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Culture de mort - Page 171

  • Bravo

    Alors que la Russie a été condamnée en octobre dernier par la Cour européenne des droits de l’homme pour l’interdiction de la Gay Pride à Moscou les années précédentes, la mairie de Moscou a de nouveau interdit le défilé d’exhibition homosexuelle. Comme d’habitude, le (tout petit) groupuscule homosexualiste moscovite a quand même manifesté. Comme d’habitude, il s’est fait ramasser (sans ménagement) par la police : ils étaient 18, dont deux activistes américains et le Français Louis-Georges Tin (inventeur de la Journée mondiale contre l’homophobie, et auteur d’un livre où il explique que l’hétérosexualité est une construction culturelle de l’Occident chrétien).

  • Bémol

    Quand on parlera de l’île catholique de Malte, il faudra désormais mettre un sérieux bémol. Car ces 95% de catholiques ont voté à 53% contre une loi de l’Eglise qui est en fait un commandement de Dieu : que l’homme ne sépare pas ce que Dieu a uni.

    Il n’y a plus qu’aux Philippines que le divorce reste interdit (et… au Vatican).

  • Un politicard parmi d’autres

    Le maire de Nice Christian Estrosi vient d’inaugurer un centre LGBT (« Lesbien Gay Bi Trans »). Le Centre, écrit-il, est « un espace d’accueil et d’informations, culturel et festif, au service de la population lesbienne, gaie, bi et trans ». Il apporte « aux personnes victimes de discriminations ou de harcèlement du type homophobie et transphobie » une assistance psychologique, une assistance juridique, et une assistance médicale.

    Christian Estrosi en profite pour rappeler que depuis 2008 les paires pacsées « peuvent célébrer à Nice la confirmation de leur engagement au cours d’une cérémonie présidée par un élu dans la salle des mariages ».

    Novopress souligne que « c’était en termes très véhéments que Christian Estrosi s’opposait naguère au PACS, dénonçant la pression des lobbies et exaltant le mariage et la famille traditionnelle ».

  • En Inde, on avorte de plus en plus les filles

    Un nombre croissant de familles indiennes qui ont une fille décident d’avorter lorsque des examens révèlent qu'elles vont avoir une autre fille, selon une étude publiée hier par la revue médicale "Lancet".

    Le recul du nombre de filles est plus important dans les familles les plus riches et instruites. L'étude souligne que la loi de 1996 interdisant de révéler le sexe du fœtus n'est pas réellement appliquée. Le nombre d'avortements sélectifs au détriment des filles est estimé entre quatre et 12 millions entre 1980 et 2010.

    Selon les derniers chiffres du recensement indien, publiés en mars, le pays compte 914 filles de moins de six ans pour 1.000 garçons. Il y a dix ans, le ratio était de 927 pour 1.000.

  • Le droit à l’avortement et l’islamisation

    Un groupe de députés suisses a lancé l’année dernière une initiative visant à supprimer le financement public de l’avortement. Je l’avais largement évoquée dans le numéro 75 de Daoudal Hebdo. Au cœur de cette initiative, on retrouve Oskar Freysinger. Nouvelles de France vient de l’interroger à ce propos. Il révèle que Christine Tasin lui a envoyé un courriel pour lui dire qu’elle n’était pas d’accord (évidemment) avec cette initiative. Oskar Freysinger lui a répondu : « Bats-toi pour que les 250.000 gamins qui sont avortés chaque année puissent naître et là tu le gagneras, ton combat contre l’islamisation. »

  • Les Zurichois en faveur du commerce du suicide…

    Deux propositions visant à limiter voire interdire complètement l'aide au suicide ont été rejetées dimanche par les électeurs du canton de Zurich en Suisse.

    La première initiative, baptisée "Non au tourisme de la mort", entendait interdire l'aide au suicide à toutes les personnes ne résidant pas dans le canton de Zurich depuis une année au moins. Elle a été rejetée par près de 80% des suffrages. La seconde, qui voulait une interdiction de l'aide au suicide dans tout le pays, a été rejetée par 85% des votants.

    C’est à Zurich que sont les immondes commerçants du suicide, Dignitas et Exit.

  • Le Téléthon : ça continue

    Il avait été question d’une suppression du Téléthon, puis, surtout, d’une importante modification de sa convention avec France Télévisions, à l’expiration de la convention en cours. Mais non. Une nouvelle convention de trois ans a été signée hier, identique à la précédente.

    L’article de La Croix qui en parle ne fait pas la moindre allusion à un quelconque problème éthique. Il est vrai que les rares évêques qui en avaient parlé en 2006 sont muets depuis lors.

    Silence, on tue. Ce ne sont que des embryons.

  • Quelques petits pas du Kansas pour la vie

    Le gouverneur du Kansas a signé deux lois, dont l’une proscrit l’avortement après 20 semaines, et l’autre pose un certain nombre de conditions pour l’avortement avant 20 semaines. « Ces lois posent le Kansas, situé au cœur de l’Amérique, comme État de la culture de vie », a déclaré le gouverneur. Faut pas pousser…

    Ce qui est intéressant est que ces lois avaient déjà été votées, mais s’étaient vu opposer le veto du précédent gouverneur : la “catholique” Kathleen Sebelius, aujourd’hui ministre de la Santé d’Obama.

  • Même le Sénat fonctionne à l’envers

    Jadis, et même naguère, on considérait que le Sénat était une assemblée de personnages mûrs et posés, qui réfléchissaient sereinement sur les lois votées dans le tumulte politicien par les députés, et qui ainsi les recentraient dans le sens des valeurs communes.

    Aujourd’hui il semble que ce soit devenu l’inverse : le Sénat a voté sa version de la loi de bioéthique, qui aggrave encore la version des députés : autorisation de la recherche sur les cellules souches embryonnaires, assistance médicale à la procréation des homosexuelles, obligation systématique d’information du dépistage de la trisomie 21…

  • Hypocrites

    Nora Berra, secrétaire d’Etat à la Santé, a déclaré le 29 mars, au cours du débat sur la loi de bioéthique à la commission des Affaires sociales du Sénat (à propos du don d’organes) : « La loi ne discrimine personne mais prend en compte les données épidémiologiques, selon lesquelles par exemple l'homosexualité est un facteur de risque pour le VIH, donc une contre-indication de don. »

    Jean-Luc Romero est « scandalisé » par les propos de Nora Berra, et Pierre Bergé le juge « insupportables ». « On sait très bien qu'il n'y a pas de population à risque, il n'y a que des pratiques à risque », rappelle ce dernier.

    Il est bien évident que Nora Berra parlait de la pratique homosexuelle.

    Et que cette pratique-là est facteur de risque.