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Liturgie - Page 272

  • Saint Saturnin

    Martyr à Rome sous la persécution de Dioclétien en 305, saint Saturnin (qui n’est pas celui de Toulouse bien que celui-ci ait squatté la fête de celui-là qui lui était pourtant postérieur) fut enterré dans un cimetière de la voie Salaria Nova. On construisit une basilique sur son tombeau, où le pape saint Damase fit graver ces vers (traduction du cardinal Schuster) :

    Incola nunc Christi, fuerat Carthaginis ante.
    Tempore quo gladius secuit pia viscera matris,
    sanguine mutavit patriam nomenque genusque.
    Romanum civem sanctorum fecit origo.
    Mira fides rerum: docuit post exitum ingens.
    Cum lacerat pia membra, fremit Gratianus ut hostis;
    posteaquam fellis vomuit concepta venena.
    Cogere non potuit Christum te, sancte, negare.
    Ipse tuis precibus meruit confessus abire.
    Supplicis haec Damasi vox est: Venerare sepulchrum.
    Solvere vota licet, castaque effundere preces,
    sancti Saturnini tumulus quia martyris hic est.
    Saturnine tibi martyr mea vota rependo.
    Damasus episcopus, servus Dei.

    Maintenant citoyen du Christ, il l’avait jadis été de Carthage.
    Au temps où un glaive transperçait le cœur de sa pieuse mère [l'Eglise],
    Par le mérite du sang, il changea de patrie, de nom et de famille.
    Et, entrant parmi les saints [les martyrs], il devint citoyen romain.
    Il démontra sa foi intrépide par son intrépide mort.
    Gratien, persécuteur, frémit, tandis qu’il déchire sur le chevalet tes membres sacrés ;
    Mais, nonobstant qu’il déversât sur toi tout son fiel venimeux,
    Il ne put toutefois t’induire, ô Saint, à renier le Christ.
    Bien plus, par tes prières, il mérita lui aussi de mourir en confessant la Foi.
    Que telle soit la prière suppliante de Damase : que ce sépulcre soit vénéré.
    Qu’il soit aussi permis d’accomplir ici ses vœux, et de se répandre en pieuses prières,
    Parce que ce tombeau est celui du martyr Saturnin.
    O martyr Saturnin, je t’offre mes vœux.
    Damase évêque, serviteur de Dieu.

  • Le cantique d’Habacuc

    La lecture biblique de ce jour est le livre d’Habacuc, qui comporte trois brefs chapitres. Le troisième, assimilable à un psaume, est intitulé selon la Vulgate « Prière du prophète Habacuc pour les ignorances ». Comme pour de nombreux psaumes, c’est un titre très énigmatique diversement interprété, le mot hébreu traduit par « ignorances » étant impénétrable…

    Dans le bréviaire romain jusqu’à la révolution de saint Pie X, et toujours dans le bréviaire monastique traditionnel, cette prière d’Habacuc est le cantique des laudes le vendredi. Et tous les vendredis (de férie) revient donc ce merveilleux verset :

    Ego autem in Domino gaudebo, et exsultabo in Deo Jesu meo.

    Mais moi je me réjouirai dans le Seigneur, et j’exulterai en Jésus mon Dieu.

    Il est touchant que saint Jérôme n’ait pas pu s’empêcher de transcrire « Jésus » le mot hébreu qui veut dire « sauveur » ou « salut » : un simple nom commun, affirme arbitrairement Fillion, qui refuse de traduire selon la Vulgate alors qu’il est censé le faire, mais comme l’avait déjà fait Lemaître de Sacy avant lui. Or ce « Jésus » ne fait que renforcer le caractère de prophétie christique du cantique (« Tu es sorti pour le salut de ton peuple, pour le salut avec ton Christ, tu as frappé le faîte de la maison de l’impie, tu as mis à nu sa fondation jusqu’au col… »). On remarque que la Bible de Jérusalem garde quelque chose de la Vulgate en mettant « Sauveur », avec une majuscule, considérant que ce n’est donc pas un simple nom commun. Dans son commentaire, saint Jérôme renvoie bien sûr à la parole de l’Ange à Marie : « Et on l’appellera Jésus, car c’est lui qui sauvera son peuple. »

