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Culture de mort - Page 172

  • La culture de mort totalitaire : Philippe Isnard révoqué !

    Je reçois à l’instant ce communiqué :

    Philippe Isnard se rend actuellement à une conférence à Aix-en-Provence, il m’a donc chargé d’annoncer qu’il a reçu la révocation officielle du Ministère de l’Education Nationale, la pire envisageable. En effet il est révoqué sans aucune indemnité d’aucune sorte et n’a plus droit à rien. Il est clair que sa révocation est si brutale qu’elle a pour objet de servir d’exemple a tous les enseignants qui auraient l’audace de discuter encore de l’avortement. C’est désormais un dogme d’Etat.

    Ce matin il a été reçu comme un paria au lycée des Iscles où il se rendait.

    Demain il fera un communiqué.

    Anne-Marie Chaix

    Secrétaire générale de ProVie France

  • SOS Tout-petits à Saint-Vincent-de-Paul

    SOS Tout-Petits appelle à manifester, samedi 2 avril à 10 h 30, devant l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul, 82, avenue Denfert-Rochereau, où se pratiquent actuellement quelque 2.500 avortements par an.

    Jeanne Smits souligne le « terrible paradoxe » de l’utilisation comme avortoir de cet hôpital qui fut l’hospice des Enfants assistés, créé par saint Vincent de Paul.

    (Par ailleurs je m'associe au deuil du docteur Xavier Dor, qui vient de perdre sa femme. J'ai peu connu Françoise Dor, mais je sais le rôle qu'elle avait aux côtés de son mari. Ses obsèques seront célébrées lundi à Saint-François-Xavier.)

  • ProVie France

    Le site de l’association ProVie France publie un reportage sur la Marche pour la Vie de Bruxelles, dimanche. Avec notamment Philippe Isnard, qui a fondé cette association :

    « L’association “ProVie France”  a été créée par le professeur d’Histoire Philippe Isnard, avec quelques amis pro-vie, suite à sa mise à pied de quatre mois pour avoir organisé un débat contradictoire dans le cadre de l’instruction civique, selon les directives de l’Éducation Nationale, mais sans observer la loi du silence imposée par le Planning Familial. »

    Pourquoi créer une nouvelle association, alors qu’il en existe déjà qui ont le même objectif ? Réponse :

    Effectivement il existe déjà plusieurs associations provie et la nôtre vient s’ajouter aux autres, avec, nous l’espérons, sa spécificité et son utilité, sans quoi nous nous serions abstenus.
    En cliquant sur l’onglet “provie” en haut de la page vous auriez déjà quelques indications.
    Plus précisément, notre but est de créer des antennes locales dans le maximum d’endroits en France pour faire des actions ponctuelles militantes, plus spécialement en direction des lycées, collèges et universités où sévissent les associations pro-avortement ou le Planning Familial:
    Ceci par affichage et tractage, ce qui se fait très peu encore en France. et nous rend très mobiles sans logistique trop lourde.
    Pourquoi des opérations militantes telles que les mènent les partis politiques?
    Nous considérons qu’au-delà de la dimension surnaturelle de la vie qui n’appartient qu’à Dieu, notre action est aussi politique.
    Peu à peu nous entreprendrons aussi de faire de la formation, notamment pour nos cadres, militants, adhérents et sympathisants.
    En effet, nous sommes face à un choix de société dont la clef est dans la vie. En laissant développer les vies à naître nous luttons contre la barbarie et pour une civilisation chrétienne.
    Le droit à la vie, le respect des tout petits, tout faibles et qui n’ont pas encore vu le jour est à l’opposé des valeurs que nous impose la société de mort dans laquelle nous vivons. Sans la liberté de vivre, notre civilisation est appelée à disparaître. Nous voulons politiser le droit à la vie sous le regard de Dieu.
    Notre action est donc politique, tout comme est politique le procès fait à Philippe Isnard.
    PS: Précision importante: notre but est d’agir en coopération avec toutes les associations qui défendent le droit à la vie, sans exclusive, et pour autant qu’elles-mêmes sont prêtes à coopérer.

  • « Déni de grossesse » : la propagande

    Le grand propagandiste de l’idéologie du « déni de grossesse » (destinée à disculper les assassins de nouveaux-nés), le gynécologue Israël Nisand, publie un livre, en compagnie d’une psychanalyste, intitulé “Elles accouchent et ne sont pas enceintes” (et puisqu’elles ne sont pas enceintes il ne peut pas y avoir de meurtre).

