Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • Le Sénat américain dit non

    Le Sénat américain a rejeté mardi pour une durée indéfinie l'examen de l'abrogation de la loi qui impose aux soldats américains homosexuels de cacher leur orientation sexuelle, décevant ainsi la Maison Blanche qui soutient cette proposition.

    Les élus se sont prononcés par 56 voix contre 43, soit 4 voix de moins que nécessaire pour permettre l'ouverture formelle des débats sur une vaste loi de finance pour le Pentagone, qui comprend notamment des dispositions pour l'abrogation de la loi "Don't ask, don't tell" (ne rien demander, ne rien dire) adoptée en 1993.

    Les sénateurs républicains ont fait bloc pour s'opposer à cette loi. Deux sénateurs démocrates ont voté dans le même sens.

    Outre la proposition d'abrogation de "Don't ask, don't tell", les sénateurs, en refusant d'ouvrir les débats, ont également mis de côté une loi d'immigration, dite DREAM act, qui aurait permis à de jeunes immigrés d'être régularisés et intégrés après un passage par les universités américaines.

    (AFP)

  • Les « familles homoparentales » en congrès

     

    855be2b46d.jpg

    Ça date un peu, mais je ne l’ai pas vu évoqué dans mes blogs préférés : les 17 et 18 septembre ont eu lieu à Paris les « Premières Journées européennes des familles homoparentales ».

     

    Rappelons que « homoparental » n’est pas un mot du dictionnaire français, qu’il n’existe aucune famille où deux personnes du même sexe soient les parents de leurs enfants, et que le mot famille est donc ici une imposture.

    Voici comment cela était présenté :

    « L’objectif de ces Journées est de mettre en lumière l’homoparentalité et la diversité des familles homoparentales en Europe, ainsi que d’élaborer des projets visant à promouvoir la reconnaissance et les droits des familles homoparentales. (…)Ces Journées se concluront par des témoignages d’enfants et de jeunes adultes ayant grandi avec des parents gays, lesbiens ou transsexuels. »

  • Mercredi des quatre temps de septembre

    Je sais, frères très chers, que la plupart d’entre vous sont fidèles aux pratiques de la foi chrétienne. Point n’est besoin de vous y engager par nos exhortations. Tout ce que la tradition a établi et que l’usage a confirmé, votre érudition ne l’ignore pas, votre miséricorde ne le néglige pas. Pourtant le ministère sacerdotal doit déployer la même sollicitude à l’égard de tous les fils de l’Église. Aussi recommandons-nous à tous sans distinction une pratique qui doit être salutaire aux commençants comme aux instruits que nous embrassons d’un même amour; avec une foi allègre, célébrons, par la mortification de l’esprit et du corps, le jeûne auquel nous oblige le retour du mois de septembre.

    L’observation du jeûne, en effet, a été fixée aux quatre saisons; ainsi, par le retour périodique du cycle de toute l’année nous réalisons que nous avons sans cesse besoin de purification; sans cesse nous devons tâcher, au milieu des vicissitudes de cette vie, d’effacer par le jeûne et les œuvres de bienfaisance le péché contracté par la fragilité de la chair et la souillure des convoitises. Souffrons donc un petit peu de la faim, frères bien-aimés; retranchons de notre ordinaire un petit quelque chose qui puisse soulager les pauvres.

    Que la conscience généreuse goûte le fruit de ses largesses; si tu donnes avec joie, tu recevras toi-même de quoi te combler de joie. L’amour du prochain est amour de Dieu puisque Dieu a voulu concentrer la plénitude de la Loi et des Prophètes dans cette unité d’une double charité. Personne ne peut en douter désormais: c’est à Dieu même qu’il offre ce qui est donné à un homme. Le Seigneur et Sauveur l’a dit, parlant des pauvres à nourrir et à soulager: « Ce que vous avez fait à l’un d’eux, c’est à moi que vous l’avez fait » (Mt 25, 40). Jeûnons donc mercredi et vendredi, et samedi, célébrons les vigiles auprès du bienheureux apôtre Pierre. Ses mérites et ses prières, nous le croyons, nous aideront à rendre notre jeûne et notre dévotion agréables au Dieu de miséricorde.

    Saint Léon le Grand

  • Suspension de séance

    pour cause d'invasion familiale.

  • "Devant cette basilique Saint-Denis"…

    Bruno Gollnisch a fait sa déclaration de candidature à la présidence du Front national devant la basilique de Saint-Denis. La mairie communiste a crié à la « provocation ». L’entrée de la basilique lui a été interdite par un sbire du diocèse.

    Voici sa déclaration.

    Mesdames, Messieurs ;

    Je m’exprime aujourd’hui devant cette basilique Saint-Denis, tombeau d’abord de l’héroïque Denis, premier évêque de Paris,  martyrisé en 275, puis joyau de l’art gothique, admirable nécropole royale autrefois profanée par le vandalisme révolutionnaire. Ici reposent tant de ceux qui ont fait la France ou l’ont défendue, de Charles Martel jusqu’au siècle dernier. Nous sommes au cœur d’une région capitale sinistrée par des années de calamiteuse gestion marxiste, minée par une immigration incontrôlée, en proie à une violence à laquelle certains ne voient que des causes matérielles et des excuses sociales, alors qu’elle est 87 fois supérieure à celle de la Creuse, ou cependant la pauvreté est plus sévère.

