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  • La Norvège de plus en plus loin de l’UE

    Selon le dernier sondage en date, 65% des Norvégiens sont contre l’adhésion de leur pays à l’Union européenne. 25% pour.

  • Mariés dimanche

    Eric Besson (52 ans) s’est marié hier avec sa jolie Tunisienne Yasmine Tordjman (24 ans)… au ministère de l’Immigration, selon l’AFP.

    Le Salon Beige, réagissant à une information de 20 minutes selon laquelle il se serait marié à la mairie du 7e arrondissement, a titré : « Une mairie qui travaille le dimanche ».

    Si l’information de l’AFP est véridique, c’est seulement le maire qui a travaillé. Or il s’agit de Rachida Dati. Quand on est musulman, il est normal de travailler le dimanche, surtout quand c’est pour marier une musulmane (ou peut-être un couple de musulmans ?)…

  • Un nouveau pas dans l’islamisation de la Turquie

    Les Turcs étaient appelés aux urnes, hier, pour un référendum sur une série d’amendements (très divers) à la Constitution. Les sondages n’étaient pas très nets. Le résultat l’est : 58% de oui.

    Le scrutin était organisé 30 ans jour pour jour après le coup d’Etat militaire de 1980. Il était donc focalisé sur les amendements qui renforcent le pouvoir civil (c’est-à-dire islamique) contre le pouvoir militaire (c’est-à-dire laïciste). Et Erdogan l’a dit ouvertement, pendant la campagne, quand il demandait de voter pour la Constitution du peuple contre celle des militaires, et après l’annonce des résultats : "Le régime de tutelle (de l'armée) fait désormais partie de l'histoire."

    "Ces réformes sont un pas dans la bonne direction puisqu'elles répondent à un certain nombre de priorités dans les efforts de la Turquie pour se conformer pleinement aux critères d'adhésion", a déclaré Stefan Füle, le commissaire européen à l’élargissement, tout en soulignant que l’UE serait attentive aux lois qui mettront ces réformes en œuvre, et que la Turquie avait besoin d’autres réformes, notamment "dans le domaine des droits fondamentaux, comme la liberté d’expression et la liberté de religion".

    Ce 12 septembre n’est pas seulement une réponse au 12 septembre 1980. C’est aussi une réponse au 12 septembre 1683, quand l’islam turc avait été chassé des portes de Vienne.

  • Baby loup (de l’islam)

    Extraits d’un article du Figaro

    C'est une crèche unique en France, ouverte 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, afin que les parents puissent travailler en horaires décalés.

    Installée au coeur de la Cité de la Noé (célèbre pour avoir servi de cadre au film La Haine de Mathieu Kassovitz), Baby Loup accueille en permanence une bonne trentaine d'enfants de toutes nationalités.

    Baby Loup a été créée en 1990 avec le soutien actif du maire de Chanteloup-les-Vignes, Pierre Cardo.

    Natalia Baléato, une femme énergique d'origine chilienne, est recrutée pour la piloter. Elle est assistée, entre autres, de Fatima Afif, qui veut devenir éducatrice. Fatima se forme et, en 1998, devient directrice adjointe.

    En décembre 2008, à l'issue d'un congé parental de cinq ans, après deux grossesses, Mme Afif revient voilée en noir de la tête aux pieds. Seul son visage est découvert. Cherchet- elle la rupture ? Elle annonce d'emblée que sa tenue «n'est pas négociable» bien qu'elle sache que le règlement intérieur l'interdise. C'est le clash. Natalia Baléato n'en finit pas de raconter cette journée cauchemardesque du 9 décembre 2008, où son ex-bras droit s'est muée en ennemie, multipliant insultes et provocations au milieu des enfants. «Toi et tes grands principes, j'en ai marre!» crie-t-elle. Ou encore: «Ferme-là! Qu'est-ce que tu connais de l'islam?» Licenciée pour insubordination et faute grave, Fatima Afif n'en reste pas là. Elle monte les autres salariées de Baby Loup contre la direction, en appelle à la solidarité entre musulmans, saisit la Halde et les prud'hommes.

    L'année 2009 se déroule sous haute tension: arrêts maladie intempestifs et refus de travailler de certains personnels, qui tentent d'imposer leur voile, demandes de faire faire les prières aux enfants... Les parents se divisent. Le fragile consensus pour «maintenir un espace de neutralité et sauvegarder le vivre ensemble», dixit la direction, menace de voler en éclats. Les tensions sont telles que la direction de Baby Loup doit faire appel à des consultants extérieurs pour gérer les 20 salariés. En mars, coup de tonnerre: la Halde donne raison à Fatima Afif.

    Depuis, c'est le branle-bas de combat chez les partisans de Baby Loup: la crèche a pris un nouvel avocat, la directrice multiplie les interviews, Elisabeth Badinter, marraine de l'association, remue ciel et terre. A peine arrivée à la Halde, Jeannette Bougrab prend le contre-pied de son prédécesseur et promet une nouvelle délibération.

    Au-delà de la survie de la crèche, l'affaire Baby Loup a braqué les projecteurs sur une réalité peu réjouissante: la mainmise croissante des radicaux musulmans sur les quartiers, ici et ailleurs.

  • Sic

    Lu sur le site La Porte latine (via un commentaire de Summorum Pontificum - j'ajoute le lien pour vérification, tellement c'est incroyable) :

    "La Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X est, à ce jour, la plus importante entité dépositaire de toute la Tradition culturelle et religieuse de l'Occident."

  • Du trône du jugement au trône de la miséricorde

    Extrait de l’allocution de Benoît XVI avant l’Angelus d’hier.

