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Liturgie - Page 427

  • Saint Antoine-Marie Claret

    En 2008, j’avais publié un résumé de la vie religieuse de saint Antoine-Marie Claret. En 2009, l’homélie de sa canonisation par Pie XII. L’an dernier, une brève prière du saint, que j’avais trouvée sur le site français des clarétains. Je découvre cette année que la prière ne s’y trouve plus, et, mieux encore, que le nom même du fondateur ne se trouve plus nulle part sur le site :

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    J’ai trouvé ailleurs un texte de saint Antoine-Marie Claret qui, dans sa grande simplicité, peut servir à tous et à chacun. Il était titré : « Un quart d’heure en présence du Saint Sacrement ».

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  • Hic est fratrum amator

    . Hic est fratrum amator, et populi Israël: * Hic est qui multum orat pro populo, et universa sancta civitate Jerusalem.
    . Vir iste in populo suo mitissimus apparuit.
    . Hic est qui multum orat pro populo, et universa sancta civitate Jerusalem.

    Celui-ci est l'ami des frères, et du peuple d'Israël ; c'est lui qui prie beaucoup pour le peuple et pour toute la ville sainte Jérusalem. Cet homme-là apparut très doux à son peuple. C'est lui qui prie beaucoup pour le peuple et pour toute la ville sainte Jérusalem.

    Le répons est constitué d’une partie de II Maccabées 15, 14 (avec l’ajout de « Jerusalem »). Le personnage dont il est question est le prophète Jérémie, qui apparaît dans un songe à Judas Maccabée. Le texte biblique dit ensuite : « C'est Jérémie, le prophète de Dieu ; et Jérémie avait étendu la main droite, et avait donné à Judas une épée d'or, en disant : Prends ce saint glaive comme un présent de Dieu, avec lequel tu renverseras les ennemis de mon peuple Israël. »

    Le verset a comme origine Nombres 12, 3, où c’est Moïse qui est qualifié de « vir mitissimus super omnes homines qui morabantur in terra », le plus doux de tous les hommes qui demeuraient sur la terre.

    Jérémie et Moïse sont une préfiguration du Christ. Mais on peut noter aussi que le 11e répons des matines monastiques de la fête de saint André combine les deux textes en un seul (et c’est bien alors de saint André qu’il s’agit), et ajoute un autre verset, tiré du psaume 108 :

    . Vir iste in populo suo mitissimus apparuit, sanctitate autem et gratia plenus : iste est, qui assidue orat pro populo et pro civitate ista. . Pro eo ut me diligerent, detrahebant mihi : ego autem orabam.

  • Saint Hilarion

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    La liturgie byzantine fait aussi mémoire de saint Hilarion ce même 21 octobre.

    Tropaire

    Par les flots de tes larmes tu as fait fleurir le stérile désert, * par tes profonds gémissements tu fis produire à tes peines cent fois plus, * par tes miracles étonnants tu devins un phare éclairant le monde entier: * vénérable Père Hilarion, prie le Christ notre Dieu * de sauver nos âmes.

    Kondakion

    Comme un astre sans déclin, du mystique Soleil * tous ensemble nous, * t'acclamons par des hymnes en ce jour: * sur ceux qui gisaient dans les ténèbres de l'ignorance tu as brillé, * faisant monter vers la hauteur divine les fidèles s'écriant: * Réjouis-toi, Père Hilarion, en qui les moines ont un appui.

    Ikos

    Ayant chéri les divins préceptes du Christ * et refusé la jouissance du monde et de la chair, * de tout cœur tu t'es avancé vers notre Dieu * et devins un astre illuminant l'univers sous l'éclat de l'Esprit; * c'est pourquoi je me prosterne et te supplie: * illumine aussi les yeux de mon âme * pour que je chante les combats * que sur terre tu menas pour la vie future; * maintenant que tu en jouis, souviens-toi de nous qui chantons: * Réjouis-toi, Père Hilarion, en qui les moines ont un appui.

    La vie de saint Hilarion a été écrite par saint Jérôme.

     

