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  • Le procès de Le Pen en appel (2)

    Vu par Alexandre Simonnot

    Nous étions une poignée d’amis pour venir soutenir notre Président Jean-Marie LE PEN ce mercredi 29 Octobre devant la 11ème Chambre de la Cour d’Appel de Paris. Jean-Marie comparaissait à nouveau pour avoir osé déclarer dans Rivarol, à propos de l’occupation allemande, qu’elle ne fut pas « particulièrement inhumaine ». Rappelons qu’en première instance, il fut condamné à 10 000 Euros d’amende et 3 mois de prison avec sursis.

    Face à nous, une soixantaine de fils et filles de déportés juifs de France, agressifs, haineux, acharnés à vouloir nous faire passer pour ce que nous ne sommes pas. Ils portaient tous, très ostensiblement, un badge jaune, frappé d’une étoile de David, rappelant ainsi l’étoile jaune de la guerre, comme si Jean-Marie en était le responsable.

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  • Joseph Ratzinger et la liturgie

    Pourquoi Joseph Ratzinger a voulu que l’édition de ses opera omnia commence par le volume XI, consacré à la liturgie ? Il l’explique dans la préface à ce volume, que Sandro Magister publie en version française.

    Ce texte est fort intéressant. Sous un certain aspect, il est aussi fort curieux. Le pape se plaint de ce qu’on ait presque exclusivement commenté ce qu’il dit de l’orientation, dans son livre L’esprit de la liturgie, alors que cela ne fait l’objet que d’un très bref chapitre. Et… il évoque de nouveau la question, sur deux grands paragraphes qui occupent un tiers de la préface (si l’on ne tient pas compte des remerciements). Il conclut : « Mais peut-être ai-je à nouveau trop parlé de ce point, qui constitue à peine un détail de mon livre et que je pourrais même omettre »…

  • Saint Bonaventure pour comprendre le Concile…

    Le pape Benoît XVI a envoyé un message aux franciscains à l’occasion de d’un congrès international sur "le Concile Vatican II dans le pontificat de Jean-Paul II", organisé par la faculté pontificale de théologie Saint-Bonaventure (le “Seraphicum”).

    Une petite phrase ne passe pas inaperçue. Soulignant que la faculté vénère saint Bonaventure, le docteur séraphique, comme son céleste patron, il ajoute : « Par la richesse de sa pensée, il peut vous offrir des clefs de lecture toujours valables pour aborder les textes de Vatican II, pour y trouver des réponses satisfaisantes aux interrogations de notre temps. »

  • Saint Paul et la Croix

    Le pape Benoît XVI a consacré hier sa catéchèse à la théologie de la Croix chez saint Paul. Extrait :

    « Pourquoi saint Paul a-t-il fait précisément de la parole de la Croix le point fondamental de sa prédication ? La réponse n'est pas difficile : la Croix révèle « la puissance de Dieu » (cf. 1 Co 1, 24) qui est différente du pouvoir humain ; elle révèle en effet son amour : « La folie de Dieu est plus sage que l'homme, et la faiblesse de Dieu est plus forte que l'homme » (ibid., v. 25). Plusieurs siècles après Paul, nous voyons que c'est la Croix et non la sagesse qui s'oppose à la Croix, qui a gagné dans l'histoire. Le Crucifié est sagesse, car il manifeste vraiment qui est Dieu, c'est-à-dire la puissance d'amour qui arrive jusqu'à la Croix pour sauver l'homme. Dieu utilise des méthodes et des instruments qui à première vue ne nous semblent que faiblesse. Le Crucifié révèle, d'une part, la faiblesse de l'homme et, de l'autre, la véritable puissance de Dieu, c'est-à-dire la gratuité de l'amour : c'est précisément cette gratuité totale de l'amour qui est la véritable sagesse. »

  • Intention de Benoît XVI

    L’intention missionnaire de Benoît XVI pour le mois de novembre 2008 :

    « Pour que les communautés chrétiennes de l’Asie, en contemplant le visage du Christ, sachent trouver les voies les plus justes pour l’annoncer aux populations de ce vaste continent, riche de cultures et d’anciennes formes de spiritualité, dans la pleine fidélité à l’Évangile. »

    Eucharistie miséricordieuse en publie un bon commentaire.

