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Le blog d'Yves Daoudal - Page 1568

  • Le nouvel attentat contre la famille

    Le gouvernement qui vient de détruire le mariage n’a pas osé, pour le moment, détruire les allocations familiales. Il se venge en abaissant le quotient familial.

    Analyse trouvée sur le site du Parisien, et qui dit tout :

    « Compte tenu de la complexité du calcul du quotient familial, pratiquement aucun ménage n'est en mesure de connaître l'impact de la mesure sur sa feuille d'impôt. En moyenne, cela revient à augmenter l'impôt sur le revenu de 68 euros par mois pour les familles concernées, soit environ un million de ménages. »

  • Taubira convoque les 200 parquetiers pour un stage obligatoire de propagande LGBT

    Les magistrats des parquets étaient tous convoqués ce lundi au ministère de la Justice pour une réunion, suivie d’un stage de deux jours sur « les violences et discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre ». C’est véritablement une obsession.

    L’USM, qui trouve cette réunion « parfaitement légitime dans son principe » (parce que les parquets n’ont sans doute rien de plus important à faire que de traquer les fantasmes d’homophobie), se rebiffe quand même face à l’autoritarisme de la Taubira.

    Le syndicat souligne que, comme le rappelle un projet de loi actuellement devant le Parlement, « les interlocuteurs naturels de la chancellerie sont les procureurs généraux » et non les autres magistrats des parquets, « qui n'ont pas vocation à sacrifier une partie de leur week-end pour se déplacer et être présents à Paris, un lundi matin à 9 heures ».

    En outre : « Le ton comminatoire employé par la directrice des affaires criminelles et des grâces (…) pour ordonner leur présence et imposer (de quel droit ?) leur participation à un stage de deux jours organisés dans le prolongement de cette réunion est à cet égard totalement inadmissible. Le lien hiérarchique n'implique ni autoritarisme d'un côté, ni soumission de l'autre. Le ton employé est ressenti comme une marque de mépris pour ces magistrats qui, au quotidien, tentent de faire fonctionner des parquets exsangues, surchargés de commandes et dotés de moins en moins de moyens, tant humains que matériels pour assurer leurs missions. »

    Enfin : « Nous suggérons par ailleurs que si des précisions techniques ou procédurales devaient être directement apportées aux magistrats des juridictions, elles le soient par voie dématérialisée, par le biais de visioconférences ou à l'occasion de déplacements de membres de vos services dans ces mêmes juridictions », ce qui éviterait « les dépenses somptuaires liées au déplacement de nombreux parquetiers, deux cents dans le cas d'espèce, en total décalage avec les restrictions budgétaires drastiques imposées aux juridictions ».

  • L’accusation de “racisme” commence vraiment à relever de la psychiatrie

    Des universitaires britanniques publient un livre dénonçant la série télévisée Docteur Who comme « scandaleusement raciste ».

    L’accusation principale est que c’est toujours un blanc qui incarne le docteur, alors qu’on pourrait (qu’on devrait impérativement) varier sa couleur de peau puisqu’il change de visage.

    On ajoute que les personnages non blancs sont toujours de « second rang ». Ce qui est évidemment faux, puisque la « diversité » idéologique s’impose à cette série comme aux autres : en 2007 la compagne du docteur était une noire, et une autre noire a joué un rôle important cinq saisons de suite.

    L’un des auteurs du livre va jusqu’à dénoncer le goût du docteur, dans l’une des saisons, pour le cricket, sport qui rappelle « la nostalgie raciale et de classes » de l’Empire britannique…

    (Ozap, via FDesouche)

     

  • Des chaldéens retournent en Turquie

    Après des négociations conduites en France et en Belgique, 27 familles chaldéennes originaires de Turquie s’apprêtent à retourner dans les zones qu’elles avaient quitté dans les années 1990 notamment pour fuir les affrontements entre l’armée turque et les guérilleros kurdes du PKK. Le programme de contre-exode, appuyé par les autorités turques, vise à repeupler un certain nombre de villages dans le district de Silopi, dans la province de Şırnak. C’est de là en effet que plus de 4.000 chrétiens chaldéens et syriaques avaient fui pour trouver refuge dans différents pays européens. Petrus Karatay, un chaldéen responsable du Comité de coordination de l’opération retour, a déclaré à l’agence Fides que l’initiative pourrait impliquer un nombre croissant de chrétiens si ceux qui reviennent se voient garantir des conditions de vie décentes et stables. « Nous considérons positives les invitations au retour qui sont adressées par les autorités aux citoyens non musulmans qui vivent à l’étranger », souligne-t-il.

