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Liturgie - Page 13

  • Saint Antoine

    Doxastikon des laudes byzantines, par Theodoros Kokkorikos, protopsalte de l’église Saint-Tryphon de Nea Lmapsakos (Chalcis).

    Οὐρανοδρόμῳ ἐπιβὰς ὀχήματι θεσπέσιε, τῶν ἀρετῶν κατέλαβες, τὴν ἀκρόπολιν δι᾿ ἀσκήσεως, ἐκ τῆς ἐρήμου πολεύων, τῆς ἄνω Ἱερουσαλήμ, τὰ ὑπερκόσμια, καὶ τῶν ἐκ πόνων ἀγώνων, ἀξίως τὰ γέρα κομισάμενος, ταῖς οὐρανίαις συναγάλλῃ, ταξιαρχίαις Παμμακάριστε, τῶν αἰωνίων ἀγαθῶν κληρονόμος, καὶ τῆς Βασιλείας οἰκήτωρ γενόμενος. Ἀλλὰ πρέσβευε θεοφόρε Ἀντώνιε, τῷ Σωτῆρι τῶν ὅλων, εἰρηνεῦσαι τὸν κόσμον, καὶ σῶσαι τὰς ψυχὰς ἡμῶν.

    Monté sur le char qui court au ciel, homme divin, tu as gagné par l'ascèse l'acropole des vertus, quittant le désert pour habiter l'autre monde, la Jérusalem d’en-haut ; ayant reçu pour tes pénibles combats la récompense méritée, tu exultes avec les armées du ciel, ô bienheureux ; tu es devenu l'héritier des biens célestes et l'habitant du Royaume. Antoine théophore, intercède auprès du Sauveur de l'univers pour qu’il donne la paix au monde et le salut à nos âmes.

    *

    Dans mon diocèse c'est Notre Dame de Pontmain.

  • Saint Marcel Ier

    VERIDICVS • RECTOR • LAPSOS • QVIA • CRIMINA • FLERE
    PRAEDIXIT • MISERIS • FVIT - OMNIBVS • HOSTIS • AMARVS
    HINC • FVROR • HINC • ODIVM • SEQUITVR • DISCORDIA • LITES
    SEDITIO • CAEDES • SOLVVNTVR • FOEDERA • PACIS
    CRIMEN • OB • ALTERIVS • CHRISTVM • QVI • IN • PACE • NEGAVIT
    FINIBVS • EXPVLSVS • PATRIAE • EST • FERITATE • TYRAMNI
    HAEC • BREVITER • DAMASVS • VOLVIT • COMPERTA • REFERRE
    MARCELLI • VT • POPVLVS • MERITVM • COGNOSCERE • POSSIT

    Parce que, en vrai Pasteur, il avait ordonné aux pécheurs de pleurer leurs fautes,
    Il fut considéré par tous les méchants comme un adversaire
    D’où la fureur, la haine, la discorde, la querelle, plein de fiel.
    La sédition, les massacres ; le lien de la concorde fut brisé
    Par les artifices iniques de quelqu’un qui, au temps même de la paix, avait renié le Christ.
    Il fut expulsé du sol paternel par la cruauté du tyran.
    Damase, à qui tout cela est parfaitement connu, a voulu le rapporter succinctement,
    Afin que le peuple connaisse le mérite de Marcel.

    Cette épigraphe de saint Damase ne fait pas mention de ce que racontent les plus tardifs Gesta Marcelli : saint Marcel condamné à servir comme esclave dans les écuries impériales jusqu’à la mort, ce qu’on trouvera dans la Légende dorée (et dans le bréviaire) et donnera lieu à illustrations.

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    Juan Ramirez, 1515.

  • Saint Paul premier ermite

    Apolitykon de saint Paul de Thèbes, par Georges Fanaras, chantre de l'église Saint-Georges d'Asvestochóri (Thessalonique).

    Θείου Πνεύματος, τὴ ἐπινεύσει, πρῶτος ὤκησας, ἐν τὴ ἐρήμω, Ἥλιου τὸν ζηλωτὴν μιμησάμενος καὶ δι' ὀρνέου τραφεῖς ὡς ἰσάγγελος, ὑπ' Ἀντωνίου τῷ κόσμῳ ἐγνώρισαι. Παῦλε ὅσιε, Χριστὸν τὸν Θεὸν ἱκέτευε, δωρήσασθαι ἠμὶν τὸ μέγα ἔλεος.

    Inspiré par le Saint-Esprit, tu as été le premier à faire ta demeure dans le désert, imitant le zèle d’Elie, et nourri par un oiseau comme un égal aux anges ; par Antoine tu as été révélé au monde. Saint Paul, supplie le Christ Dieu de nous donner la grande miséricorde.

