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Islam - Page 169

  • Dans un pays musulman tel que la Belgique

    Le 6 août, la chaîne de télévision belge VTM a reçu une lettre qui disait à propos d’Elio di Rupo :

    « Au nom d’Allah, dans un pays musulman tel que la Belgique, un homosexuel ne peut en aucun cas devenir Premier ministre. »

    La police judiciaire de Bruxelles prend « l’affaire au sérieux », a indiqué un porte-parole.

  • Erdogan s’est nommé un conseiller polygame…

    Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a nommé en juin un conseiller, Ali Yüksel, qui est ouvertement polygame : il a trois femmes, et dit en rechercher une quatrième, « comme le permet l’islam ».

    Cette nomination vient seulement d’être connue. La presse laïque s’étrangle d’indignation. La polygamie est théoriquement interdite en Turquie depuis 1926.

    "Quels conseils demandera M. Erdogan à cette personne?", s'interroge le journal Vatan. Mais des conseils « islamistes modérés », bien sûr…

  • L’instrumentalisation de la justice au service de l’islam

    Le cabinet d’architectes qui a dessiné les plans de la grande mosquée de Marseille a assigné en référé la Ligue du Sud devant le tribunal de grande instance de Marseille.

    La Ligue du Sud avait fait un appel aux dons pour financer un recours devant le Conseil d’Etat pour faire annuler le permis de construire de la mosquée, et avait illustré son appel avec une photo de la maquette de la mosquée.

    Les architectes invoquent le droit à l’image, et réclament 10.000 euros, soit exactement la somme que cherche à recueillir la Ligue du Sud pour introduire son recours.

    La photo de la maquette de la grande mosquée illustre la première page du dossier de permis de construire déposée en mairie de Marseille. Il s’agit donc d’un document public. On peut le voir un peu partout sur internet, et de nombreux journaux l’ont publiée…

  • En Angleterre

    Neuf personnes ont été condamnées à Manchester pour l’exploitation sexuelle d’une fille de 14 ans. Le chef de la police de Manchester a déclaré : “Cette enfant a subi un cauchemar épouvantable. Le niveau de souffrances qu’elle a enduré dépasse l’entendement. Elle a été traitée comme un objet, battue, menacée, violée…”

    Les condamnés sont Aftab Khan, Abid Khaliq, Ahmed Noorzai, Mohammed Anwar Safi, Mohammed Khan, Najibullah Safi, Asad Yousaf Hassan, Mohammed Basharat, Mohammed Atif.

    (Bivouac-ID)

  • Au Pakistan

    A Karachi, une étudiante infirmière catholique de 22 ans, Magdalene Ashraf, a été battue et violée par plusieurs musulmans, dont un médecin qui l’a ensuite jetée par la fenêtre du 4e étage. L’infirmière souffre de multiples et graves blessures.

    Il y a des centaines de cas de viols d’infirmières chrétiennes par des médecins musulmans au Pakistan, rappellent les représentants de la communauté chrétienne, mais ils ne sont pas connus parce que les familles musulmanes obligent les infirmières à garder le silence pour protéger leurs familles.

    (via Bivouac-ID, qui donne plusieurs liens)

  • Sabrina halal

    Un an après Casino, le groupe Carrefour va lancer sa propre marque de produits halal.

    « Une gamme halal au nom pour le moins surprenant : Sabrina (sic) », précise le site Al Kanz.

    Ce qui est surprenant est que Al Kanz soit surpris par le nom choisi.

    Comme Nadia, Inès, Sonia, Sabrina est désormais un prénom arabo-musulman dans nos cités. Les parents cherchent des prénoms qui puissent être à la fois maghrébins et européens. Inas devient Inès, Nadiyya devient Nadia, Saniyya devient Sonia, et Sabriyya devient Sabrina. Curieusement, cela ne joue pas pour les garçons. Ainsi, le prénom de le plus donné pour les garçons en Seine-Saint-Denis est (de très loin) Mohammed, et pour les filles Inès (sur le plan « national », si l’on peut dire, Sarah détrône Inès et Sabrina est en troisième position).