    On signalera en passant que la Bible du rabbinat ose traduire « Dieu qui me protège », trahissant ainsi tellement le mot hébreu que c’est presque un aveu qu’il s’agit d’une prophétie du Christ, s’il faut la cacher à ce point.

    Le verset de la Vulgate s’est cependant retrouvé tel quel en deux endroits de la liturgie : c’est une antienne de la fête du… Saint Nom de Jésus. Et c’est l’introït de la messe de saint Jean de Capistran. Celle-ci, de façon quelque peu réductrice, est entièrement centrée sur le rôle joué par le saint franciscain dans la victoire de Belgrade contre les Turcs : il avait brandi un étendard frappé de la croix en criant : « Jésus ! Jésus ! Jésus ! ».

  • Saint Goustan

    Alors qu’il était moine en l’abbaye de Saint-Gildas de Rhuys, l’abbé envoya saint Goustan à Beauvoir-sur-Mer, en Vendée. Goustan s’embarqua, mais une terrible tempête le rejeta sur le rivage au Croisic. Il s’agrippa à un rocher, et Dieu permit que ce rocher s’amollît pour prendre la forme du moine et lui permettre de se reposer. Un vitrail de l'église du Croisic le montre rendant grâce après ce naufrage.

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    Dès le XIe siècle une chapelle fut construite en ce lieu, l’autel au-dessus du rocher en question. Saint Goustan étant le protecteur des marins, les femmes de pêcheurs accouraient à la chapelle de toute la presqu’île quand il y avait une tempête pour prier saint Goustan. A la Révolution française elle servit de réserve de poudre à canon.

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    Dans le premier classement des monuments historiques en 1840 (liste Mérimée) il y a une « église Saint-Goustan » au Croisic. Il s’agit a priori de la chapelle Saint-Goustan telle qu’elle existait à l’époque. A la fin du XIXe siècle, un certain Armand Maillard de la Morandais (comme le prêtre politico-médiatique prénommé Alain, né… au Croisic), achète les terrains militaires autour de la chapelle, dont les dunes, construit des viviers et un grand manoir et reconstruit la chapelle (avant d’être ruiné et de revendre le tout).

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    Le tombeau de saint Goustan se trouve dans l’abbatiale de Saint-Gildas de Rhuys, qui est un des relativement rares exemples de l’architecture romane en Bretagne:

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    Le dernier dimanche de novembre, c’est la fête de saint Goustan à Hoedic, l’île où le moine vécut un certain temps.

  • 25e et dernier dimanche après la Pentecôte

    Excita, quǽsumus. Dómine, tuórum fidélium voluntátes : ut, divíni óperis fructum propénsius exsequéntes ; pietátis tuæ remédia maióra percípiant. Per Dóminum nostrum.

    Excitez, nous vous en supplions, Seigneur, la volonté de vos fidèles, afin que, recherchant avec plus d’ardeur, le fruit des œuvres divines, ils reçoivent de votre miséricorde des remèdes plus puissants. Par Notre-Seigneur.

    Cette messe qui précède immédiatement la période liturgique de l’Avent n’a de propres que les trois collectes et les péricopes scripturaires. Dans la première prière on prélude déjà à l’Avent, temps de réveil et de revanche, puisqu’on supplie le Seigneur d’exciter la torpeur de notre volonté par sa grâce, afin de nous disposer à obtenir de sa bonté ces remedia maiora qu’il se prépare à nous donner. Quels sont ces grands remèdes ? L’avènement de Jésus, les Sacrements, l’Eucharistie qui perpétue l’Incarnation.

