Une chrétienne de 12 ans, Meshal a été kidnappée, violée, et torturée à la cigarette par trois musulmans à Sheikhupura, dans le Pendjab.
La mère a voulu porter plainte. La police a refusé d’enregistrer la plainte et de lancer des poursuites…
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Une chrétienne de 12 ans, Meshal a été kidnappée, violée, et torturée à la cigarette par trois musulmans à Sheikhupura, dans le Pendjab.
La mère a voulu porter plainte. La police a refusé d’enregistrer la plainte et de lancer des poursuites…
Le conseil du comté du Lancashire, en Angleterre, a voté hier l’interdiction de la viande halal dans les cantines scolaires. Le Lancashire va ainsi devenir le premier comté britannique à bannir la viande halal dans les cantines.
Bien que deux églises de Preston (la capitale du comté) soient désormais desservies par l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, ce n’est pas – comme on s’en doute – par un subit accès d’islamophobie que cette décision a été prise.
C’est à cause d’un grave conflit interne au politiquement correct, entre les défenseurs des droits des musulmans et les défenseurs des droits des animaux. Et ce sont ces derniers qui ont gagné. (Mais si ça veut dire que les animaux ont plus de droits que les musulmans, c’est quand même très islamophobe…)
Le vice-président américain Mike Pence, qui participait mercredi au dîner de solidarité annuel en faveur des chrétiens du Proche Orient organisé par “Defense of Christians” a indiqué qu’il se rendrait prochainement au Proche-Orient, à la demande de Donald Trump, pour affirmer notamment qu’il est temps de « mettre fin à la persécution des chrétiens et de toutes les minorités religieuses » :
« Je peux vous assurer que le Président Trump s’engage à aider les gens persécutés afin qu’ils récupèrent leurs terres, qu’ils puissent retourner chez eux, reconstruire leur vie et remettre leurs racines dans la terre de leurs origines. »
Il a également annoncé l’intention du gouvernement de gérer directement des financements et des aides en faveur des chrétiens au Proche Orient, en collaborant avec des organisations religieuses et en ne passant plus par les organismes de l’ONU :
« Nous ne nous remettrons plus seulement aux Nations unies pour aider les chrétiens persécutés et les minorités. Les agences fédérales travailleront aux côtés des groupes religieux et des organisations privées pour aider ceux qui sont persécutés à cause de leur foi. Alors que les groupes d’inspiration religieuse disposant d’une compétence prouvée et de racines profondes au sein de ces communautés sont plus que désireuses d’aider, les Nations unies ignorent trop souvent leurs demandes de financement. Mes amis, ces jours-là sont finis. »
DÉCLARATION de l’ACADÉMIE FRANÇAISE
sur l'ÉCRITURE dite « INCLUSIVE »
adoptée à l’unanimité de ses membres
dans la séance du jeudi 26 octobre 2017
Prenant acte de la diffusion d’une « écriture inclusive » qui prétend s’imposer comme norme, l’Académie française élève à l’unanimité une solennelle mise en garde. La démultiplication des marques orthographiques et syntaxiques qu’elle induit aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression, créant une confusion qui confine à l’illisibilité. On voit mal quel est l’objectif poursuivi et comment il pourrait surmonter les obstacles pratiques d’écriture, de lecture – visuelle ou à voix haute – et de prononciation. Cela alourdirait la tâche des pédagogues. Cela compliquerait plus encore celle des lecteurs.
Plus que toute autre institution, l’Académie française est sensible aux évolutions et aux innovations de la langue, puisqu’elle a pour mission de les codifier. En cette occasion, c’est moins en gardienne de la norme qu’en garante de l’avenir qu’elle lance un cri d’alarme : devant cette aberration « inclusive », la langue française se trouve désormais en péril mortel, ce dont notre nation est dès aujourd’hui comptable devant les générations futures.
Il est déjà difficile d’acquérir une langue, qu’en sera-t-il si l’usage y ajoute des formes secondes et altérées ? Comment les générations à venir pourront-elles grandir en intimité avec notre patrimoine écrit ? Quant aux promesses de la francophonie, elles seront anéanties si la langue française s’empêche elle-même par ce redoublement de complexité, au bénéfice d’autres langues qui en tireront profit pour prévaloir sur la planète.
La ville de Brest a décidé de mettre aux enchères la chapelle Sainte-Anne de Kérinou, abandonnée par l’Eglise depuis des années.
Le prix de départ est de 55.100 €.
Dans la cathédrale d’Orléans. La plaque a été inaugurée par l’évêque Blaquart. Il est urgent de faire lire le cardinal Müller.
℟. Tua est poténtia, tuum regnum, Dómine: tu es super omnes gentes:
* Da pacem, Dómine, in diébus nostris.
V. Creator ómnium, Deus, terríbilis et fortis, justus et miséricors.
℟. Da pacem, Dómine, in diébus nostris.
A vous est la puissance, à vous la royauté, Seigneur ; c’est vous qui êtes au-dessus de toutes les nations : donnez la paix, Seigneur, en nos jours. Dieu, Créateur de toutes choses, terrible et fort, juste et miséricordieux. Donnez la paix, Seigneur, en nos jours.
