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  • La gay pride et l’adhésion à l’UE

    Le prétendu « ambassadeur » de l’UE à Belgrade, le Français Vincent Degert, a déclaré qu’il participerait à la gay pride dimanche prochain dans la capitale serbe. Diverses ambassades ont déclaré qu’elles enverraient des représentants, selon l’organisateur de « l’événement », Lazar Pavlovitch.

    La dernière fois que la gay pride a été organisée à Belgrade, c’est en 2001. Elle s’était terminée en émeute.

    Entre 3.000 et 5.000 policiers seront mobilisés, soit au moins trois policiers par manifestant attendu.

    Lazar Pavlovitch souligne que si le gouvernement serbe autorise cette année la gay pride, c’est notamment pour avoir une bonne image à Bruxelles et faciliter les négociations pour l’adhésion de la Serbie à l’UE. Le ministre des droits des minorités est également attendu dans le cortège.

  • Islam de France, républicain et tout et tout

    « Pour un musulman, tous les aspects de la vie, le matériel et le spirituel, la religion et l’état, sont liés, car tout appartient à Dieu, et à Lui Seul. L’Islam donne des directives précises à suivre dans chaque domaine de la vie : au niveau individuel, moral, social, politique, économique, … »

    Sur le site de la mosquée d’Evry.

    (via Le Post, via l’Observatoire de l’islamisation)

  • L’AGRIF contre Larry Clark

    L’AGRIF demande au Procureur et à la Justice d’agir contre l’obscène et abominable exposition pornographique de Larry CLARK mettant en scène des mineurs

     Ce 8 octobre 2010 et jusqu’au 2 janvier 2011, le Musée d’art moderne de la Ville de Paris expose une rétrospective du photographe américain Larry Clark.

    A l’ouverture de l’exposition, une permanente de l’AGRIF s’est rendue avec l’un de nos avocats pour s’assurer de son illégalité préalablement à toute action judiciaire.

    Ce qu’ils y ont vu dépasse l’entendement : il s’agit ni plus ni moins que d’une exposition pornographique mettant en scène des mineurs que l’on justifie bien entendu au nom de l’art moderne.

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  • Un prêtre français

    On apprend par l’ambassade… des Philippines en Arabie saoudite que le prêtre arrêté pour avoir dit la messe dans un hôtel de Ryad est un prêtre français.

    Pas un mot sur le site de l’ambassade de France, où l’on apprend en revanche que « le Roi est rentré hier à Riyad, venant de Djedda », ce qui est en effet d’une importance capitale.

    (via Bivouac-ID)

  • Bruno Gollnisch et la peine de mort

    Intervention de Bruno Gollnisch au Parlement européen, le 6 octobre.

    Monsieur le Président, mes chers collègues,

    Pour la huitième édition de la journée mondiale contre la peine de mort, j’aurai une pensée émue pour tous ceux à qui elle n’a pas été épargnée.

    Pour les 200.000 enfants à naître innocents que l’on fait disparaître chaque année en France.

    Pour Anne Mougel, cette jeune femme de 29 ans assassinée il y a quelques semaines à coup de tournevis par un récidiviste.

    Pour ce gamin de 4 ans égorgé il y a dix jours à Meyzieu près de chez moi.

    Pour ce vieil homme poignardé en janvier à Roquebrune par un homme qui avait déjà été poursuivi pour des agressions au couteau.

    Pour les 6 à 700 innocents assassinés chaque année en France et combien de milliers d’autres en Europe et dans le monde.

    Pour Marie-Christine Hodeau, Nelly Crémel, Anne-Lorraine Schmitt, et tant de leurs semblables dont le seul tort a été de croiser un jour la route d’un criminel que souvent la loi avait permis de libérer après un premier crime odieux.

    Pour les victimes de tous les Dutroux, les Evrard et les Fourniret dont la vie, si elles ne l’ont pas perdue, a été saccagée.

    Pour les morts de Londres, de Madrid et d’ailleurs victimes du terrorisme aveugle.

    Je pense à eux parce que pour les victimes, on n’organise pas de journée mondiale. Mais souvent les bourreaux, eux, méritent la peine de mort.