  • Daoudal Hebdo N° 9

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    Dans ce numéro

    Page 2
    C’est à Prague que ça se passe…

    Page 3
    On ne plaisante plus avec l’islam

    Page 4
    « Réchauffement climatique » : Aznar a changé d’avis…
    Pourquoi les glaciers du Groenland fondent
    La température, c’est… le soleil

    Page 5
    L’infâme dictature du climatiquement correct

    Page 6
    Irak : les Américains ont des sueurs froides

    Page 7
    Le génocide des chrétiens d’Irak

    Page 8
    Le synode convie au voyage
    Dimanche prochain…

  • Collecte

    Omnipotens sempiterne Deus, infirmatem nostram propitius respice ; atque ad protegendum nos, dexteram tuae majestatis extende.

    Dieu éternel et tout-puissant, considére dans ta bienveillance notre faiblesse, et, pour nous protéger, déploie la majesté de ta droite.

    (Collecte de cette semaine les jours de férie)

  • Blabla polonais sur l’euro

    Le Premier ministre polonais Donald Tusk a annoncé hier que le gouvernement avait adopté une feuille de route pour l’adhésion de la Pologne à la zone euro « d’ici la fin de 2011 ». C’est-à-dire le 1er janvier 2012, mais il dit « fin 2011 » parce que le mois dernier il avait parlé d’une adhésion en 2011…

    Il a présenté son calendrier au président Lech Kaczynski, et celui-ci a déclaré : « Je ne me passionne pas pour l'euro autant que le ministre des Finances Jacek Rostowski, mais je suis prêt à en discuter. »

    Ce propos a surpris les observateurs, qui y voient une étonnante et subite conversion du président polonais, car celui-ci s’était toujours prononcé contre une adhésion rapide et après un référendum.

    Et les mêmes observateurs soulignent que le président prend ainsi une position différente de celle de son jumeau, alors que jusqu’ici ils ont toujours été exactement sur la même ligne sur tous les sujets : la veille, Jaroslaw Kaczynski avait encore réclamé un référendum sur l’euro.

    Mais il suffit d’écouter attentivement ce qu’a dit le président. « Je ne me passionne pas… mais on peut en discuter… » Il a ajouté : « Il est bon qu'une telle perspective existe et que nos partenaires le sachent. Cela stabilise notre situation. » Aujourd’hui. Demain, on verra… Pour le moment ça ne coûte rien de faire croire à nos partenaires qu’on va y aller, si c’est bon pour nous de le faire croire…

    Pas besoin d’en dire plus. Lech Kaczynski sait très bien que l'entrée dans la zone euro exige une modification de la Constitution, votée à la majorité des trois cinquièmes…

    Ou bien… un référendum…

  • Une campagne d’athéisme

    Ariane Sherine, journaliste et auteur dramatique de 28 ans, agacée par les publicités chrétiennes sur les bus de Londres, a conçu une campagne de publicité en faveur de l’athéisme, qui s’affichera en janvier sur ces mêmes bus : « Il n'y a probablement pas de Dieu. Alors maintenant arrêtez de vous inquiéter et profitez de la vie. »

    Elle a reçu le soutien de l'Association humaniste britannique (BHA), qui montre ainsi ce qu’est « l’humanisme », et du scientifique Richard Dawkins.

    Cette campagne « fera réfléchir les gens, et la réflexion est un anathème pour la religion », a déclaré celui-ci. Comme quoi on peut être un grand scientifique et totalement idiot.

    Car il faut en tenir une sacrée couche, quand on a un pape comme Benoît XVI, pour oser dire que la réflexion est un anathème pour la religion…

  • Le Parlement devrait enseigner l'histoire...

    Auditionné par la mission d'information sur les questions mémorielles de l'Assemblée nationale, hier, Xavier Darcos a déclaré :

    « Est-ce qu'il ne faudrait pas qu'une bonne fois pour toutes ce que nous considérons comme devant être enseigné aux élèves soit prescrit par la représentation nationale? Nous n'aurions pas ces questions. Evidemment on ne peut pas rentrer dans tous les détails. Mais on aurait au moins des grands sujets qui seraient reconnus une bonne fois pour toutes. Je pense que pour ce qui est de l'histoire en particulier, je me demande même si ça ne s'impose pas. C'est moins important pour des enseignements de disciplines qui ont un caractère scientifique et répétitif plus marqué. Mais peut-être que pour l'histoire ce serait nécessaire. Je pense que nous réglerions une partie de nos difficultés --parce qu'on voit bien qu'on est en difficulté au fond, derrière tout cela il y a des questions politiques (...) il y a des débats profonds-- et peut-être un vrai débat public devrait se passer au Parlement. »

    Ainsi, non seulement le Parlement doit voter des lois mémorielles, ce qui est une hérésie historique caractérisée, mais en plus il doit écrire les programmes d’histoire. Staline, reviens, tout est pardonné !