    Toutefois, pour que ces remèdes produisent un fruit abondant, on nous demande notre coopération, puisque, comme le disait gracieusement saint Augustin : Qui creavit te sine te, non salvabit te sine te*. C’est pourquoi l’Église demande aujourd’hui la divine grâce, afin que la pratique des vertus chrétiennes serve comme de préparation et d’entraînement pour revivre le Christ dans la plénitude de sa sainteté. Cet exercice des vertus chrétiennes est appelé aujourd’hui dans la liturgie divini operis fructum ; pour le distinguer toutefois de toutes ces vertigineuses poursuites de la vie contemporaine, vie de furieuse activité matérielle qui altère le plus souvent le système nerveux et qui, sous prétexte de dominer les éléments, tend à asservir l’esprit à la matière et aux sens, cette activité surnaturelle est dite œuvre divine parce qu’elle a pour principe la grâce et Dieu pour terme. A la différence des diverses œuvres de la vie, elle est appelée divini operis, au singulier, parce qu’une seule chose est absolument nécessaire, un unique idéal doit dominer toutes les autres activités auxquelles nous nous appliquons, cela même dont parlait Jésus aux habitants de Capharnaüm : Hoc est opus Dei, ut credatis [ Jean 6,29 : Ceci est l’œuvre de Dieu, que vous croyiez (en Celui qu’il a envoyé).]. L’œuvre de Dieu par excellence, c’est donc une vie de foi.

    Bienheureux cardinal Schuster

    * Cette phrase qu’on voit partout attribuée à saint Augustin (depuis saint Thomas d’Aquin semble-t-il) n’est pas une citation exacte. Saint Augustin a dit dans son sermon 169 :

    "Qui ergo fecit te sine te, non te iustificat sine te. Ergo fecit nescientem, iustificat volentem."

    Celui donc qui t’a fait sans toi ne te justifiera pas sans toi. Donc il a fait celui qui ne le savait pas, il justifie celui qui le veut.

  • Sainte Catherine

    Την πανεύφημον νύμφην Χριστού υμνήσωμεν, Αικατερίναν την θείαν και πολιούχον Σινά, την βοήθειαν ημών και αντίληψιν ότι εφήμωσε λαμπρώς τους κομψούς των ασεβών του Πνεύματος τη μαχαίρα, και νυν ως μάρτυς στεφθείσα, αιτείται πάσι το μέγα έλεος.

    Chantons l'illustre épouse du Christ, sainte Catherine, la protectrice du Sinaï, celle qui est pour nous refuge et secours ; elle fit taire en effet brillamment avec le glaive de l'Esprit les sophismes des impies ; désormais, en martyre couronnée, pour nous tous elle implore la grande miséricorde.