  • Deuxième dimanche après l'Epiphanie

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    Duccio, 1311.

    Le troisième Mystère de l’Épiphanie nous montre la consommation des plans de la divine miséricorde sur le monde, en même temps qu’il nous manifeste une troisième fois la gloire de l’Emmanuel. L’Etoile a conduit l’âme à la foi, l’Eau sanctifiée du Jourdain lui a conféré la pureté, le Festin Nuptial l’unit à son Dieu. Nous avons chanté l’Époux sortant radieux au-devant de l’Épouse ; nous l’avons entendu l’appeler des sommets du Liban ; maintenant qu’il l’a éclairée et purifiée, il veut l’enivrer du vin de son amour.

    Un festin est préparé, un festin nuptial ; la Mère de Jésus y assiste ; car, après avoir coopéré au mystère de l’Incarnation du Verbe, il convient qu’elle soit associée à toutes les œuvres de son Fils, à toutes les faveurs qu’il prodigue à ses élus. Mais, au milieu de ce festin, le vin vient à manquer. Jusqu’alors la Gentilité n’avait point connu le doux vin de la Charité ; la Synagogue n’avait produit que des raisins sauvages. Le Christ est la vraie Vigne, comme il le dit lui-même. Lui seul pouvait donner ce vin qui réjouit le cœur de l’homme, et nous présenter à boire de ce calice enivrant qu’avait chanté David.

    Marie dit au Sauveur : « Ils n’ont point de vin. » C’est à la Mère de Dieu de lui représenter les besoins des hommes, dont elle est aussi la mère. Cependant, Jésus lui répond avec une apparente sécheresse : « Femme, qu’importe à moi et à vous ? Mon heure n’est pas encore venue. » C’est que, dans ce grand Mystère, il allait agir, non plus comme Fils de Marie, mais comme Fils de Dieu. Plus tard, à une heure qui doit venir, il apparaîtra aux yeux de cette même Mère, expirant sur la croix, selon cette humanité qu’il avait reçue d’elle. Marie a compris tout d’abord l’intention divine de son Fils, et elle profère ces paroles qu’elle répète sans cesse à tous ses enfants : Faites ce qu’il vous dira.

    Or, il y avait là six grands vases de pierre, et ils étaient vides. Le monde, en effet, était parvenu à son sixième âge, comme l’enseignent saint Augustin et les autres docteurs après lui. Durant ces six âges, la terre attendait son Sauveur, qui devait l’instruire et la sauver. Jésus commande de remplir d’eau ces vases ; mais l’eau ne convient pas pour le festin de l’Epoux. Les figures, les prophéties de l’ancien monde étaient cette eau ; et nul homme, jusqu’à l’ouverture du septième âge, où le Christ, qui est la Vigne, devait se communiquer, n’avait contracté l’alliance avec le Verbe divin.

    Mais lorsque l’Emmanuel est venu, il n’a qu’une parole à dire : « Puisez maintenant. » Le vin de la nouvelle Alliance, ce vin qui avait été réservé pour la fin, remplit seul maintenant les vases. En prenant notre nature humaine, nature faible comme l’eau, il en a ménagé la transformation ; il l’a élevée jusqu’à lui, nous rendant participants de la nature divine ; il nous a rendus capables de contracter l’union avec lui, de former ce seul corps dont il est le Chef, cette Église dont il est l’Époux, et qu’il aimait de toute éternité d’un si ardent amour, qu’il est descendu du ciel pour célébrer ces noces avec elle.

    O sort admirable que le nôtre ! Dieu a daigné, comme dit l’Apôtre, montrer les richesses de sa gloire sur des vases de miséricorde ». Les urnes de Cana, figures de nos âmes, étaient insensibles, et nullement destinées à tant d’honneur. Jésus ordonne à ses ministres d’y verser l’eau ; et déjà, par cette eau, il les purifie ; mais il pense n’avoir rien fait encore tant qu’il ne les a pas remplies jusqu’au haut de ce vin céleste et nouveau, qui ne devait se boire qu’au royaume de son Père. Ainsi la divine charité, qui réside dans le Sacrement d’amour, nous est-elle communiquée ; et pour ne pas déroger à sa gloire, l’Emmanuel, qui veut épouser nos âmes, les élève jusqu’à lui. Préparons-les donc pour cette union ; et, selon le conseil de l’Apôtre, rendons-les semblables à cette Vierge pure qui est destinée à un Époux sans tache.