    Paradoxalement, cette politique est directement en lien avec le néo-ottomanisme du gouvernement AKP. Les dirigeants turcs se souviennent que l’empire ottoman avait de fortes minorités chrétiennes…

    Sans doute est-ce aussi une pique à Bagdad et à Damas – les autres capitales du califat : pendant que vos chrétiens fuient, nous faisons revenir les nôtres… Le bon calife est celui qui protège les minorités…

    Cela dit, on remarquera que l’appel s’adresse aux citoyens turcs. Or la grande majorité des chaldéens de France d’origine turque, qui sont chez nous depuis bien plus longtemps que les années 90 (souvent depuis le « génocide arménien » qui fut aussi un génocide assyro-chaldéen), sont français depuis plusieurs générations. Il en est de même, évidemment, des arméniens disséminés dans le monde depuis le génocide que les Turcs ne reconnaissent toujours pas.

  • Sainte Clotilde

    Réspice, quǽsumus, Dómine, ad Francórum benignus natiónem : et quibus per devótam sanctæ Clotíldis instántiama donum fídei contulísti ; per eius intercessiónem tríbue sincérum christiánæ pietátis afféctum.

    Regardez avec bonté, Seigneur, le peuple de France ; Vous qui lui avez fait le don de la foi sur les instances de sainte Clotilde, accordez-lui maintenant, par son intercession, un attachement sincère à la religion chrétienne.

       Antienne du Benedictus

    Cum invocásset Clotíldis ómnium rectórem et salvatórem Deum, convértit Deus spíritum Clodovéi regis.

    Parce que Clotilde avait invoqué le Dieu sauveur qui dirige toute chose, Dieu convertit l’esprit du roi Clovis.

        Antienne du Magnificat

    Manum suam apéruit ínopi, et palmas suas exténdit ad páuperem, et panem otiósa non comédit.

    Sa main, elle l’a ouverte à l’homme sans ressources, ses bras, elle les a étendus vers le pauvre, et elle n’a pas mangé le pain dans l’oisiveté.

  • 2e dimanche après la Pentecôte

    La collecte est toute débordante d’amour, et s’adapte admirablement à ce dimanche dans l’octave de la Fête-Dieu : « Inspirez-nous, Seigneur, continuellement, l’amour et la crainte de votre saint Nom, puisque nous sommes assurés que vous ne laissez jamais dans l’abandon ceux qui fréquentent l’école de votre sainte dilection. » Que d’idées, et combien profondes, se cachent en ces quelques mots ! Seule l’Église possède le secret de cette divine éloquence.

    On demande d’abord l’amour et la crainte de Dieu, en tenant compte du double élément, matériel et spirituel, dont nous sommes composés. La crainte vaut surtout, mais non exclusivement, pour tenir en frein nos facultés inférieures, tandis que l’amour est le vrai rythme du cœur et de l’âme. Qui aime se confie au Seigneur, lequel, précisément parce qu’il nous aime, nous veut du bien, ou plutôt nous veut le Bien. On parle en dernier lieu d’une solide éducation dans l’amour, parce que la grâce du Paraclet tend à purifier de plus en plus notre amour de tout ce qu’il peut avoir de bas et de purement humain, pour entraîner l’âme à vivre dans cette brûlante atmosphère de pure dilection qui enveloppe la tente nuptiale de l’Époux divin.

    On pourrait presque considérer la messe de ce jour comme un beau cantique d’action de grâces envers l’amour de Dieu. Après la splendide collecte stationnale, saint Jean, l’Apôtre de la dilection, prend la parole et nous dévoile les mystères sublimes de la sainte charité. L’amour de Dieu nous communique la vie de Jésus-Christ et s’épanche naturellement dans la charité envers le prochain. Celui qui n’aime pas ne participe pas à cette vie du Christ, et c’est pourquoi il pourrit dans la corruption de la mort. Celui qui veut conserver ce feu de la dilection doit l’alimenter continuellement par de nouveaux actes de charité envers le prochain, car un amour qui ne connaît pas le sacrifice est un simulacre d’amour. (…)

    L’Évangile achève la leçon d’amour commencée dans l’Épître et nous montre Dieu qui, dans l’excès de sa charité, prépare au ciel un ineffable banquet de béatitude auquel, sans distinction d’âge ni de rang, il appelle universellement tout le genre humain. Le peuple juif, qui symbolise lui-même les grands et les superbes du siècle, tantôt sous un prétexte, tantôt sous un autre, s’excuse et décline l’invitation, en sorte que les privilégiés qui s’assoient au banquet céleste sont les pauvres, les infirmes, les humbles, lesquels désignent précisément le malheureux peuple païen. (…)

    Il n’y a rien de commun entre la piété sentimentale et la divine dilection. L’amour de Dieu ne se contente pas de vaines paroles et de tendres sentiments ; c’est un feu qui purifie l’âme de toute attache désordonnée, quelque minime qu’elle soit, aux choses créées ; qui la rend forte et intrépide en face de n’importe ,quel sacrifice, solidement établie en Dieu comme il est dit aujourd’hui dans la collecte stationnale : « Quos in soliditate tuæ dilectionis instituis ».

