collègues Oliver Dassault, Patrice Debray, Alain Ferry, Philippe Armand Martin, Christophe Priou, Didier Quentin, Francis Saint-Léger et Bruno Sandras.

    Son intitulé exact est, selon le mensonge habituel, « proposition de loi visant à autoriser le fait de mourir dans la dignité ».
    Dans le long exposé des motifs, André Wojciechowski n'hésite pas à affirmer que l'euthanasie « est autorisée » au Luxembourg, ce qui aussi faux aujourd'hui que ce l'était le 18 décembre, quand la proposition de loi fut enregistrée à la présidence de l'Assemblée nationale.

    Ce qui est curieux est qu'elle n'a été « mise en distribution » par le bureau de l'Assemblée que ce 19 février, alors qu'elle été entre temps « renvoyée à la commission des affaires culturelles, familiales et sociales, à défaut de constitution d'une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement ».

  • Les sages-femmes ne seront pas des avorteuses

    Bérangère Poletti a retiré son amendement au projet de loi sur l'hôpital proposant d'étendre aux sages-femmes la pratique des interruptions volontaires de grossesse par voie médicamenteuse. L'Assemblée nationale ne débattra donc pas de cette question. "Après consultation des organisations professionnelles, il apparaît que beaucoup de sages-femmes ne souhaitent pas faire ce type de prescription. Et il n'est pas question d'obliger quiconque à agir contre sa conscience", a-t-elle expliqué.

  • Le Pr Dallapiccola et le Pr Lejeune

    Lors de la conférence de presse de présentation du congrès organisé par l'Académie pontificale pour la Vie sur les nouvelles frontières de la génétique et le risque de l'eugénisme, l'agence Zenit a posé au Pr Dallapiccola une question sur le rapport entre progrès scientifique et « progrès éthique », en partant de l'exemple de la découverte de la trisomie 21 par le Pr Jérôme Lejeune il y a 50 ans : la possibilité de diagnostic a entraîné la suppression des enfants trisomiques avant leur naissance.

    Mgr Carrasco, qui est un ami du prof. Lejeune, comme il l'a souligné, a confié : « Il ne s'est jamais repenti de sa découverte ! » Et d'ajouter : « L'éthique est possible ! ». Il a cité en exemple l'hôpital catholique Gemelli de Rome où « l'on vit l'éthique » !

    Il a précisé : « Des enfants trisomiques y viennent au monde. Et grâce à l'amélioration de leurs conditions de vie, on réussit à résoudre les problèmes qu'ils doivent affronter ».

    Le Pr Dallapiccola a également rappelé avec enthousiasme qu'avant la découverte du Pr Lejeune, on appelait les enfants souffrant de trisomie 21, en italien, des enfants frappés d'« idiotie mongoloïde », ce qui signifiait la pire maladie de l'intelligence.

    Or, a-t-il fait observer, en cinquante ans, les enfants trisomiques ont réussi à atteindre « une autonomie » jamais envisagée auparavant, grâce aux soins de « psychomotricité » et ils « s'intègrent discrètement » dans la société. Ils réussissent à accéder à des « diplômes ». Il considère donc que la découverte du Pr Lejeune a apporté cette « victoire »

    Cependant, le Pr Dallapiccola ne minimise pas la « sélection pré-natale ». Mais il se réjouit d'autant plus du fait que, malgré le diagnostic, il rencontre chaque année entre 10 et 20 familles qui décident de poursuivre la grossesse et d'accueillir un enfant porteur de trisomie 21.

    En 1963, le Pr Dallapiccola était venu rendre visite au Pr Lejeune à Paris. Il constate que depuis lors, « quelque chose d'important a changé dans l'histoire » et dans la société, vis-à-vis de ces enfants, et qu'il n'y a pas à s'en « repentir ».