    Dans un Etat de droit, et là seulement, la peine de mort n’est pas un crime d’Etat. Elle permet de protéger définitivement la société et la population contre ces criminels dont c’est aussi, parfois, la seule voie de rédemption.

  • Quand le Conseil de l’Europe adopte le contraire de la résolution prévue…

    L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe discutait hier d’un projet de résolution visant à restreindre fortement l’objection de conscience dans le domaine de l’avortement.

    Mais elle a voté un texte qui affirme le droit plein et entier à l’objection de conscience :

    « Nul hôpital, établissement ou personne ne peut faire l'objet de pressions, être tenu responsable ou subir des discriminations d'aucune sorte pour son refus de réaliser, d'accueillir ou d'assister un avortement, une fausse couche provoquée ou une euthanasie, ou de s'y soumettre, ni pour son refus d'accomplir toute intervention visant à provoquer la mort d'un fœtus ou d'un embryon humain, quelles qu'en soient les raisons. »

    Contrairement à ce que je lis ici ou là, je ne crois pas une seconde que les pétitions y soient pour quoi que ce soit.

    Le fait est simplement que le groupe PPE est présidé par Luca Volontè (grâce au lobbying efficace du Vatican), et que dans ces domaines on ne peut pas rêver mieux. Il fut secondé, dans le débat, par l’Irlandais Ronan Mullen, qui est aussi pro-vie que lui, ainsi que par l’Italien Renato Farina et le Letton (du groupe libéral) Oskar Kastens.

    Ils avaient proposé 90 amendements, dont les plus importants ont été votés, ce qui a renversé le sens du texte.

    L’amendement cité ci-dessus, qui est en fait la nouvelle version du premier paragraphe, a été proposé par Luca Volontè, Dariusz Lipiński, Valeriu Ghiletchi, Latchezar Toshev, Laurent Béteille, Pavol Kubovič, Martin Fronc, João Bosco Mota Amaral, Francis Agius, Joseph Falzon, Rossana Boldi. Honneur à eux. Le seul Français signataire d’amendements est le sénateur-maire de Brunoy (Essonne), Laurent Béteille, qui est seulement membre suppléant de l’Assemblée. (il n’a pas pris part au débat. Le seul parlementaire français qui ait participé au débat est la socialiste Maryvonne Blandin, dans le sens qu'on imagine, et pire encore: le droit à l'avortement n'est "pas négociable").

    Si je ne crois pas aux pétitions, je crois en revanche (comme Luca Volontè et ses amis) au Rosaire et à la victoire de Lépante, dont nous avons eu ce 7 octobre 2010 une nouvelle version…

  • Défendre l’identité culturelle des nations

    Recevant hier le nouvel ambassadeur du Chili, Benoît XVI a souligné les « fruits de sainteté, de charité et d'humanisme produits par l'Evangile » dans ce pays, et, donc, l'importance de « répondre aux menaces contre l'identité culturelle », en aidant les chrétiens, spécialement les jeunes, à être « fiers » de leur foi, en mettant en valeur leur histoire, leur culture et leur héritage artistique « qui constituent le meilleur du patrimoine culturel chilien ».

  • Mgr Piacenza à la Congrégation pour le clergé

    Benoît XVI a nommé Mgr Mauro Piacenza préfet de la congrégation pour le Clergé. Il fut ordonné prêtre par le cardinal Siri, qui le fit chapelain de l’université de Gênes. Depuis 2007 il était secrétaire de la Congrégation pour le Clergé, et à ce titre il fut une cheville ouvrière de l'Année sacerdotale aux côtés du cardinal Claudio Hummes auquel il succède.