    Saint Matthieu, Évangéliste de l’humanité du Sauveur, a reçu de l’Esprit-Saint la charge de nous annoncer le mystère de la foi par l’Etoile ; saint Luc, Évangéliste du Sacerdoce, a été choisi pour nous instruire du mystère delà Purification par les Eaux ; il appartenait au Disciple bien-aimé de nous révéler le mystère des Noces divines. C’est pourquoi, suggérant à la sainte Église l’intention de ce troisième mystère, il se sert de cette expression : Ce fut le premier des miracles de Jésus, et il y MANIFESTA sa gloire. A Bethléem, l’Or et l’Encens des Mages prophétisèrent la divinité et la royauté cachées de l’Enfant ; sur le Jourdain, la descente de l’Esprit-Saint, la voix du Père, proclamèrent Fils de Dieu l’artisan de Nazareth ; à Cana, Jésus agit lui-même et il agit en Dieu : « car, dit saint Augustin, Celui qui transforma l’eau en vin dans les vases ne pouvait être que Celui-là même qui, chaque année, opère un prodige semblable dans la vigne. » Aussi, de ce moment, comme le remarque saint Jean, « ses Disciples crurent en lui », et le collège apostolique commença à se former.

    Dom Guéranger

  • Commémoraison du Baptême de Notre Seigneur Jésus-Christ

    Ἐν Ἰορδάνῃ βαπτιζομένου σου Κύριε, ἡ τῆς Τριάδος ἐφανερώθη προσκύνησις· τοῦ γὰρ Γεννήτορος ἡ φωνὴ προσεμαρτύρει σοι, ἀγαπητόν σε Υἱὸν ὀνομάζουσα· καὶ τὸ Πνεῦμα ἐν εἴδει περιστερᾶς, ἐβεβαίου τοῦ λόγου τὸ ἀσφαλές. Ὁ ἐπιφανεὶς Χριστὲ ὁ Θεός, καὶ τὸν κόσμον φωτίσας δόξα σοι.

    Dans le Jourdain lorsque, Seigneur, tu fus baptisé, à l'univers fut révélée la sainte Trinité ; en ta faveur se fit entendre la voix du Père te désignant comme son Fils bien-aimé ; et l'Esprit sous forme de colombe confirma la vérité du témoignage. Christ notre Dieu qui t'es manifesté, illuminateur du monde, gloire à toi.

    L’apolytikion de la fête, dans la version de Matthieu de Vatopedi (1774-1849), par le chœur des moines de Vatopedi (numéro 2 dans la hiérarchie de l’Athos). C’est aussi le tropaire que le prêtre chante trois fois quand il bénit l’eau en y trempant trois fois la corix.

  • De la férie

    Les répons des matines de ce jour sont les deux premiers répons des matines de l’Epiphanie, ceux qui évoquent ce qui est pour les orientaux le seul mystère de la Théophanie : le baptême du Christ, qui sera spécialement commémoré demain à l’occasion de ce qui était avant 1955 l’octave de la fête.

    ℟. Hódie in Jordáne baptizáto Dómino apérti sunt cæli, et sicut colúmba super eum Spíritus mansit, et vox Patris intónuit: * Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.
    ℣. Descéndit Spíritus Sanctus corporáli spécie sicut colúmba in ipsum, et vox de cælo facta est.
    ℟. Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.

    Aujourd’hui, le Seigneur ayant été baptisé dans le Jourdain, les cieux se sont ouverts et, sous la forme d’une colombe, l’Esprit s’est reposé sur lui, et la voix du Père a retenti : Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complaisances.
    L’Esprit-Saint est descendu sous la forme corporelle d’une colombe et une voix du ciel s’est fait entendre.
    Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complaisances.

    ℟. In colúmbæ spécie Spíritus Sanctus visus est, Patérna vox audíta est: * Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.
    ℣. Cæli apérti sunt super eum, et vox Patris intónuit.
    ℟. Hic est Fílius meus diléctus, in quo mihi bene complácui.

    Sous l’apparence d’une colombe, l’Esprit-Saint est apparu, et la voix du Père a été entendue : Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complaisances.
    Les cieux se sont ouverts au-dessus de lui, et la voix du Père a retenti.
    Voici mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toutes mes complaisances.

  • De la férie

    Jusqu’à samedi les hymnes sont toujours celles de l’Epiphanie. Dont celle des vêpres et des matines :

    Hostis Heródes ímpie,
    Christum veníre quid times ?
    Non éripit mortália,
    Qui regna dat cæléstia.

    Hérode, roi cruel, pourquoi crains-tu
    L'arrivée d'un Dieu qui vient régner ?
    Il ne ravit pas les sceptres mortels,
    Lui qui donne les royaumes célestes.

    Ibant magi, quam víderant,
    Stellam sequéntes prǽviam:
    Lumen requírunt lúmine:
    Deum faténtur múnere.

    Les Mages s'avançaient, suivant l'étoile
    Qu'ils avaient vue et qui marchait, devant eux :
    La lumière les conduit à la Lumière ;
    Leurs présents proclament un Dieu.