  • Saint Jean de la Croix

    Lettre aux carmélites de Veas

    Que Jésus soit dans vos âmes, mes filles! Est-ce que vous vous imaginez, que parce que je garde le silence à votre égard, je vous perde de vue et que je ne considère pas avec quelle facilité vous pouvez devenir des saintes, tout en jouissant des délices profondes et de la protection assurée de Votre Époux Bien-Aimé? J'irai vous trouver et vous verrez que je ne vous ai point oubliées. Nous considérerons ensemble les richesses que vous avez acquises dans l'amour pur et les sentiers de la vie éternelle ainsi que les progrès admirables que vous réalisez dans le Christ dont vous, ses Épouses, vous êtes les délices et la couronne. C'est là une couronne qu'il ne faut pas faire rouler par terre; elle est digne d'être cueillie par les mains des anges et des séraphins pour qu'ils la placent avec respect et amour sur la tête de leur Seigneur. Quand le cœur se porte vers des choses viles, la couronne roule par terre et chaque objet vil auquel le cœur s'attache le fait rouler à coups de pied; mais quand l'homme porte haut son cœur, comme dit David, Dieu est exalté; c'est une couronne que le cœur élevé de son épouse pose sur sa tête au jour de son allégresse; car ses délices sont d'être avec les enfants des hommes. La source de ces délices intimes ne vient pas de la terre; c'est du côté du ciel qu'il faut porter nos désirs, sans les amoindrir par l'appât d'un autre goût; il faut, au contraire, les détacher du créé et les dilater en les dirigeant vers celui qui a dit: Ouvrez la bouche et dilatez-la, et moi, je la remplirai*. Voilà pourquoi celui qui cherche une satisfaction dans un objet créé quelconque ne garde pas son cœur vide de tout pour que Dieu le remplisse de ses ineffables délices; aussi il se retire de lui comme il s'en est approché; il avait les mains embarrassées, et il n'a pas pu prendre ce que Dieu lui donnait. Que Dieu nous réserve de tous ces embarras si pernicieux qui nous privent de libertés si pleines de douceur et de suavité! Aussi mes biens chères filles dans le Christ, servez ce divin Maître en marchant dans la voie de la mortification qu'il nous a tracée; vivez d'une façon absolue dans la patience, dans le silence, dans le désir d'endurer toutes sortes de souffrances; soyez les bourreaux de votre satisfaction. Mortifiez-vous dans le cas où il y aurait encore à faire mourir en vous quelque chose qui empêche la résurrection de l'Esprit Saint. Que ce divin Esprit demeure en vous. Ainsi soit-il!

    Malaga, 18 novembre 1586. Votre serviteur,

    Frère Jean de la Croix.

    * Dilata os tuum, et implebo illud. Psaume 80.

  • Saint Clément Ier

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    Mosaïque de la basilique Saint-Clément de Rome. En haut à droite, Clément est avec saint Pierre. il tient à la main l’ancre de son supplice. Saint Pierre (Agios Petrus) lui montre le Christ en gloire et lui dit : « Regarde, Clément, le Christ que je t’ai promis » (Respice, Clemens, promissum a me tibi Xum).

  • Sainte Cécile

    Sainte Cécile étant la patronne des musiciens par un très traditionnel qui pro quo sur la première antienne de son office (et le premier répons des matines), ce texte a été souvent mis en musique. En 1879, Franz Liszt s’inspirait de la mélodie grégorienne pour un bref motet destiné à être interprété lors de l’inauguration d’un monument à Palestrina à Rome en mai 1880. On sait que Liszt n’eut jamais de succès avec les œuvres religieuses de sa dernière période. Il répondit (en français) à Carolyne de Sayn-Wittgenstein sur le « maigre effet » produit par celle-là :

    Que mon antiphone: Cantantibus organis n’ait produit qu'un ‘maigre effet’ ne me surprend guère. Le public cherche le divertissement peu lui importe à quels dépens il s’émoustille. Volontiers je me résigne à en rester ‘pour mes frais de modestie’ dans mes compositions religieuses. Elles sont faibles, sans doute, peut-être même manquées; mais non d’un goût commun. Faire briller, triller, roucouler et brailler Sainte Cécile me répugne. On peut se dispenser aussi de fuguer le verset: ‘Fiat cor meum immaculatum ut non confundar' auquel la plus simple expression possible me paraît le mieux adaptée.

    Voici l’antienne chantée par les moines de Solesmes (avec le premier psaume des vêpres), puis dans la version de Liszt.

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    Alors que jouaient les instruments de musique, Cécile répétait au Seigneur : Que mon cœur soit sans tache, afin que je ne sois pas confondue.
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  • Présentation de la bienheureuse Vierge Marie

    Magnifie, ô mon âme, celle qui fut offerte dans le temple du Seigneur et que les prêtres ont bénie de leur main.

    Des justes Joachim et Anne est sorti le fruit de la promesse, Marie, cette divine enfant; et comme un agréable encens, en son âge tendre, elle est portée telle une offrande sacrée dans le sanctuaire de Dieu pour habiter le Saint des saints.

