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  • Sainte Vierge Marie Reine

    Ego ex ore Altissimi prodivi, primogenita ante omnem creaturam ; ego in altissimis habitavi, et thronus meus in columna nubis.

    Salve, Regina misericordiæ ; ex qua natus est Christus, Rex noster.

    Je suis sortie de la bouche du Très-Haut, première née avant toute créature ; j’ai habité dans les hauteurs célestes, et mon trône est dans la colonne de nuée.

    Salut, Reine de miséricorde ; de qui est né le Christ, notre Roi.

    (capitule et verset des vêpres)

  • Traité de Lisbonne : la Ligue du Nord veut un référendum

    Le gouvernement italien a adopté un projet de loi sur la ratification du traité de Lisbonne. Mais la Ligue du Nord a émis des « réserves », et « proposera une loi sur un référendum » lorsque le texte viendra devant le Parlement. « Nous sommes face à un cas grave d’abandon de souveraineté, la consultation populaire ne doit pas être évitée », a souligné Roberto Calderoli, membre de la Ligue et ministre de la Simplification des lois.

  • Lille : un jugement « en fonction de la religion des gens »

    Le médiateur de la République, Jean-Paul Delevoye, considère comme « évident », de son point de vue de défenseur de la « laïcité » républicaine, que le jugement de Lille est musulman. Extraits de son entretien à l’AFP :

    « Qu’on le veuille ou non, il est évident que nous sommes là dans une notion relative au droit en fonction de la religion des gens. La laïcité, c’est d’abord la neutralité en matière de religion et en matière philosophique. A partir du moment où on entre dans une appréciation relative en fonction des convictions religieuses, c’est un non-respect de la laïcité. »

    « La sexualité, à la différence du divorce, de l’identité, de la tutelle curatelle ou encore de la nationalité de la personne [qui peuvent constituer des erreurs sur les « qualités essentielles »] reste du domaine de la sphère privée. »

    « La virginité est, selon notre analyse, pas du tout une qualité essentielle d’une personne. Sinon on est dans un schéma extrêmement compliqué. Est-ce qu’il y a tromperie si l’homme est impuissant ? »

    « Faisons attention à tout ce que cette jurisprudence va engendrer : demain il va y avoir une multiplication des nullités de mariage, on pourra avoir des jeunes filles qui pourraient subir des opérations chirurgicales pour se refaire l’hymen. »

  • FN69 : le pirate condamné

    Au mois d’Octobre 2007, le site Internet de la Fédération du Rhône du Front National a été piraté par un inconnu. De nombreuses insultes abjectes et inadmissibles ont été placées sur le site pour nuire à notre formation politique et à la France.

    Fort heureusement et grâce à l’efficacité des services de la Gendarmerie nationale, le pirate a pu être identifié : il s’agit de Hugo Benoît, 20 ans, étudiant, demeurant à Saint-Chamond (42).

    Le mardi 27 Mai 2008 se tenait son procès devant la 6e chambre du Tribunal de Grande Instance de Lyon. Le Front National, qui s’était porté partie civile, était représenté par Maître Wallerand de Saint-Just. Le délinquant, Hugo Benoît, qui était déjà sous le coup d’une première condamnation pour des faits similaires l’année dernière, a été cette fois-ci condamné par le tribunal à 4 mois de prison avec sursis et 500 € d’amende. Il devra en outre verser 800 € de dédommagement au Front National.

    Christophe Boudot, Secrétaire départemental de la Fédération du Rhône, exprime toute sa satisfaction suite à la condamnation de ce pirate informatique. La Fédération du Rhône ne tolérera aucun piratage de ses sites Internet et poursuivra fermement toute action frauduleuse ou diffamatoire commise à son égard.

    [Pour plus de précisions, voir le site.]

  • Brésil : l’embryon humain et le droit à la vie

    La Cour suprême du Brésil a confirmé hier la constitutionnalité de la loi de 2005 sur la « biosécurité ». Elle confirme donc la légalité de la recherche à partir des cellules souches d’embryons humains.

    Un ancien procureur général avait saisi la Cour suprême en faisant valoir que la loi était contraire au droit à la vie garanti par la Constitution.

    « Un embryon n’est pas un groupe de cellules mais un individu appartenant à l’espèce humaine », avait rappelé le président de la conférence épiscopale.

    La Cour suprême en a jugé autrement : l’embryon humain est exclu du droit à la vie...

  • Ils ont osé

    Les députés ont voté l’amendement ahurissant que Jean-Luc Warsmann avait fait adopter par la commission des lois, et qui a été repris par 43 députés : l’inscription dans la Constitution de l’obligation d’un référendum pour l’adhésion à l’Union européenne de tout pays représentant plus de 5% de sa population.

    Quand Chirac avait introduit dans la Constitution l’obligation du référendum pour toute nouvelle adhésion, il s’agissait bien évidemment de rassurer les Français à propos de la Turquie , mais la rédaction ne prêtait pas à critique.

    Cette foi, on désigne la Turquie, hypocritement, mais de façon très claire. C’est honteux pour la Constitution , et c’est une ignominie sur le plan diplomatique.

    Le président de la République n’a-t-il pas affirmé à maintes reprises que la Turquie n’avait pas sa place dans l’Union européenne, et n’avait-il pas promis de geler les négociations ? Qu’il le fasse donc, et le problème est réglé. Honnêtement.

    Ce qui signe l'imposture parlementaire : le texte a été adopté par 48 voix contre 21...