    Chers amis, comment ne pas ouvrir notre cœur à la certitude que, tout en étant pécheurs, nous sommes aimés de Dieu ? Il ne se lasse jamais de venir à notre rencontre, il fait toujours lui-même en premier le chemin qui nous sépare de lui. Le livre de l'Exode nous montre comment Moïse, par sa supplication confiante et audacieuse, a réussi en quelque sorte, à déplacer Dieu de son trône du jugement au trône de la miséricorde (cf. 32,7-11.13-14).

    Le repentir est la mesure de la foi et grâce à lui, on revient à la Vérité. L'apôtre Paul écrit : « Il m'a été fait miséricorde parce que j'agissais par ignorance, étranger à la foi » (1 Tm 1,13). Pour revenir à la parabole du fils qui revient « à la maison », nous notons que lorsque le fils aîné paraît, indigné par l'accueil festif réservé à son frère, c'est encore le père qui va à sa rencontre et sort pour le supplier : « Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi » (Lc 15,31). Seule la foi peut transformer l'égoïsme en joie et renouer des rapports justes avec notre prochain et avec Dieu. « Il fallait bien festoyer et se réjouir - dit le père - car ton frère que voilà... était perdu, et il est retrouvé ! » (Lc 15,32).

  • Versa est in luctum cithara mea

    R. Versa est in luctum cithara mea, et organum meum in vocem flentium. Parce mihi Domine: nihil enim sunt dies mei.
    V. Cutis mea denigrata est super me, et ossa mea aruerunt.
    R. Parce mihi Domine: nihil enim sunt dies mei.

    Ma cithare s'est changée en un chant de deuil, et mon orgue rend des sons lugubres. Epargne-moi, Seigneur, car mes jours ne sont que néant. Ma peau s'est noircie sur moi, et mes os se sont desséchés.

    Répons des matines : Job 30, 31 ; 7, 16 ; 30, 30.

  • 16e dimanche après la Pentecôte

    Voyant ceux qui s’installent aux places d’honneur, à un repas où il est également invité, chez un pharisien, Jésus leur dit qu’ils devraient choisir la dernière place, pour éviter l’humiliation de se faire déloger si quelqu’un de plus important arrive, alors que ce sera au contraire une gloire si le maître de maison les fait monter de la dernière à la première place.

    Naturellement, il ne s’agit pas d’une leçon du manuel de savoir vivre en société. C’est une parabole sur l’humilité. Et saint Luc le montre clairement, d’emblée, lorsqu’il parle des « invités », comme disent les traductions courantes. Car il n’emploie pas le mot « invité ». Il emploie un verbe qui veut dire « appeler », et même « nommer ». Ces invités sont ceux qui sont appelés à entrer dans le royaume des cieux, appelés par leur nom. Mais ce n’est pas parce qu’ils sont appelés qu’ils doivent se croire arrivés…

  • Nouveau patriarche, nouvelle orientation

    Le nouveau patriarche orthodoxe serbe Irinej, en visite à Vienne, s’est exprimé en faveur du dialogue avec l'Eglise catholique, parce que l'unité des chrétiens est "une nécessité pour tous".

    Quand on connaît l’animosité anticatholique des orthodoxes serbes, c’est un propos qui mérite d’être relevé. Mais quand on connaît les liens entre la Serbie et la Russie, et l’orientation actuelle du patriarcat de Moscou, on comprend mieux.

    Demain, le patriarche célèbrera la divine liturgie à Vienne en présence de l’archevêque de Vienne le cardinal Schönborn. Lundi, il rencontrera le président de la République et le maire de la capitale.

    Il est en Autriche pour célébrer les 150 ans de la fondation de la communauté serbe orthodoxe de Vienne. Il y aurait aujourd’hui quelque 400.000 Serbes en Autriche.

  • La Commune identitaire

    Le site « identitaire » Projet Apache s’élève contre des stylistes qui « n’ont pas hésité à récupérer le vocabulaire et l’imagerie de la Commune pour lancer une marque de vêtements de luxe (45 euros le tshirt, 165 euros la chemise !) à destination des petits bourgeois en tous genres, descendants directs et dignes successeurs des fusilleurs versaillais ».

    Insulte, outrage, cynisme mercantile, marchands du temple, etc. Ils « assassinent une seconde fois les communards ». Et le texte conclut :

    « La Commune ne sera jamais un folklore pour « créatifs » en manque d’inspiration, c’est un état d’esprit communautaire, patriote et social qui rejette la dictature mercantile ! »

    On rappellera à ces identitaires que la Commune, première révolution communiste dans la mythologie marxiste-léniniste, fut célébrée par Karl Marx, dont le livre “La guerre civile en France” servit au scénario du film soviétique “La nouvelle Babylone” – qui est de la propagande tellement au premier degré (et avec des erreurs tellement grossières) qu’il en est hilarant.

    Quant à la Commune et l’identité chrétienne de la France, ce petit résumé pris sur wikipedia en dit suffisamment :

    « Le 2 avril, la Commune décrète la séparation de l'Église (catholique) et de l'État, la suppression du budget des cultes, la sécularisation des biens des congrégations religieuses. Les religieux des couvents de Picpus, des Dames-Blanches et d'Arcueil sont inquiétés ou arrêtés sous divers prétextes. L'église Saint-Laurent et l'église Notre Dame des Victoires sont perquisitionnées. L'archevêque de Paris, Georges Darboy, est arrêté comme otage le 2 avril. La demande d'échange avec Auguste Blanqui, détenu par le gouvernement Thiers, est repoussée le 12 avril puis le 14 mai par Adolphe Thiers. Le prélat est exécuté par les Communards avec quatre autres ecclésiastiques en représailles de l'avance des troupes versaillaises. »

    Oui, la répression de la Commune fut atroce. Non, la Commune n'est en rien emblématique de l'identité française.