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Immigration - Page 47

  • La CGT et les clandestins. Faites ce que je dis, pas ce que je fais…

    Depuis 14 mois, 400 à 500 clandestins africains vivaient en permanence, nuit et jour, à la Bourse du Travail à Paris. Près de 1200 y venaient par intermittence. Un commando armé de bombes lacrymo et de bâtons a expulsé manu militari les occupants indésirables. Dans un premier temps, la police est suspectée, puis la CGT reconnaît que c'est bien son service d'ordre qui a procédé à cette évacuation musclée.

    «Après avoir essayé en vain de négocier pendant des mois, nous avons décidé de mettre un terme à une occupation qui était devenue un squatt (...) et ce sans faire appel aux forces de l'ordre», justifie Patrick Picard, secrétaire général de l'Union départementale de Paris.

    (Libération, via François Desouche)

  • Les affaires d'un président d'association islamique

    Le président de l'association qui gère la mosquée d'Orange, Abdelslam Bahiad, ses quatre fils, et plusieurs autres personnes ont été interpellés hier, soupçonnés d'avoir organisé un réseau de proxénétisme, avec filière d'immigration clandestine et blanchiment d'argent.

    Le Dauphiné Libéré, édition du Vaucluse, explique :

    Le mode opératoire semblait rouler depuis quelque temps déjà. À des jeunes filles marocaines, on faisait miroiter une vie meilleure de l'autre côté de la frontière. Emmenées clandestinement en France, moyennant finance, elles se retrouvaient à Orange, engagées, contre leur gré, dans une activité de prostitution.

    Quant au blanchiment d'argent, il restait aux policiers à établir le lien entre les commerces, salons de coiffure, bar et la vingtaine d'appartements détenus par la famille Bahiad. Aussi les enquêteurs épluchent-ils les comptes en banque de toutes les personnes soupçonnées d'être impliquées.

    La présomption de trafic de stupéfiants comme la fabrication de faux papiers restent également à confirmer.

    Il n'empêche que « l'affaire paraît prometteuse » confiait hier Catherine Champrenault, procureur au parquet d'Avignon. Étant donné l'importance du dossier, une cosaisine a été effectuée, et deux juges d'instruction d'Avignon ont été désignés pour cette information judiciaire.

  • Vers une régularisation massive des clandestins de Calais

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    L'installation officielle à Calais d'un bureau du Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés marque l'échec total de la politique d'immigration menée par Nicolas Sarkozy depuis sept ans, et montre l'impuissance de la Commission européenne.

    Celle-ci avait en effet décidé d'installer prochainement à Calais un centre d'accueil de demandeurs d'asile pour obliger les Britanniques à « prendre leur part du fardeau de l'immigration clandestine », selon ce que disait Jacques Barrot.

    Mais le bureau du HCR a pour mission d'inciter les clandestins à demander l'asile à la France. Puisque les Anglais n'en veulent pas, nous devrons les garder. Et garder tous ceux qui continuent d'affluer.

    M. Sarkozy résout le problème de l'immigration clandestine en faisant des clandestins des réfugiés. Il fait la politique de l'extrême gauche : pour qu'il n'y ait plus de « sans-papiers », il suffit de leur donner des papiers.

    Une fois de plus, le Front National avait raison : Nicolas Sarkozy a trompé les Français. Qu'ils s'en souviennent quand ils mettront dimanche leur bulletin dans l'urne.

  • Le HCR à Calais : pour « intégrer » les clandestins…

    Le Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) s'est officiellement établi aujourd'hui à Calais dans le but d'aider les migrants qui cherchent à rejoindre clandestinement la Grande-Bretagne à déposer des demandes d'asile en France.
    Il s'agit du premier "bureau de terrain" français du HCR, déployé depuis plusieurs années sur l'île italienne de Lampedusa, à Malte ou encore sur l'archipel espagnol des Canaries.

    La représentante du HCR, Marie-Noëlle Thirode, partagera son bureau du centre de Calais avec Terre d'Asile.

    "L'objectif est d'informer sur la demande d'asile en France (...) avec également la volonté de déconstruire l'image d'un eldorado britannique" véhiculée par les passeurs qui "donnent des informations totalement erronées", a expliqué Pierre Henry, directeur général de France Terre d'Asile. "Nous ferons venir des associations britanniques de façon à témoigner de la réalité ainsi que des jeunes gens, de nationalité afghane, irakienne ou iranienne, qui sont aujourd'hui parfaitement intégrés dans notre pays."

    Assistés d'interprètes, les représentants des deux organismes iront directement à la rencontre des migrants qui vivent près du port ou dans la "jungle".