  • 22e dimanche après la Pentecôte

    Dimanche des missions

    Nous nous arrêtons à présent sur le passage de l’Evangile. Il s’agit du texte sur la légitimité de l’impôt à payer à César, qui contient la célèbre réponse de Jésus : « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu » (Mt 22, 21). Mais, avant d’arriver à ce point, il y a un passage qui peut se référer à ceux qui ont la mission d’évangéliser. En effet, les interlocuteurs de Jésus — les disciples des Pharisiens et les Hérodiens — s’adressent à Lui en des termes élogieux, en disant : « Nous savons que tu es véridique et que tu enseignes la voie de Dieu en vérité sans te préoccuper de qui que ce soit » (v. 16). C’est précisément cette affirmation qui, bien que suscitée par l’hypocrisie, doit attirer notre attention. Les disciples des Pharisiens et les Hérodiens ne croient pas ce qu’ils disent. Ils l’affirment uniquement comme une captatio benevolentiae pour se faire entendre, mais leur cœur est bien loin de cette vérité; au contraire, ils veulent attirer Jésus dans un piège pour pouvoir l’accuser. Pour nous, en revanche, cette expression est précieuse et vraie : en effet, Jésus est véridique et enseigne la voie de Dieu en vérité, sans se préoccuper de qui que ce soit. Lui-même est ce « chemin de Dieu », que nous sommes appelés à parcourir. Nous pouvons rappeler ici les paroles de Jésus lui-même, dans l’Evangile de Jean : « Je suis le chemin, la vérité, la vie » (14, 6). A ce propos, le commentaire de saint Augustin est illuminant : « Il lui fallait dire [...]: “Je suis la voie, et la vérité et la vie”, puisque, étant connu le chemin par lequel il marchait, il ne restait à connaître que l'endroit où il allait, [...] parce qu'il allait à la vérité, à la vie ... Et nous, où allons-nous, si ce n'est à lui-même ? et par où y allons-nous, si ce n'est par lui-même ? » (In Ioh 69, 2). Les nouveaux évangélisateurs sont appelés à marcher en premier sur cette Voie qui est le Christ, pour faire connaître aux autres la beauté de l’Evangile qui donne la vie. Et sur ce chemin, on ne marche jamais seul, mais accompagné: c’est une expérience de communion et de fraternité qui est offerte à ceux que nous rencontrons, pour leur faire partager notre expérience du Christ et de son Eglise. Ainsi, le témoignage uni à l’annonce peut ouvrir le cœur de ceux qui sont à la recherche de la vérité, afin qu’ils puissent parvenir au sens de leur vie.

    Une brève réflexion également sur la question centrale de l’impôt à César. Jésus répond par un réalisme politique surprenant, lié au théocentrisme de la tradition prophétique. L’impôt à César doit être payé, car l’effigie sur la pièce de monnaie est la sienne; mais l’homme, chaque homme, porte en lui une autre image, celle de Dieu, et c’est donc à Lui et à Lui seul que chacun doit sa propre existence. Les pères de l’Eglise, en partant du fait que Jésus fait référence à l’image de l’empereur frappée sur la pièce de monnaie de l’impôt, ont interprété ce passage à la lumière du concept fondamental d’homme image de Dieu, contenu dans le premier chapitre du Livre de la Genèse. Un auteur anonyme écrit : « L’effigie de Dieu n’est pas frappée sur l’or, mais sur le genre humain. La monnaie de César est l’or, celle de Dieu est l’humanité ... Donne donc ta richesse matérielle à César, mais réserve à Dieu l’innocence unique de ta conscience, où Dieu est contemplé ... En effet, César a exigé que son effigie apparaisse sur chaque pièce, mais Dieu a choisi l’homme, qu’il a créé, pour refléter sa gloire » (Anonyme, Œuvre incomplète sur Matthieu, homélie 42). Et saint Augustin a utilisé à plusieurs reprises cette référence dans ses homélies : « Si César cherche son effigie sur la monnaie — affirme-t-il —, Dieu ne cherche-t-il point son image dans l’homme ? » (En. in Ps., Psaume 94, 2). Et encore : « Il en est de Dieu comme de César, qui exige que son image soit frappée sur la monnaie ; [...] rendez à Dieu votre âme marquée à la lumière de sa face [...]. Le Christ habite chez l’homme intérieur » (ibid., Psaume 4, 8).

    Cette parole de Jésus est riche de contenu anthropologique, et ne peut être réduite à son seul domaine politique. L’Eglise ne peut donc se limiter à rappeler aux autres la juste distinction entre la sphère d’autorité de César et celle de Dieu, entre le domaine politique et le domaine religieux. La mission de l’Eglise, comme celle du Christ, consiste essentiellement à parler de Dieu, à faire mémoire de sa souveraineté, à rappeler à tous, en particulier aux chrétiens qui ont égaré leur identité, le droit de Dieu sur ce qui lui appartient, c’est-à-dire notre vie.

