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Culture de mort - Page 173

  • Tordu mais malin

    Une femme député du parti de Geert Wilders, Karen Gerbrands, propose que la législation sur l’avortement soit alignée sur la législation sur l’euthanasie : le médecin ne doit pouvoir donner la mort qu'en cas de souffrances intolérables et sans espoir d'amélioration à prévoir…

    A lire sur le blog de Jeanne Smits.

  • "Mariage" homosexuel : Obama s’engage à fond

    Dans un communiqué, le ministre américain de la Justice Eric Holder indique que le président Obama considère que la loi fédérale de 1996 sur le mariage (« union d’un homme et d’une femme ») est inconstitutionnelle (parce que « discriminatoire »). « En conséquence, le président a ordonné au ministère de la Justice ne plus défendre cette loi » lorsque les homosexuels veulent faire reconnaître leur mariage devant les tribunaux.

  • L’euthanasie en marche au Québec

    L’Assemblée nationale du Québec a institué fin 2009 une « Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité », qui a commencé ses travaux publics en septembre 2010. Le 17 février, on en était à la 28e audition publique, tandis que la Commission se déplace dans le pays pour recueillir l’avis des citoyens (air connu).

    L’intitulé même de la commission montre que le débat était clôt avant d’avoir commencé, puisqu’il reprend l’affreux mensonge de l’euthanasie comme mort « dans la dignité ».

    L’affaire suscite néanmoins de vigoureuses réactions, dont la presse canadienne se fait l’écho. Il en est ainsi de l’audition du psychiatre François Primeau, le 17 février, qui avait déjà donné un mémoire sur le sujet à la Commission, et publié un remarquable article en octobre (“La personne dépossédée de sa valeur propre”). L’opposition absolue et argumentée du Pr. François Primeau est d’autant plus importante qu’il est chef du service de gérontopsychiatrie de l’Hôtel-Dieu de Lévis.

    A noter aussi la contribution de Thomas De Koninck, professeur de philosophie à l’université Laval.

  • Eh ben ça alors…

    Ouest France a suivi la rencontre de Mgr d’Ornellas, archevêque de Rennes, avec les paroissiens de Saint-Didier. L’article se termine ainsi :

    Abordant enfin le sujet de la recherche sur les embryons humains, Mgr d'Ornellas a déclaré d'une façon catégorique : « Il ne faut pas donner au Téléthon au risque de se rendre complice. »

    Dommage que Mgr d’Ornellas ne fasse pas une déclaration aussi catégorique (ou même moins, d’ailleurs) quelques jours avant le Téléthon…

    Mais peut-être le journaliste a-t-il mal compris ?

    (via Perepiscopus)

  • A propos d’Henri Maurel

    « Henri Maurel, fondateur et président d'honneur de Radio FG, figure emblématique et promoteur des musiques électroniques, militant associatif dans la lutte contre les discriminations, est mort mercredi en fin de journée, à Paris, des suites d'une méningite à l'âge de 58 ans, a-t-on appris auprès de sa famille. »

    FG, c’est Fréquence Gaie. Henri Maurel était un homosexuel militant. Il est mort des suites du sida. Mais il ne faut pas le dire… (On ne meurt pas du sida, mais d’une maladie qui profite de la destruction des défenses immunitaires, et c’est souvent une méningite.)

    « Militant associatif dans la lutte contre les discriminations », c’est ça :

    « Militant associatif de la première heure, Henri Maurel avait créé aussi en 1985 le club "Les Gais pour les Libertés" qui avait très tôt défendu l'idée d'un partenariat civil pour les couples hétéros et homosexuels, en élaborant les premières bases du futur PACS. »

    Et cet homosexualiste de premier plan a passé sa vie dans les allées du pouvoir :

    « Chevalier des Palmes académiques, Henri Maurel a fait toute sa carrière dans l'administration, notamment aux ministères des Finances et de la Culture. Il avait été le directeur-adjoint de cabinet dans les années 80 de Yvette Roudy, alors ministre des Droits de la Femme. Commissaire artistique pour la manifestation internationale de La Beauté en Avignon en 2000, et de l'Année numérique en 2003, ancien directeur de la communication et du mécénat au Centre des monuments nationaux, Henri Maurel occupait récemment les fonctions de chargé de mission auprès de la Délégation aux Arts Plastiques, et particulièrement des Centres d'art. »

  • Ils étaient partis 35…

    Ils se retrouvèrent 17.