    La Seine-Saint-Denis ne doit pas devenir pour la France ce que fut le Kossovo pour la Serbie : berceau de l’Histoire nationale progressivement submergé, puis amputé par les forces d’une coalition étrangère !

    Lire la suite

  • La secte Lutte ouvrière telle qu’en elle-même

    Le site Marianne2 a révélé que le fondateur et chef occulte permanent de Lutte ouvrière, Robert Barcia, dit « Hardy », est mort… il y a plus d’un an, début juillet 2009.

    Lutte ouvrière affirme avoir seulement respecté ses dernières volontés.

  • Daoudal Hebdo N° 95

    N°95 - Semaine 37.jpg

    Daoudal Hebdo N° 95

    Dans ce numéro

     Pages 2 & 3
    Le dogme de la mixité scolaire a du plomb dans l’aile

     Page 4
    Etre commerçant au Franc-Moisin

     Page 5
    Un nouveau pas dans l’islamisation de la Turquie

     Pages 6 & 7
    Le montage de l’affaire des Corans (non) brûlés

     Page 8
    Eliminer Dieu, c’est se couper de la source de la vie
    Dimanche prochain…

    Daoudal Hebdo, BP 16023, 56160 Guémené-sur-Scorff

    abonnement un an 180 € (papier), 100 € (par courriel)

    Abonnement 6 mois noir et blanc : 70 €

    Spécimen gratuit sur simple demande

  • Saint Corneille, pape, et saint Cyprien, évêque, martyrs

    Grande avait été la vie de Cyprien ; plus grande fut sa mort. Valérien venait d'ordonner l'extermination des chefs des Eglises. A Rome, Sixte II, suivi de Laurent trois jours plus tard, reprenait le premier le chemin du martyre. Galérius Maximus, proconsul d'Afrique, tenait dans ces jours-là ses assises à Utique ; il ordonna d'y amener Thascius Cyprien. Mais l'évêque refusa de laisser « mutiler l'honneur de son Eglise », en consentant à mourir sur un territoire autre que celui de sa ville. Il attendit que le proconsul rentrât dans Carthage pour se livrer, en y rentrant publiquement lui-même.

    Dans la maison qui lui servit de prison quelques heures, Cyprien, toujours égal et l'âme tranquille, réunit une dernière fois à sa table ses familiers ordinaires. Au dehors, les chrétiens accourus ne voulurent pas de toute la nuit s'éloigner du maître et du père ; c'était, lui vivant, la première veille de la fête qui chaque année devait célébrer son triomphe. Conduit au matin chez le proconsul, il se trouva qu'on lui donna pour siège un fauteuil paré comme les chaires épiscopales. C'était bien, en effet, une fonction épiscopale qui commençait, l'office pontifical par excellence de donner sa vie pour l'Eglise en union du Pontife éternel. L'interrogatoire fut court, on n'espérait pas ébranler Cyprien. Le juge rendit sa sentence : elle portait que Thascius  Cyprien serait frappé du glaive. On gagna le lieu où elle devait s'accomplir. Les soldats semblaient former à l'évêque un cortège d'honneur ; lui s'avançait paisible, entouré de ses clercs comme aux jours des solennités. Une émotion profonde régnait dans la foule immense d'amis et d'ennemis venus pour assister au sacrifice. L'heure était arrivée. Le pontife pria, prosterné en terre. Puis, se relevant, il fit donner vingt-cinq pièces d'or à l'exécuteur,  et enleva sa tunique qu'il remit aux diacres ;  lui-même se banda les yeux ; un prêtre aidé  d'un sous-diacre lui lia  les mains, tandis que  le peuple étendait autour de lui des linges pour recueillir son sang. Ce fut seulement  à  la demande  de l'évêque, et comme sur son ordre, que le bourreau tremblant abattit son glaive. Le soir, les fidèles vinrent avec des flambeaux et des hymnes ensevelir Cyprien. On était au 14 septembre de l'année 258.

    Dom Guéranger

    Sur saint Cyprien et saint Corneille, voir ici.

  • Viviane Reding in english

    C’est en anglais que Viviane Reding, commissaire européen à la Justice, parfaite francophone, a tancé la France dans l’affaires des Roms, souligne Jean Quatremer.

  • Reynald Secher au Centre Charlier

    Le génocide et la Révolution

    24 ans après le maître ouvrage La Vendée-Vengé, le point sur l’historiographie du génocide vendéen

    Jeudi 23 septembre 2010 à 19h 30

    au Centre Charlier, 70 Boulevard Saint-Germain 75005 PARIS

    (métro Maubert-Mutualité, autobus 24, 47, 63, 86, 87, RER B et C Saint-Michel)

    Téléphone : 01 40 51 74 07

    La conférence sera suivie du traditionnel buffet

    Participation aux frais : 8 € / Étudiants, chômeurs : 4 €