    Benoît XVI, messe pour la nouvelle évangélisation, le 16 octobre 2011

  • Saint Pierre d’Alcantara

    Par-dessus toutes ces vertus, Seigneur, donne-moi ta grâce pour que je t'aime de tout mon cœur, de toute mon âme, de toutes mes forces et de toutes mes entrailles, ainsi que tu me le commandes. Ô Dieu de mon cœur, toute mon espérance, toute ma gloire, tout mon refuge, mon allégresse ! Ô Bien-Aimé des bien-aimés ! Ô mon glorieux et ravissant Époux, Époux suave, Époux qui fais savourer à mon âme un miel si pur ! Ô délices de mon cœur ! Ô vie de mon âme ! Ô joyeux repos de mon esprit ! Ô beau jour, ô jour pur de l'éternité, ô lumière sereine des plus intimes profondeurs de mon être, ô paradis verdoyant et fleuri de mon cœur ! Ô aimable principe de mes joies, et suprême rassasiement de mon âme ! Prépare, Dieu que j'aime, prépare en moi, ô tendre Maître, une demeure agréable à tes yeux, afin que, selon la promesse de ta sainte parole, tu viennes vers moi, tu viennes prendre en moi ton repos. Fais mourir en moi tout ce qui déplaît à tes yeux, et daigne m'accorder d'être en tout selon ton cœur. Blesse, Seigneur, le plus intime de mon âme avec les flèches de ton amour, et enivre-la avec le vin de ta parfaite charité. Oh ! Quand viendra ce fortuné moment ? Quand me sera-t-il donné de te plaire en toutes choses ? Quand sera mort en moi tout ce qui t'est contraire ? Quand serai-je entièrement à toi ? Quand cesserai-je d'être à moi ? Quand, ô mon Bien-Aimé, seras-tu mon unique vie ? Quand t'aimerai-je du cœur le plus enflammé ? Quand m'embrasera toute la flamme de ton amour ? Quand serai-je tout liquéfié, tout transformé en toi par ta toute puissante suavité ? Quand ouvriras-tu à ce pauvre mendiant ? Quand lui découvriras-tu ton royaume, ce beau royaume qui est au dedans de moi, et qui n'est autre que toi-même avec toutes tes richesses, quand me raviras-tu, quand, ô mon Bien-Aimé, m'enlevant, me transportant tout entier en toi, me cacheras-tu dans ton cœur de manière que je ne paraisse plus jamais ? Quand, brisant tous les obstacles et toutes les chaînes, me feras-tu un esprit avec toi, de manière que je ne puisse plus me séparer de toi ?

    Ô Bien-Aimé, Bien-Aimé, Bien-Aimé de mon âme ! Ô délices, délices de mon cœur ! Exauce-moi, Seigneur, non à cause de mes mérites, mais à cause de ton infinie bonté. Sois mon maître, ma lumière, mon guide, mon secours en toutes choses, afin que je ne fasse, que je ne dise rien qui ne soit agréable à tes yeux. Ô Dieu, ô mon Bien-Aimé, ô mon cœur, ô bien de mon âme ! Ô mon doux amour, ô mon inénarrable plaisir, ô ma force, viens à mon aide ; ô ma lumière, daigne me guider.

    Traité de l’oraison et de la méditation, XI

  • Messe solennelle de saint Pie V à Saint-Sulpice

    Une messe solennelle sera célébrée samedi 16 novembre à 10h en l’église Saint-Sulpice de Paris en action de grâce pour les 25 ans de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre.

    (Via le Forum catholique)

  • Saint Luc

    Saint Luc nous a remis, comme nous le savons, l’un des quatre Evangiles, consacré à la vie terrestre de Jésus, mais il nous a également laissé ce qui a été défini comme le premier livre sur l’histoire de l’Eglise, c’est-à-dire les Actes des Apôtres. Dans ces deux livres, l’un des éléments récurrents est la prière, de celle de Jésus à celle de Marie, des disciples, des femmes et de la communauté chrétienne.

    Le chemin initial de l’Eglise est rythmé avant tout par l’action de l’Esprit Saint, qui transforme les Apôtres en témoins du Ressuscité jusqu’à l’effusion de sang, et par la rapide diffusion de la Parole de Dieu vers l’Orient et l’Occident. Toutefois, avant que l’annonce de l’Evangile ne se diffuse, Luc rapporte l’épisode de l’Ascension du Ressuscité (cf. Ac 1, 6-9). Le Seigneur remet aux disciples le programme de leur existence vouée à l’évangélisation et dit : « Vous allez recevoir une force, celle du Saint-Esprit, qui viendra sur vous. Alors vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre » (Ac 1, 8). A Jérusalem, les apôtres, demeurés au nombre de Onze après la trahison de Judas Iscariote, sont réunis dans la maison pour prier, et c’est précisément dans la prière qu’ils attendent le don promis par le Christ Ressuscité, l’Esprit Saint.

    Dans ce contexte d’attente, situé entre l’Ascension et la Pentecôte, saint Luc mentionne pour la dernière fois Marie, la Mère de Jésus, et sa famille (v. 14). Il a consacré à Marie les débuts de son Evangile, de l’annonce de l’Ange à la naissance et à l’enfance du Fils de Dieu fait homme. Avec Marie commence la vie terrestre de Jésus et avec Marie commencent également les premiers pas de l’Eglise ; dans les deux moments, le climat est celui de l’écoute de Dieu, du recueillement.