    Magnifie, ô mon âme, celle qui fut offerte dans le temple du Seigneur et que les prêtres ont bénie de leur main.

    En nos hymnes célébrons celle qui par nature est une enfant, mais qui bientôt, la dépassant, se révèle à nous comme la Mère de Dieu, car en ce jour au Seigneur en parfum de bonne odeur elle est portée au Temple de la Loi par les Justes comme fruit spirituel.

    Magnifie, ô mon âme, celle qui fut offerte dans le temple du Seigneur et que les prêtres ont bénie de leur main.

    A la Mère de Dieu nous offrirons la salutation angélique, fidèles, lui criant: Réjouis-toi, gracieuse Fiancée, nuée resplendissante de clarté, d'où le Seigneur a lui sur nous qui étions assis dans les ténèbres de l'erreur; notre espérance, réjouis-toi.

    Magnifie, ô mon âme, celle qui fut offerte dans le temple du Seigneur et que les prêtres ont bénie de leur main.

    L'entière création, unie à l'ange Gabriel, chante à la Mère de Dieu l'hymne qui lui convient: Réjouis-toi, ô Mère immaculée par qui nous fûmes délivrés de l'antique malédiction pour prendre part à l'immortalité.

    Magnifie, ô mon âme, celle qui fut offerte dans le temple du Seigneur et que les prêtres ont bénie de leur main.

    Plus sainte que tous les Saints, ô Marie, Mère de Dieu, par tes prières tire-nous du filet de l'ennemi; de l'erreur, de l'affliction sauve-nous, tes serviteurs qui nous prosternons dans la foi devant ton image sacrée.

    Magnifie, ô mon âme, celle qui fut offerte dans le temple du Seigneur et que les prêtres ont bénie de leur main.

    Ô Vierge, tu es apparue supérieure aux Chérubins, au-dessus des Séraphins et plus vaste que le ciel, car ton sein a contenu celui que nul espace ne contient et mis au monde notre Dieu: implore-le sans cesse pour nous.

    Magnifie, ô mon âme, la puissance de la Divinité en trois personnes, indivisible.

    En trois personnes glorifions l'inséparable Unité qui est chantée sans cesse en l'unique divinité sur la terre comme au ciel, pieusement nous prosternant devant l'indivise Trinité, Père, Fils et saint Esprit.

    Magnifie, ô mon âme, la Mère de Dieu plus vénérable et glorieuse que tous les Anges dans le ciel.

    Sous ta miséricorde nous réfugiant, nous les fidèles, et nous prosternant pieusement devant ton Fils, ô Vierge Mère de Dieu, comme devant le divin Maître, nous t'en prions: intercède auprès de lui pour qu'il nous sauve du péril et de toute tentation.

    (Liturgie byzantine)

  • Saint Félix de Valois

    Deus, qui beatum Felicem Confessorem tuum ex eremo ad munus redimendi captivos cœlitus vocare dignatus es: praesta, quæsumus; ut per gratiam tuam ex peccatorum nostrorum captivitate, ejus intercessione liberati, ad cœlestem patriam perducamur. Per Dominum nostrum Jesum Christum…

    O Dieu, qui, par une inspiration céleste, avez daigné appeler votre bienheureux confesseur Félix, de la solitude du désert à l’œuvre du rachat des captifs ; faites, s’il vous plaît, que son intercession nous obtienne de vous la grâce d’être délivrés de l’esclavage de nos péchés, et de parvenir à la patrie céleste.

    Voici deux statues de saint Félix de Valois. La première se trouve sur la façade latérale de l’église de la Trinité à Paris. La seconde est plus intéressante (surtout quand on considère l’ensemble pitoyable de l’iconographie de ce saint) mais je ne sais rien d’elle. J’ai trouvé la photo sur un forum qui n’en dit rien.

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    Voir aussi