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  • Malte a plié devant la toute-puissante Commission

    Le gouvernement maltais, « soumis à une terrifiante pression », selon les termes d’un Maltais qui a participé aux discussions, a cédé aux menaces de la Commission européenne : pour pouvoir acheter un passeport maltais, il faudra pouvoir justifier d’une résidence de douze mois sur l’île.

    Il convient de rappeler que dans un premier temps la Commission européenne avait déclaré qu’elle ne pouvait rien contre l’initiative de Malte car la délivrance des passeports relève de la souveraineté nationale des Etats membres.

    Mais elle s’était bientôt ravisée, au point de constituer un dossier afin de faire condamner Malte par la Cour de Justice de l’UE.

    Car il ne sera pas dit qu’il soit laissé quoi que ce soit aux souverainetés nationales…

  • Le divorce à Malte

    Les députés de Malte ont adopté définitivement, en seconde lecture, le projet de loi sur le divorce. De façon plus massive encore qu’en première lecture : 52 voix pour, onze contre et cinq abstentions. (Le 13 juillet, c’était 44 pour, 13 contre – dont le Premier ministre - et 12 abstentions.) Des amendements ont dû endormir la conscience de quelques députés…

    La loi entrera en vigueur en octobre prochain après la signature du président.

  • Bémol

    Quand on parlera de l’île catholique de Malte, il faudra désormais mettre un sérieux bémol. Car ces 95% de catholiques ont voté à 53% contre une loi de l’Eglise qui est en fait un commandement de Dieu : que l’homme ne sépare pas ce que Dieu a uni.

    Il n’y a plus qu’aux Philippines que le divorce reste interdit (et… au Vatican).