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Islam - Page 110

  • Deux provocations islamiques

    On y est désormais tellement habitués qu’on n’y fait plus attention. Mais c’est une provocation qui revient chaque année : l’UOIF organise son grand rassemblement à Pâques. Joachim Veliocas y est allé, et il a pu constater que, bien entendu, on trouvait « le jihad à tous les étals », avec la bénédiction du gouvernement.

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    A la collégiale de Dole, pendant la messe de Pâques, un homme revêtu d’une djellaba et d’une coiffe  a installé un tapis près de l’autel et a lu des versets du Coran. Puis il a écrit quelques mots sur le registre paroissial. Le sous-préfet a tenu à rassurer la population : « Il ne faut pas créer d’amalgame. Cette attitude déplacée est le fait d’un individu visiblement perturbé. »

    Si peu « visiblement perturbé » que son écriture est posée et parfaitement régulière, ne trahissant aucune émotion. Et comme le souligne l’Observatoire de l’islamisation, l’homme a écrit la sourate 112. Non pas « un extrait », comme dit l'Observatoire, mais la sourate entière, qui n’a que quatre très brefs versets :

    Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Dis : Il est Allah, Unique (1). Allah, le Seul à être imploré pour ce que nous désirons (2). Il n’a jamais engendré, n’a pas été engendré non plus (3). Et nul n’est égal à Lui (4).

    Cette sourate s’appelle « Le monothéisme pur ». Elle est purement… antichrétienne.

  • Le viol des chrétiennes au Bangladesh

    Une centaine de chrétiens, et quelques musulmans, ont manifesté hier à Dakha, à l’appel de l’organisation des étudiants de l’ethnie Garo, contre le viol subi par une jeune catholique.

    Au cours des festivités du nouvel an bengali, lundi dernier, quatre musulmans ont attaqué la jeune fille et l’ont violée.

    Elle a 21 ans, elle s’appelle Mary Thigidi Purnima, elle est de la paroisse de Mariamnagar, dans le diocèse de Mymensingh. Elle travaille dans un institut de beauté à Dakha.

    Et elle est courageuse. Car elle a porté plainte, alors que la plupart des chrétiennes violées, quand elles survivent, font profil bas. Comme prévu, les menaces de mort s’accumulent sur Mary pour qu’elle retire sa plainte.

    D’autre part, quand une jeune fille d’une minorité ethnique (et en plus chrétienne) porte plainte, la police s’abstient de faire du zèle. Cette fois, cependant, elle a arrêté l’un des trois violeurs et recherche les autres.

    Pour autant qu’on le sache, neuf femmes des minorités ethniques ont été violées depuis le début de l’année, dont deux ont été tuées. 67 viols de ce type avaient été recensés l’an dernier.

  • Les responsables du prochain attentat de New York

    Sous l’influence de la nouvelle municipalité de gauche bobo libertaire, la police de New York a annoncé hier la fermeture de son unité chargée de surveiller les mosquées et les restaurants, librairies et autres magasins de la communauté musulmane.

    En juin dernier, plusieurs associations dont la célèbre ACLU avaient porté plainte contre l'ancien maire Michael Bloomberg et l'ancien chef de la police pour pratiques anticonstitutionnelles violant les droits civiques des musulmans. « Quand la police transforme en suspects des gens respectueux de la loi, parce qu'ils fréquentent une mosquée et non une église ou une synagogue, cela viole les garanties d'égalité et de liberté religieuse de notre Constitution », avait déclaré une responsable de l'ACLU.

    Evidemment, si l’on refuse de voir la différence entre la prédication du jihad et celle du sermon sur la montagne, il est clair que cette unité de la police n’était pas légitime.

    Mais que les bobos de New York ne viennent pas pleurnicher lors du prochain attentat meurtrier. Ce seront eux les responsables, à commencer par le maire, Bill de Blasio.

  • Accueil des touristes et dhimmitude (ou : Mammon pour faire venir Allah)

    Les aéroports japonais sont en train de « s’adapter » pour accueillir des visiteurs musulmans de plus en plus nombreux (notamment d’Indonésie : 65% de plus en un an, et du Golfe : 50%).

    Les salles « de silence » sont transformées en « salles de prière ». Dans les toilettes sont posés des robinets spéciaux pour les ablutions rituelles. Beaucoup plus fort : les restaurants demandent à leurs clients de ne pas boire d’alcool lorsqu’ils sont à côté de musulmans.

    Depuis décembre, l’aéroport de Narita sert des menus spéciaux pour musulmans, préparés par l’entreprise qui fournit la compagnie malaise.

    Le porte-parole de l’Association japonaise du Halal, Hideaki Yotsutsuji, déclare que les communautés musulmanes du Japon saluent les efforts des aéroports pour améliorer l’accueil des musulmans. Mais il leur demande d’avoir à l’esprit qu’en claironnant leur quête de convivialité islamique, les aéroports mettent la barre très haut, et qu’ils ne doivent pas décevoir leur clientèle musulmane. Ainsi, souligne-t-il, « un musulman se sentira trahi simplement parce que quelqu’un boit de l’alcool à côté de lui. »

    Il ne suffira pas que les restaurants rappellent à leurs clients de faire attention, il faudra en arriver à interdire la bière et le vin…

    Alors que personne ne demandait rien.