    Benoît XVI (début de la catéchèse du 14 mars 2012)

  • Sainte Marguerite-Marie

    Le 27 décembre 1673

    « Je m'oubliai de moi-même et du lieu où j'étais et je m'abandonnai à ce divin Esprit, livrant mon [cœur] à la force de son amour. Il me fit reposer fort longtemps sur sa divine poitrine, où il me découvrit les merveilles de son amour et les secrets inexplicables de son sacré Cœur, qu'il m'avait toujours tenus cachés jusqu'alors, qu'il me l'ouvrit pour la première fois, mais d'une manière si effective et sensible, qu'il ne me laissa aucun lieu d'en douter, pour les effets que cette grâce produi[sit] en moi, qui crains pourtant toujours de me tromper en tout ce que je dis se passer en moi. Et voici comme il me semble la chose s'être passée.

    « Il me dit : — Mon divin Cœur est si passionné d'amour pour les hommes, et pour toi en particulier, que, ne pouvant plus contenir en lui-même les flammes de son ardente charité, il faut qu'il les répande par ton moyen, et qu'il se manifeste à eux, pour les enrichir de ses précieux trésors que je te découvre, et qui contiennent les grâces sanctifiantes et salutaires nécessaires pour les retirer de l'abîme de perdition ; et je t'ai choisie comme un abîme d'indignité et d'ignorance pour l'accomplissement de ce grand dessein, afin que tout soit fait par moi. —

    « Après, il me demanda mon cœur, lequel je le suppliai de prendre, ce qu'il fit, et le mit dans le sien adorable, dans lequel il me le fit voir comme un petit atome, qui se consommait dans cette ardente fournaise, d'où le retirant comme une flamme ardente en forme de cœur, il [le] remit dans le lieu où il l'avait pris, en me disant : — Voilà, ma bien-aimée, un précieux gage de mon amour, qui renferme dans ton côté une petite étincelle de ses plais vives flammes, pour te servir de cœur et te consommer jusqu'au dernier moment, et dont l'ardeur ne s'éteindra, ni ne pourra trouver de rafraîchissement que quelque peu dans la saignée, dont je marquerai tellement le sang de ma croix, qu'elle t'apportera plus d'humiliation et de souffrance que de soulagement. C'est pourquoi je veux que tu la demandes simplement, tant pour pratiquer ce qui vous est ordonné que pour te donner la consolation de répandre ton sang sur la croix des humiliations. Et pour marque que la grande grâce que je te viens de faire n'est point une imagination, et qu'elle est le fondement de toutes celles que j'ai encore à te faire, quoique j'aie refermé la plaie de ton côté, la douleur t'en restera pour toujours ; et si, jusqu'à présent, tu n'as pris que le nom de mon esclave, je te donne celui de la disciple bien-aimée de mon sacré Cœur. —

    « Après une faveur si grande et qui dura une si longue espace de temps, pendant lequel je ne savais si j'étais au ciel ou en terre, je demeurai plusieurs jours comme toute embrasée et enivrée, et tellement hors de moi que je ne pouvais en revenir pour dire une parole qu'avec violence, et m'en fallait faire une si grande pour me récréer et pour manger que je me trouvais au bout de mes forces pour surmonter ma peine : ce qui me causait une extrême humiliation. Et je ne pouvais dormir, car cette plaie, dont la douleur m'est si précieuse, me cause de si vives ardeurs qu'elle me consomme et me fait brûler toute vive. Et je me sentais une si grande plénitude de Dieu, que je ne pouvais m'exprimer à ma supérieure comme je l'aurais souhaitée. »

  • Sainte Hedwige

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    Extrait de Vies des saints pour tous les jours de l’année, de Claude-Pierre Goujet, édition de 1801.

    La date du 22 octobre est curieuse : Clément IV permit à la Pologne de célébrer sainte Hedwige le 15 octobre, Innocent XI étendit sa fête à toute l’Eglise le 17 octobre, puis en 1920 elle fut déplacée au 16 pour laisser la place à sainte Marguerite Marie.

    Quoi qu’il en soit c’est un 16 octobre, fête de sainte Hedwige de Silésie, sainte polonaise, que fut élu pape Karol Wojtyla.

    Et c'est aussi l'anniversaire de l'ordination épiscopale de mon évêque:

    Deus, omnium fidelium pastor et rector, famulum tuum Raymundum, quem pastorem ecclesiæ Venetensi præesse voluisti, propitius respice : da ei, quæsumus, verbo et exemplo, quibus præest, proficere : ut ad vitam, una cum grege sibi credito, perveniat sempiternam. Per Dominum nostrum…

  • Sainte Thérèse d'Avila

    Que rien ne te trouble
    Que rien ne t’épouvante
    Tout passe
    Dieu ne change pas
    La patience triomphe de tout
    Celui qui possède Dieu
    Ne manque de rien
    Dieu seul suffit !