  • Sainte Gertrude

    Dans la série « les femmes du pape », si j’ose dire, ou plutôt les grandes saintes médiévales, après sainte Hildegarde, sainte Claire, sainte Mechtilde, c’est naturellement sainte Gertrude que Benoît XVI a évoqué mercredi. Voici le premier et les derniers paragraphes de sa catéchèse. (NB. L’agence Zenit nous apprend que cette audience a été traduite en langue des signes, pour 70 sourds de Bergame. Du coup elle ne nous donne pas le texte…)

    Sainte Gertrude la Grande, dont je voudrais vous parler aujourd'hui, nous conduit cette semaine encore au monastère de Helfta, où sont nés certains des chefs-d'œuvre de la littérature religieuse féminine latino-allemande. C'est à ce monde que Gertrude appartient, l'une des plus célèbres mystiques, seule femme en Allemagne à recevoir l'épithète de Grande, en raison de sa stature culturelle et évangélique : à travers sa vie et sa pensée, elle a influencé de manière singulière la spiritualité chrétienne. C'est une femme exceptionnelle, dotée de talents naturels particuliers et d'extraordinaires dons de grâce, d'une profonde humilité et d'un zèle ardent pour le salut du prochain, d'une intime communion avec Dieu dans la contemplation et disponible à venir au secours des plus nécessiteux. (...)

    En particulier, deux faveurs lui sont plus chères que toutes les autres, comme Gertrude l'écrit elle-même : « La première est l'empreinte que vous avez formée sur mon cœur, par les splendides joyaux de vos plaies sacrées. La seconde est cette blessure d'amour si profonde et si efficace que, (dussé-je vivre mille ans dans le plus complet délaissement), je goûterais sans cesse un bonheur ineffable au souvenir de ces deux bienfaits. Ils me seraient à chaque heure une source suffisante de consolation, de lumière et de gratitude. Pour ajouter à ces faveurs, vous m'avez encore admise à l'incomparable familiarité de votre tendresse, en m'offrant l'arche très noble de votre divinité, c'est-à-dire votre Cœur sacré, pour que j'y trouve mes délices [...]. Enfin vous m'avez donné pour avocate votre très douce Mère la bienheureuse Vierge Marie, me recommandant plusieurs fois à elle avec autant de tendresse qu'en mettrait un époux à confier à sa propre mère l'épouse qu'il s'est choisie. »

    Tendue vers la communion sans fin, elle conclut sa vie terrestre le 17 novembre 1301 ou 1302 à l'âge d'environ 46 ans. Dans le septième Exercice, celui de la préparation à la mort, sainte Gertrude écrit : « O Jésus, toi qui m'es immensément cher, sois toujours avec moi, pour que mon cœur demeure avec toi et que ton amour persévère avec moi sans possibilité de division et que mon trépas soit béni par toi, de manière à ce que mon esprit, libéré des liens de la chair, puisse immédiatement trouver le repos en toi. Amen. »

    Il me semble évident que ces choses ne sont pas seulement des choses du passé, historiques, mais l'existence de sainte Gertrude reste une école de vie chrétienne, de voie droite, et nous montre que le cœur d'une vie heureuse, d'une vie véritable, est l'amitié avec Jésus, le Seigneur. Et cette amitié s'apprend dans l'amour pour l'Ecriture Sainte, dans l'amour pour la liturgie, dans la foi profonde, dans l'amour pour Marie, de manière à connaître toujours plus réellement Dieu et le bonheur véritable, but de notre vie.

  • Sainte Brigitte

    « Mais leur foi est malade et titubante, puisqu'ils ont foi seulement quand la tribulation ne les assaille pas. Ils se désespèrent, à peine sont-ils contrariés par quelque chose. Leur espérance est présomptueuse, car ils espèrent que le péché échappera à la justice et au vrai jugement. Ils espèrent obtenir le Royaume des cieux pour rien et désirent la miséricorde sans la sévérité de la justice. Et leur amour envers Moi, le Christ, est complètement froid, car ils ne brûlent jamais du désir de Me chercher, sauf s'ils y sont contraints par les afflictions. Comment pourraient être réchauffés de tels hommes qui n'ont pas une juste foi, ni une ferme espérance, ni un amour ardent envers Moi? C'est pourquoi lorsqu'ils M'invoquent: "Ayez pitié de moi, ô mon Dieu"; ils ne méritent pas d'être exaucés et pas davantage d'entrer dans ma gloire. Puisqu'ils ne veulent pas accompagner leur Seigneur au martyre, ils ne l'accompagneront pas non plus dans la gloire. »

    (Extrait des Révélations)