Via Novopress
Après les rations « sans porc » :
voici les rations de combat individuelles « halal » :
De l'armée française. "Approuvé OTAN".
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Après les rations « sans porc » :
voici les rations de combat individuelles « halal » :
Commentaires
Les rations cashers existaient déjà depuis longtemps...
Pourquoi c'est écrit en anglais ?
C'est en français, et en anglais. OTAN oblige.
Notez qu'en anglais, les rations sont qualifiées de "French"... Un avertissement, ou une reconnaissance gastronomique ?
A vrai dire, ça ne me choque pas trop ; ça n'a rien à voir avec les cantines, où le communautarisme impose une gestion impossible (quoique la plus simple devienne : "Tout halal !"...) ; c'est personnalisé, comme la taille du pantalon, du béret... du soldat. Loin de moi pourtant d'approuver ces religions, ces superstitions ; mais en attendant qu'ils passent de l'ombre à la lumière... qu'ils bouffent leurs cochonneries (ha ! ha !) !
(Bon, ça va, c'est pôs trop antisémitisque, comme commentaire ? Sinon, moi, j'émigre en Italie, terre de liberté : http://www.liberation.fr/monde/0101650339-homophobie-declaree-en-italie?xtor=EPR-450206 (1) !)
1. Je laisse ce code confidentiel dans ce lien, "EPR-450206" ; si à chaque article de Libération que vous lisez vous complétez le lien par "?xtor=EPR-450206", Libération considérera que j'ai lu l'article ; d'où, je suppose, des statistiques personnalisées sur mon comportement d'abonné à la "Newsletter". (C'est facile, pourtant : Le Pen père et fille, les pédés, Woerth...) Je me demande si Libération a sollicité l'accord de la CNIL pour pister ainsi mon comportement... D'autres journaux agissent de même, comme l'Express. Au début, j'enlevais ce code du lien, pour lire anonymement ; maintenant, je le laisse : les journaux seront ainsi incités à proposer de plus en plus d'articles suscitant l'intérêt de leurs lecteurs... Et toc.
Les fautes d'orthographe de "Libération" sont moins pardonnables que d'autres : en effet, il n'y a pas moins de trois correcteurs + l'auteur de l'article, soit quatre lectures et relectures.
Pour en revenir aux rations "hallal" ou "casher", il est possible de vouloir du "halal" ou du "casher", mais dans ce cas, il faudrait que le surcoût soit imputé au consommateur.
Certes les croyances sont libres et les croyances superstitieuses peuvent être tolérées si elles n'ont pas de conséquences graves contre les droits de l'homme.
Mais dans ce cas, le surcoût doit être imputé au consommateur car l'ensemble des citoyens n'a pas à financer les pratiques de certains. C'est la comptabilité, la simple justice qui dicte cela. C'est la raison infaillible et universelle de l'homme.
Vous retardez, il n'y a plus un seul relecteur/correcteur à Libération (faut dire que ça change pas grand-chose... ; moi, j'ai pas vu la différence), ils ont été les premiers virés de la charrette de Mr Rothschild (normal, le français, c'est loin d'être sa maternelle langue, poïpoïpoï), avec le camarade July ; il y avait bien une dame -- dont le nom m'échappe présentement -- très attachée à la langue française qui patrouillait sur le site (nous étions en relations épistolaires et je lui signalais les bourdes : un métier à plein temps ; hélas ! ces relations ne lui ont pas réussi, elle est décédée l'an dernier). C'est Télérama, qui se vante de 100 relectures ! Mouais... Vous pouvez relire, quand le français est mauvais...
Quant au surcoût : casher, il doit être inexistant (pas bêtes, on fait combattre les autres ; et ça, de tout temps -- j'adore le film "Un pont trop loin" ; si vous pas comprendre pourquoi, regardez-le, il repasse souvent : "Sainte Marie pleine de grâce..." par le très blond Redford ; tiens ! pas de bruns typiques, dans ce film ! mais-pourquoi-donc ?...) ; halal : je me demande si c'est pas le non-halal qui devient un surcoût...