    Bien entendu, Israël Nisand s’étend notamment sur l’affaire Courjault.

    Or, au procès de Véronique Courjault, les trois experts psychiatres qui avaient examiné l’accusée avaient conclu qu’il n’y avait pas de déni de grossesse, et la directrice de l’Institut médico-légal de Paris avait souligné que la façon dont les bébés avaient été tués excluait le déni de grossesse.

  • Le gouvernement canadien renversé

    Une motion de censure présentée par le parti libéral et votée par toute l’opposition a fait chuter le gouvernement conservateur canadien de Stephen Harper.

    La motion déclare le gouvernement coupable d’outrage au Parlement pour avoir refusé de lui fournir le détail des coûts de certaines de ses politiques, dont ses projets de loi en matière de justice criminelle.

    C’est une mauvaise nouvelle, car c’est le gouvernement Harper qui, par exemple, avait imposé l’an dernier que le document du G8 sur l’aide « à la santé des mères et des enfants » dans les pays en voie de développement exclue l’avortement.

    De nouvelles élections auront lieu le 2 mai.

  • La marche pour la vie de Bordeaux

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    Pour la trosième année consécutive, l'association "Oui à la Vie" organise une grande marche pour la Vie et la famille dans les rues de Bordeaux. Elle aura lieu le samedi 21 mai, avec un départ à 14h Place des Quinconces.

    (Via info-bordeaux.)

  • Education sexuelle

    Lors d’une table ronde de la commission de l’ONU sur le statut des femmes, Diane Schneider, représentant le plus important syndicat d'enseignants aux Etats-Unis, a plaidé pour une « éducation sexuelle plus inclusive » dans les écoles américaines, ajoutant que l'éducation sexuelle qui se borne à promouvoir l'abstinence, ou qui n'est pas obligatoire, est une contradiction dans les termes. « Le sexe oral, la masturbation et l'orgasme doivent être au programme de l'éducation. » Cette éducation-là constitue la « seule manière de combattre l'hétérosexisme et le conformisme de genre », et il s'agit de les mettre au programme de « chaque collégien et de chaque lycéen », a-t-elle proclamé. « L'expression de l'identité de genre et l'orientation sexuelle forment un large spectre », poursuivit Diane Schneider – alors que ceux qui s'opposent à l'homosexualité « sont coincés dans une boîte binaire créée par la religion et  par la famille ».

    Davantage sur le blog de Jeanne Smits.

  • La preuve, aussi, par le Chili

    Selon la propagande des promoteurs de la « santé reproductive » (des femmes, pas des vaches) dans le monde, la légalisation de l’avortement est nécessaire pour réduire la mortalité maternelle (due aux avortements clandestins).

    Or, on savait déjà que l’Irlande, où l’avortement est interdit, a le plus bas taux de mortalité maternelle au monde. Et voici que le Chili vient de recevoir un prix pro-vie international parce que la mortalité maternelle liée à l'avortement y a été réduite de 97,6 % entre 1957 et 2008. L’avortement est interdit au Chili.

  • Locked-in syndrome : une majorité de patients se dit heureuse

    Une étude dirigée par le professeur de neurologie Steven Laureys de l'université de Liège indique que des patients atteints de locked-in syndrome (patients ayant leurs facultés intellectuelles mais totalement paralysés) se disent en majorité "heureux" en dépit de leur handicap important.

    72% ont déclaré être heureux et 28% malheureux. Seuls 4 ont indiqué qu'ils opteraient pour l'euthanasie. 

"Cette étude montre d'abord qu'en dépit d'un handicap très lourd, il est possible de vivre avec cette pathologie" et que "contrairement à ce que certains peuvent penser, la vie avec cette pathologie vaut bien la peine d’être vécue" explique le Pr. Laureys. "On constate qu'il existe des phases différentes dans la maladie avec une sorte d'adaptation au fil du temps. On remarque par exemple que les personnes qui ne sont pas heureuses sont en général atteintes depuis moins d'un an par ce syndrome."

    Pour les auteurs, les résultats de cette étude contribuent au débat européen sur le suicide assisté que certains veulent rendre accessible à ces patients. Selon eux, les demandes de suicides assistés ne peuvent être considérées comme valides tant que les patients n'ont pas eu "une chance d'atteindre un état stable de bien-être subjectif".