    On se souvient que 35 députés de "droite" avaient signé un texte contre le projet de loi de bioéthique.

    Au final, 15 députés UMP, et les 2 MPF, ont voté contre le texte…

    Les deux députés (UMP) du groupuscule « chrétien » de Christine Boutin, Jean-François Chossy et Dino Cinieri, n’étaient pas là…

    Il est vrai qu’ils ne figuraient pas non plus parmi les 35 députés qui dénonçaient le projet de loi…

  • Le lobby de l’euthanasie fait sa propagande à l’hôpital

    C’est Le Parisien qui l’a révélé, mardi : une convention a été signée entre l’ADMD et l’hôpital Georges Pompidou, autorisant les fanatiques de l’euthanasie à s’entretenir avec les malades.

    C’est une patiente qui a alerté les médecins. Nul ne sait quand cette convention a été signée. Personne n’était au courant au sein du personnel hospitalier. La direction de l’hôpital se contente de confirmer l’information, et ne voit pas où est le problème…

  • La pression de la culture de mort

    Le Pr Frydman a annoncé ce matin au cours d’une conférence de presse la naissance du premier « bébé médicament » en France.

    En fait le bébé (Umut-Talha, oui, c’est son nom... turc) est né le 26 janvier. La naissance a été annoncée aujourd’hui parce que c’est ce soir que commence à l’Asemblée nationale la discussion de la loi de bioéthique. Et il s’agit ouvertement de faire pression sur les députés pour que les chercheurs puissent aller plus loin dans la manipulation et le charcutage des embryons.

    Le « bébé médicament » est fabriqué dans le but de soigner théoriquement ses frères et sœurs malades. Il n’est pas voulu pour lui même. Ce n’est pas une personne, c’est un outil.

    Pour le fabriquer, il faut procéder à un double diagnostic pré-implantatoire. C’est-à-dire qu’on produit un certain nombre d’embryons, et on élimine tous ceux qui ont la maladie des aînés, et tous ceux qui ne sont pas compatibles. Le bébé-instrument est d’abord le fruit de multiples avortements.

    C’est la première fois que ça « réussit » en France. Plus précisément, il y avait eu jusque-là 9 « tentatives » (soit des dizaines, ou des centaines, d’avortements), se soldant par deux grossesses, dont une qui avait abouti, mais c’était un bébé non compatible…

  • L’infanticide libre

    Une femme qui avait noyé trois de ses enfants à la naissance a comparu libre devant la cour d’assises du Loir-et-Cher. Et elle en est ressortie libre : elle a été condamnée à cinq ans de prison avec sursis. Le vrai coupable était le mari violent...

    Une autre enquête pour infanticide a lieu à Douai. Jusqu’ici on préparait le procès en se fondant sur le déni de grossesse. Mais devant le juge d’instruction, mercredi, la femme qui a tué huit de ses enfants à la naissance a affirmé qu’elle les avait tués parce qu’ils étaient de son propre père. « Un rebondissement qui a entraîné de nouvelles auditions jeudi dans la plus grande affaire d'infanticides en France », dit l’AFP. Alors que les analyses ADN ont déjà prouvé que ces enfants étaient ceux de son mari…

  • Evidemment…

    Une étude a été faite au Royaume-Uni pour comparer les taux de grossesses adolescentes entre les endroits où où la pilule du lendemain était gratuitement fournie aux filles de moins de 16 ans et ceux où elle ne l’était pas. Résultat : le taux de grossesses adolescentes n'a pas baissé là où le plan « contraception d'urgence » a été mis en place.

    Autre résultat : le taux d'infection par des maladies sexuellement transmissibles a augmenté de manière significative là où le plan a été mis en œuvre.

    Pour en savoir plus, c’est sur le blog de Jeanne Smits.