    Lavácra puri gúrgitis
    Cæléstis Agnus áttigit:
    Peccáta, quæ non détulit,
    Nos abluéndo sústulit.

    Le céleste Agneau a touché l'onde
    Du lavoir de pureté ;
    Dans un bain mystique, il lave en nous
    Des péchés qu'il n'a point commis.

    Novum genus poténtiæ:
    Aquæ rubéscunt hýdriæ,
    Vinúmque jussa fúndere,
    Mutávit unda oríginem.

    Nouveau prodige de puissance !
    L'eau rougit dans les urnes de pierre.
    Jésus ordonne de verser ;
    L'eau coule et c'est du vin.

    Jesu, tibi sit gloria,
    qui te revelas gentibus,

    Cum Patre, et Sancto Spíritu,
    In sempitérna sǽcula. Amen.

    Jésus, à toi soit la gloire,
    Qui te révèles aux païens,
    Avec le Père et le Saint-Esprit,
    Dans les siècles éternels. Amen.

  • Il nous a visités

    Un exapostilaire de Noël, en grec puis en slavon, par le chœur Axion Estin du monastère de Nikolo-Malitsa (région de Tver), mis en ligne lundi.

    Ἐπεσκέψατο ἡμᾶς, ἐξ ὕψους ὁ Σωτὴρ ἡμῶν, ἀνατολὴ ἀνατολῶν, καὶ οἱ ἐν σκότει καὶ σκιᾷ, εὕρομεν τὴν ἀλήθειαν· καὶ γὰρ ἐκ τῆς Παρθένου ἐτέχθη ὁ Κύριος.

    Посетил ны есть свыше Спас наш, Восток востоков, и сущии во тьме и сени обретохом истину, ибо от Девы родися Господь.

    Il nous a visités du haut des cieux, notre Sauveur, l’Orient des orients, et, nous qui étions dans les ténèbres et dans l’ombre, nous avons trouvé la vérité : c’est que le Seigneur est né de la Vierge.

  • De la férie

    Le martyrologe de ce jour évoque un saint original :

    Au monastère de Cuxa, en France, l'anniversaire de saint Pierre Urséol, confesseur : d'abord doge de Venise, ensuite moine de l'Ordre de saint Benoît, il fut célèbre par sa piété et ses vertus.

    En 976, il y eut à Venise une insurrection populaire contre le doge Pierre IV Candiano. Plusieurs quartiers furent incendiés, ainsi que le palais des doges et la basilique Saint-Marc, où s’était réfugié le doge qui y fut assassiné. Selon saint Pierre Damien Pierre Urséol (Pietro Orseolo) était l’instigateur de l’assassinat du doge soutenu par les Francs et l’empire germanique. Pierre Urséol se fit doge avec l’appui des Byzantins. Il restaura la basilique et commanda la célèbre « pala d’oro » (le retable d’or), pacifia la République, fit construire deux hôpitaux, et tout-à-coup, le 1er septembre 978, il disparut. Il se rendit à l’abbaye de Cuxa, dans les Pyrénées, sous un faux nom (il avait rencontré à Venise le père abbé de Cuxa venu vénérer les reliques de saint Marc). Devenu célèbre pour sa piété, il termina sa vie dans un ermitage près du monastère.

    Madonna_dell'Orto_(Venice)_-_Chapel_St_Mauro_-_Pietro_I_Orseolo.jpg

  • De la férie

    Le martyrologe de ce jour commence par une longue et émouvante notice :

    A Antioche, sous Dioclétien et Maximien, l'anniversaire de saint Julien martyr, et de la vierge Basilisse, son épouse. Celle-ci, après avoir gardé la virginité avec son mari, termina paisiblement sa vie. Quant à Julien, après avoir vu se réfugier près de lui une multitude de prêtres et de ministres de l'église du Christ pour échapper à la cruauté de la persécution, après les avoir vus livrés aux flammes, il fut, par ordre du préfet Marcien, soumis à de nombreux tourments et condamné à la peine capitale. Avec lui souffrirent également un prêtre nommé Antoine, Anastase que Julien avait ressuscité pour lui communiquer la grâce du Christ, un enfant nommé Celse, Marcionille mère de cet enfant, sept frères et un grand nombre d'autres.

    Et puis il y a l’un des membres de cette célèbre famille de Cappadoce qu’on retrouve tout au long de l’année liturgique :

    A Sébaste, en Arménie, saint Pierre évêque, fils des saints Basile et Emmélie, frère des saints Basile le Grand et Grégoire de Nysse, et de la vierge sainte Macrine.

    Il manque la mention de sainte Macrine l’Ancienne, la grand-mère… Et parmi les frères et sœurs il y eut encore le très peu connu saint Naucrace, qui fut ermite et mourut jeune dans un accident de chasse.