  • Un iconoclaste musulman à Vienne

    Samedi après-midi, à la cathédrale de Vienne (Autriche), un individu était interpellé alors qu’il venait de renverser une statue de marbre de saint Thaddée et qu’il était en train de s’en prendre à une image du Sacré-Cœur. Il a expliqué aux policiers qu’il avait agi par « inspiration » divine, et il traitait les fidèles catholiques de « marionnettes ». C’est un Ghanéen de 37 ans, Ibrahim A., demandeur d’asile. Il fut relâché, dans l’attente d’une convocation dans la semaine.

    Mais ensuite l’homme allait s’en prendre aux statues dans cinq autres églises de Vienne, endommageant les statues de pierre, pulvérisant les statues de marbre, et, pire, détruisant les crucifix en démembrant le corps du Christ.

    Ibrahim A. fut de nouveau interpellé hier après avoir détruit deux statues dans la cinquième église. Il a avoué être le responsable de tous les actes de vandalisme, et aussi dans deux autres églises en février… Il a précisé qu’il accomplissait une « mission divine », car « Allah interdit de faire des images des saints », a déclaré le porte-parole de la police, soulignant que l’homme ne souffrait d’aucune psychose.

    L’archevêché, tout en constatant que les dégâts sont sans précédent dans les églises de Vienne, fait profil bas, à la grande satisfaction de la Communauté islamique d’Autriche, dont le président a déclaré que « la paix religieuse n’est pas menacée ». Puisqu’il le dit…

  • Valls halal et casher

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    "Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël." (Phrase prononcée le 17 juin 2011, jour où il se déclare candidat à la primaire socialiste pour l'élection présidentielle...)

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    "Je souhaite une évolution de la loi de séparation de 1905 pour qu’un peu d’argent public aille à la construction de mosquées."

  • Ils sont incurables

    La semaine dernière, les médias annonçaient pour dimanche la chute d’Erdogan. A cause de la répression des manifestations de l’été dernier, des récentes casseroles qu’il traîne ou qu’on lui a attachées, et surtout de son effroyable, impardonnable et apocalyptique blocage de Youtube, Facebook, puis Twitter : « Le pouvoir Erdogan aux abois avant un scrutin décisif », titrait Le Figaro. Et Libération : «Erdogan est mortellement blessé, mais il ne tombera pas tout de suite».

    Or, naturellement, Erdogan et son parti ont gagné haut la main les municipales, humiliant une fois de plus l’opposition kémaliste. Et Erdogan ne tombera ni tout de suite ni à moyen terme : il est au contraire quasi assuré d’être le prochain président.

    Si nos journalistes faisaient leur travail, ils ne se renseigneraient pas auprès des bobos d’Istanbul et autres Turcs occidentalisés. Dans les campagnes d’Anatolie, on ne sait même pas ce qu’est Twitter, mais on sait, comme l’imam l’a rappelé, que pour aller au paradis il faut voter AKP…

    Mais ils n'ont toujours pas compris, et ils ne comprendront jamais, malgré ce qu'ils ont sous les yeux, que la démocratie dans un pays musulman aboutit forcément à un pouvoir islamiste. Et que si l'on ne veut pas d'un pouvoir islamiste, il faut une dictature "laïque" (comme l'Egypte le leur montre une fois de plus)...

  • L’aveuglement volontaire de la pensée unique

    Un juge de Dublin a dû présenter ses excuses après avoir dit : « Les musulmans croient qu’ils peuvent battre leurs femmes ».

    Le juge Anthony Halpin a dit qu’il n’avait pas l’intention d’offenser les musulmans ou leur religion, qu’il s’excusait de les avoir blessés et leur demandait pardon.

    Le conseil des immigrés d’Irlande a déclaré que les personnes ayant des postes à responsabilité ont le devoir de ne pas nourrir le racisme et la xénophobie.

    Et il n’y a personne pour rappeler que bien entendu le musulman a le droit de battre sa femme, que c’est dans le Coran, dans les Hadiths, dans tous les livres sur la charia, et dans la prédication des imams (y compris sur internet).

    (Via FDesouche, qui donne quelques liens.)

  • Petit à petit…

    Le nouveau maire de Yèbles, en Seine-et-Marne, est une Mauritanienne musulmane, française depuis 2008, mariée à un Tahitien converti à l’islam.

    Les trois premiers de la liste de gauche (« Union citoyenne ») à Montereau ont été élus. Dont Sofiane Reguig, et Nadia Belaghlem-Boukherouba qui a déclaré : « J’ai été élue voilée, je garderai mon voile. »

    (Le Parisien, via FDesouche)

  • Les pressions islamistes en Indonésie

    Un tribunal de Java Ouest a révoqué le permis de construire d’une église catholique à Cibubur (Bekasi). Pendant l’audience, une foule d’islamistes, au-dehors, criaient des menaces contre les juges. Le président du tribunal a déclaré qu’il avait pris cette décision pour éviter la violence confessionnelle…

    Le permis de construire, presque impossible à obtenir en Indonésie pour un lieu de culte non musulman, avait été délivré en 2012 par le maire de Bekasi à la paroisse Saint-Servais de Tongeren, pour l’édification d’une église à Cibubur, à dix kilomètres de là. Le curé souligne que tout fut fait dans le respect absolu des règles (forcément, sinon il ne l'aurait pas eu) et qu’il a les preuves vidéo de tout le processus, et que par conséquent on continuera la construction de l’église, dont le gros œuvre est terminé à 70%. D’autant que le jugement n’impose pas explicitement l’arrêt des travaux.