    Bienheureux cardinal Schuster

  • Encore des inscriptions antichrétiennes en Israël

    Des graffiti et des insultes antichrétiens ont été tracés en hébreu dans la nuit de jeudi à vendredi sur un mur du monastère de la Dormition (bénédictins allemands) ainsi que sur deux voitures dont les huit pneus ont été crevés. L’une des portes du cimetière grec-orthodoxe voisin a aussi été l’objet de graffiti.

    Les graffiti comparent les chrétiens à des singes et appellent à la vengeance contre Jésus. Cet incident survient à la suite d’une série de profanations de monastères chrétiens qui en septembre et octobre dernier avaient été la cible de telles atteintes, qui ne font jamais l’objet d’arrestations, même quand elles sont ouvertement signées de l’organisation « Le prix à payer ».

  • Heureusement qu’on a libéré l’Irak des méchants

    Selon les chiffres de l’ONU, 1.045 personnes ont été tuées, et 2.397 blessées, au cours du mois de mai, dans des attentats, en Irak.

  • Erdogan écrit l’histoire

    Le 29 mai est chaque année jour de fête et de célébrations nationales en Turquie : c’est l’anniversaire de la prise de Constantinople et du massacre de sa population chrétienne par les Ottomans, le 29 mai 1453.

    Parmi les événements du 29 mai 2013, la pose de la première pierre (ou plutôt la première coulée de ciment) d’un troisième pont à Istanbul pour une nouvelle autoroute traversant le Bosphore.

    Avec la conquête de Constantinople, les musulmans ottomans avaient ouvert la voie à un « âge des lumières » (sic), et « aujourd’hui encore nous écrivons l’histoire », a déclaré le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan.

    Tandis que le président Abdullah Güll indiquait que le pont porterait le nom de Sélim Ier Yavuz, le premier Ottoman à porter le titre de calife, et qui fit donc d’Istanbul le centre du califat.

    « Selim Yavuz meurt le 20 septembre 1520 d'un cancer à cinquante ans alors qu'il prépare une expédition contre l'île de Rhodes. Il laisse à son fils Süleyman, futur Soliman le Magnifique, un empire en pleine expansion qui s'étend sur l'Europe, l'Asie et l'Afrique. » (Wikipedia)

  • Les digues sont rompues

    Le cardinal Bagnasco, archevêque de Gênes et président de la conférence des évêques d’Italie, a voulu célébrer lui-même, le 25 mai dernier, les funérailles de Don Andrea Gallo, grande figure de l’extrême gauche italienne, favorable à l’avortement, au « mariage » homosexuel, etc., qui se disait « prêtre de trottoir », évangélisé par les prostituées, les drogués, les clochards. Il y avait là des centaines de communistes, d’anarchistes et de gauchistes, qui ont copieusement hué le cardinal et ont interrompu son sermon avec le Bella Ciao. Car le cardinal Bagnasco s’est fait remarquer par ses fermes prises de position contre les unions et les pratiques homosexuelles. Le pire sans doute est que l’archevêque de Gênes, croyant sans doute montrer que l’Eglise est une grande famille où chacun a sa place, a (involontairement, mais fatalement) fait siffler le cardinal Siri quand il a dit que Don Gallo considérait l’ancien archevêque comme son « père et bienfaiteur », alors qu’il était la bête noire de la gauche et le type même de l’évêque « conservateur ».

    card.-Bagnasco-e-Vladimir-Luxuria.jpg

    vladimir_luxuria_2006.jpgHuées et sifflets pour Bagnasco, applaudissements pour Luxuria, soulignait la presse italienne. « Luxuria », c’est la personne qui se fait appeler « Vladimir Luxuria ». Un(e) transsexuel(le) très connu(e), qui a été député communiste, et qui était un(e) ami(e) de Don Gallo. Et le scandale des scandales a été que le cardinal Bagnasco a ostensiblement donné la communion à cette personne qui se fait appeler Vladimir Luxuria. Et il est inutile de bafouiller que peut-être Luxuria s’est récemment converti(e). Car il-elle a reçu la communion après avoir prononcé près du cercueil de Don Gallo (dûment orné de son écharpe rouge et de son bonnet noir) une allocution qui était un manifeste LGBT, longuement applaudi par l’assistance.

    Franchement, je ne crois pas qu’on aurait vu cela Benedicto regnante.

    (Benoît et moi, Corriere avec deux vidéos)