  • La justice française à l’heure de la charia ?

    Communiqué de Marine Le Pen

    La justice française que l’on croyait indépendante, républicaine et laïque, vient d’annuler un mariage entre  deux musulmans “ pour erreur sur les qualités essentielles du conjoint”.

    Cette décision  consternante et scandaleuse qui érige l’absence de virginité de l’épouse en motif d’annulation de mariage, illustre la montée et l’influence des revendications communautaristes dans notre pays. La justice qui se défend dans cette affaire d’avoir tranché sous la pression de considérations religieuses, aurait-elle pris la même décision dans le cas inverse ?

    Marine Le Pen, député européen, vice-présidente du FN dénonce cette agression contre les valeurs de la République française tout comme la compromission d’une gauche multiculturaliste qui semble aujourd’hui découvrir avec effroi les effets dévastateurs de l’immigration de masse.

    [Très bonne remarque de Marine Le Pen. Il est bien évident que le tribunal n’aurait pas donné raison à la jeune femme si celle-ci avait demandé la reconnaissance de nullité de son mariage au prétexte que son mari avait menti sur sa propre « virginité ». Hypothèse du reste impensable puisque la famille n’aurait pas accepté qu’une femme fasse une telle démarche. Ce qui souligne encore l’aspect musulman de l’affaire.

    En fait, le tribunal, qui aurait pu simplement demander aux époux de divorcer (on sait à quel point c’est facile, hélas, aujourd’hui), a avalisé une procédure de répudiation.]

  • Retour sur le jugement de Lille

    A propos du mariage reconnu comme nul par le tribunal de grande instance de Lille, les explications du procureur confirment que nous sommes dans un cas d’espèce où la loi française est tournée pour donner raison à l’islam :

    « La question ce n’est pas la virginité, c’est la liaison qu’elle a eu avant et qui a été cachée. C’est le mensonge qui motive la décision du juge, ce n’est pas la question de la virginité. »

    En droit français, trois vices de consentement peuvent entraîner la déclaration de nullité d’un contrat : l’erreur, le dol, la violence. Le mariage fait exception, en ceci que c’est le seul contrat où le dol ne peut pas être cause de nullité, selon l’adage d’Antoine Loysel (1536-1619) : « En mariage trompe qui peut ». Le sens de l’adage est que la justice n’a pas à mettre son nez dans les manœuvres de séduction entre les futurs conjoints.

    En l’occurrence, il y a eu dol, puisque la jeune femme, pour se faire épouser, a menti sur son aventure passée. Puisque le dol n’est pas une cause de nullité de mariage, le tribunal ne pouvait pas donner raison au mari.

    Mais puisque « l’honneur » du musulman exigeait que le mariage soit annulé, le tribunal s’est rabattu sur « l’erreur » (ou plus exactement a suivi le raisonnement de l’avocat du mari). Le code civil évoque seulement l’erreur sur les « qualités essentielles » du conjoint. Les qualités essentielles, c’est que le conjoint soit de l’autre sexe et qu’il soit ce que dit son état civil. Tout le reste, ce sont des qualités accidentelles, même si la jurisprudence, comme le déplore Denis Merlin dans un commentaire, va là aussi à la dérive.

    Le procureur dit que la question n’est pas la virginité mais le mensonge. Dire la vérité ou ne pas la dire à propos d’un quelconque événement n’est pas du champ des « qualités essentielles » de la personne. Il n’y a donc pas erreur sur les qualités essentielles, il y a dol. Et l’on en revient au point de départ : « en mariage trompe qui peut ».

    Le tribunal n’a pas appliqué la loi française, il a fait droit à une demande fondée sur la conception musulmane du mariage. Comme le prouve a contrario qu’aucun chrétien n’a jamais demandé la déclaration de nullité de son mariage pour un tel motif. Et comme l’illustre le récit de Libération, dont la couleur locale n’est pas franchement ch’ti : « Le mariage se fait en grande pompe, comme il se doit. La nuit de noces, le marié découvre que son épouse a menti. Au bout de quelques heures, il débarque au milieu des invités qui sirotent un dernier jus. Il n’a pas de drap taché de sang à exhiber. Son père ramène immédiatement Y, sa belle-fille, chez ses parents. Tout le monde se sent déshonoré. »

  • Sacré Cœur de Jésus

    Cor Jesu amore nostri vulneratum, venite, adoremus.

    Le Cœur de Jésus blessé d'amour pour nous, venez, adorons-le.

    (Invitatoire des matines)

  • Trois ans après

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le 29 mai 2005, les Français rejetaient par referendum avec près de 55% des voix la Constitution européenne.

    Seul  un nouveau referendum pouvait éventuellement inverser ce résultat de 2005.

    Nicolas Sarkozy, à peine élu Président de la République, en a décidé autrement en faisant adopter par le Parlement, réuni en Congrès, un texte quasi identique rebaptisé Traité de Lisbonne et ce, au mépris du droit et de la légitimité démocratique.

    Le Front national qui s'opposa tant au texte initial qu'au texte modifié, comme constituant une atteinte grave à la souveraineté, à l'indépendance et à l'identité de la France, apparaît aujourd'hui comme le seul mouvement politique apte à défendre l'identité française et le droit des Français de choisir leur avenir.

    La dilution de la France dans un ensemble euro-turc n'est pas inéluctable à condition que les Français manifestent clairement leur opposition lors des élections européennes de juin 2009.