    Si Carrefour utilise le nom Sabrina, c’est pour ne pas effaroucher ses clients non musulmans (le catalogue spécial ramadan de Carrefour s’appelle « Mille saveurs »…), tout en faisant un clin d’œil à la clientèle musulmane.

    Le destin de « Sabrina » est étonnant. A l’origine, il s’agit du nom, celtique, de la rivière Severn, au pays de Galles. Severn était la fille illégitime du roi Locrine, noyée dans la rivière. La légende de Severn, Sabren, Sabrina, a été chantée par plusieurs poètes anglais. La vogue de ce prénom a explosé aux Etats-Unis dans les années 50, puis est arrivée en France. Et comme il était devenu à la mode, les Maghrébins l’ont assimilé à Sabriyya, le féminin de Sabri (qui veut dire patient).

  • Rations de jihad

    Via Novopress

    Après les rations « sans porc » :

    rations_sans_porc.jpg

     

    voici les rations de combat individuelles « halal » :

    rations_halal.jpg
    De l'armée française. "Approuvé OTAN".
  • Islamisation : en Inde aussi

    AFP :

    Une enseignante indienne qui refusait de porter le voile intégral comme le demandaient les élèves d'une université musulmane de Calcutta, dans l'est de l'Inde, n'a pas pu dispenser son cours pendant trois mois, rapporte jeudi le quotidien The Indian Express.

    L'université Aliah de Calcutta, première université musulmane de l'Etat du Bengale occidental (est), n'impose pas de code vestimentaire mais le syndicat étudiant a exigé que les enseignantes se couvrent pendant les cours.

    Sirin Middya a déclaré au quotidien The Indian Express avoir refusé de se soumettre à cette demande et avoir été privée d'enseignement pendant 3 mois.

    "La plupart des professeurs n'aiment pas le diktat des étudiants concernant le port de la burqa mais elles n'ont pas d'autres choix que de l'accepter", a-t-elle souligné. "C'est une talibanisation des locaux éducatifs et personne ne vient à notre secours", a-t-elle dénoncé.

    L’AFP conclut sa dépêche en notant que les musulmans en Inde sont « souvent victimes de discrimination ». Sic.

  • La religion du football européen

    Le Conseil central des musulmans d’Allemagne annonce que les footballeurs musulmans professionnels pourront rompre le jeûne du ramadan pour jouer.

    Le Conseil central des musulmans a précisé avoir consulté les autorités d'Al Azhar, en Egypte. Elles ont répondu qu'un footballeur était autorisé à rompre le jeûne si son contrat était sa seule source de revenu et lui imposait de jouer des rencontres pendant le mois du ramadan, ou si le jeûne risquait de nuire à ses performances.

  • La burqa, c’est comme la soutane

    Le P. Christophe Roucou, directeur du service de la conférence épiscopale pour les relations avec l’islam, compare le voile intégral avec la soutane : ce sont des « raidissements » d’un « courant fondamentaliste ».

    Voir l’article, sur Perepiscopus, où l’on voit que la messe des « Sept Saints » (vieux pardon breton dévoyé en "pèlerinage islamo-chrétien" par Massignon) est suivie de la lecture de la sourate 18 : celle qui raconte à la sauce coranique l’histoire des « Dormants d’Ephèse », et qui comporte plusieurs imprécations contre les chrétiens. Cette sourate est également celle où l’on voit un envoyé d’Allah apprendre à Moïse ce qu’est l’islam. A un moment ils rencontrent un enfant, et l’envoyé tue l’enfant. Moïse proteste. Plus tard, l’envoyé lui explique : « Quant au garçon, ses père et mère étaient des croyants [musulmans]. Nous avons craint qu’il ne leur imposât la rébellion et la mécréance. » Merci, père Roucou, pour ce bel enseignement.