Répons des matines. Comme celui d’hier, il évoque les Maccabées, sans qu’on puisse déterminer une citation précise, sauf pour le verset qui reprend le début de la prière de Néhémie en II Maccabées 1,24. Pour le reste on trouve une formule voisine dans la prière de David au premier livre des Chroniques 29,11. Voici ce répons par les mêmes interprètes qu’hier :
C’est l’un des paradoxes de ce calamiteux pontificat : c’est maintenant qu’il n’est plus aux commandes du dicastère de la foi que le cardinal Müller défend la foi (peut défendre la foi), et de façon incisive et sans concession. Manifestement irrité par la célébration de Luther qui envahit le champ catholique jusqu’au pape, il répond au secrétaire général de la conférence épiscopale italienne, Mgr Galantino (proche de François) qui a fait déborder le vase en qualifiant l’action de Luther d’« événement du Saint-Esprit ». Il est clair que, in fine, le cardinal Müller vise François lui-même.
Extraits :
Il y a une grande confusion aujourd’hui dans le discours sur Luther, et il faut dire clairement que du point de vue de la théologie dogmatique, du point de vue de la doctrine de l’Eglise, il n’y eut pas en réalité une réforme mais une révolution, c’est-à-dire un bouleversement total des fondements de la foi catholique. Il n’est pas réaliste de prétendre que son intention était de lutter contre certains abus relatifs aux indulgences, ou contre les péchés de l’Eglise de la Renaissance.
Dans le livre écrit par Luther en 1520, De captivitate Babylonica ecclesiae, il semble tout à fait clair que Luther a tourné le dos à tous les principes de la foi catholique, de l’Ecriture Sainte, de la Tradition apostolique et du magistère du Pape et des Conciles, et de l’épiscopat. En ce sens, il a travesti le concept de développement homogène de la doctrine chrétienne, tel qu’on l’a explicité au Moyen Age, en venant jusqu’à nier le sacrement, signe efficace de la grâce qui s’y trouve ; il a remplacé cette efficacité objective des sacrements par une foi subjective. (…)
Il est donc inacceptable d’affirmer que la réforme de Luther « était un événement du Saint-Esprit ». Au contraire, elle était dirigée contre le Saint-Esprit.
Il n’est pas non plus exact d’affirmer que Luther avait au départ de bonnes intentions, en signifiant ainsi que c’était donc l’attitude rigide de l’Eglise qui l’avait poussé sur le mauvais chemin. Ce n’est pas vrai (…)
Il n’est davantage exact que l’Eglise a refusé le dialogue (…).
Dans la confusion actuelle qui touche un si grand nombre on en est arrivé à mettre la réalité sens dessus dessous : ils considèrent le pape comme infaillible lorsqu’il parle en privé, mais quand les papes de toute l’histoire ont proposé la foi catholique, ils disent que cela est faillible. (…)
Une chose est le désir d’avoir de bonnes relations avec les chrétiens non-catholiques d’aujourd’hui, afin de se rapprocher d’une pleine communion avec la hiérarchie catholique, et aussi avec l’acceptation de la tradition apostolique selon la doctrine catholique, autre chose est de ne pas comprendre ou de falsifier ce qui s’est passé il y a cinq cents ans, et l’effet désastreux que cela a eu. (…)
Il faut évidemment tout lire, en remerciant Jeanne Smits d’avoir traduit ce texte auquel on pourra désormais avoir recours sans modération.
Sept mois après les législatives (209 jours exactement), Mark Rutte a réussi à constituer un nouveau gouvernement et en a annoncé la composition le 20 octobre. Aujourd’hui, 26 octobre, le roi a investi ce gouvernement.
Et la première chose qu’on apprend (c’était hier, donc avant même la prise de fonctions officielle), c’est que le gouvernement ne permettra pas la création et le développement d’embryons à fin de recherche scientifique.
Ce qui est un revirement à 180 degrés.
Dans ce gouvernement où cohabitent (pour combien de temps ?) des libéraux européistes acquis à tous les excès de la culture de mort et les calvinistes nationalistes de l'Union chrétienne, ces derniers (avec 3,4% des voix...) ont trois ministres, dont le… ministre de la Santé, Paul Blokhuis.
Par 86 voix contre 1 (celle du seul député indépendant), le parlement de l’Ontario a adopté hier un projet de loi qui interdit à quiconque de manifester sa désapprobation de l’avortement à moins de 50 mètres d’un des huit avortoirs de l’Etat, zone qui peut être étendue à 150 mètres sur demande. Une zone de 150 mètres est également établie autour du domicile des avorteurs. Les pharmacies et tout autre lieu où l’on procure des abortifs peuvent demander la même protection.
Le contrevenant s’expose à une amende de 5.000 $ et six mois de prison.
Le procureur général de l’Etat, Yasir Naqvi, qui est aussi ministre de la Justice et député libéral, et qui est à l’origine du texte, s’est félicité que les trois partis politiques aient travaillé ensemble pour faire passer la loi en un temps record, sans amendements. « Nous, les législateurs, avons adopté une loi très importante qui garantit aux femmes un accès sûr aux services de santé tels que la santé reproductive et les services d’avortement. Nous avons travaillé très rapidement sur ce projet de loi pour assurer que nous protégeons les femmes. » Sic.
Une telle loi a été votée dès 1996 en Colombie-Britannique, et le 21 novembre 2016 à Terre-Neuve-et-Labrador. Elle a également été adoptée au Québec, semble-t-il dans l’indifférence générale, le 6 décembre 2016, sous forme d’amendement à une loi sur l’« assurance maladie ».