    (AFP)

  • Une petite famille du Kosovo à Angers

    Agron Bérischa, 33 ans, est arrivé en France en 2004. « J'ai fui la guerre et le racisme anti-rom qui sévit au Kosovo, mais aussi en Macédoine et au Monténégro. » Trois de ses neuf enfants naîtront ensuite sur le sol français. Agron Bérischa vit avec deux femmes. « Je me suis remarié, mais dans l'intérêt des enfants, ma première épouse est restée avec nous. » Au total, la famille compte douze membres. Elle est logée, nourrie, blanchie, par le conseil général du Maine-et-Loire, via L'Abri de la providence, à Angers.

    Le 11 mai dernier, suite à de nombreux problèmes liés au comportement de la famille, le conseil général décide d'arrêter les frais. Les Bérischa doivent quitter leurs deux appartements. Ils vivent désormais dans deux voitures...

    Explication de Christian Gillet, vice-président du conseil général, en charge du social : « On ne peut pas continuer à dépenser des sommes ahurissantes pour des gens qui ne s'intègrent pas et qui dégradent tout. » Depuis 2006, la collectivité a versé la somme de 199 993 € pour les douze membres de la famille, en hébergement, restauration et allocations. « On a fait le maxi pour ces gens-là ! »

    La goutte d'eau qui a fait décorder le vase a été la très bruyante cérémonie de circoncision d'un des fils en présence de l'imam de Trélazé. Les voisins ont porté plainte.

    La famille a refusé un placement en foyer. « Nous sommes démunis, lance Jean-François Fribault, directeur de l'Abri de la providence. Ils nous ont laissé deux logements complètement saccagés. Les travailleurs sociaux sont épuisés. » Même sentiment au conseil général : « Financièrement, on ne peut pas plus. C'est à l'État d'agir ! »
    A la préfecture, on rappelle que la famille a son permis de séjour jusqu'à la mi-juillet et que sa prise en charge relève donc du Département...

    (Ouest France, via François Desouche)

  • La dérive des magistrats

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La cour d'appel de Paris a relaxé le DAL, alors que ce groupuscule gauchiste avait été condamné en première instance pour avoir occupé la rue de la Banque, à Paris, pendant deux mois et demi.

    Les magistrats ont décrété que l'"association" de M. Eyraud avait eu raison d'installer des tentes dans la rue pour y parquer des « mal-logés » africains, au nom de « l'état de nécessité », qui innocente celui qui commet une infraction pour échapper à une menace ou à un danger imminent.

    Les magistrats précisent que « le simple fait de ne pouvoir vivre dans un logement ayant une surface normale représente une menace », et soulignent que grâce à cette action les protégés de M. Ayraud ont eu gain de cause.

    Cet arrêt est une insulte pour tous les Français condamnés à vivre dans un logement trop petit par la politique de préférence étrangère, ainsi approuvée par la « Justice ».

  • L’invasion du kebab

    Le département du Rhône vient de décrocher le titre de champion de France du kebab. Avec plus de 170 établissements, il devance le Nord (118), la Lorraine (115) et la Haute-Normandie (95), selon le site kekab-frites.com.

    Selon un rapport de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), 62% des kebabs ne respectent pas les règles élémentaires d'hygiène (rupture de la chaîne du froid, tromperie sur la marchandise, mise en vente de produits dont la date limite de consommation est dépassée, etc.).

    (via Novopress)

  • La mosquée des Mureaux

    L'Association culturelle islamique des Mureaux veut agrandir le pavillon où elle a installé une école coranique et une « salle de prière », pour en faire une « vraie mosquée ».

    Après trois ans de discussion avec la mairie, la ville a cédé à l'ACIM un terrain de 95m2 pour 15.000 €. (Le prix moyen des terrains à vendre aux Mureaux est de 298 € le m2. Le terrain en question vaut donc plus de 28.000 €.)

    Le maire divers gauche, François Garay, prévoit aussi la construction d'une école dans ce quartier : il envoie ainsi, dit-il, un signe « éminemment républicain »...

    Le président du groupe socialiste, Papa Whaly Danfakha, affirme que « le bâtiment s'intégrera parfaitement dans le paysage ».

    Numéro 2 du groupe UMP, Aïcha Hami déplore que cela ait pris tant de temps et s'en prend au maire : « Alors que la moitié de la ville est composée de Maghrébins ou d'Africains, il vous a fallu trois ans pour boucler ce dossier ! »

    C'est peut-être pourquoi le maire va mettre en place une « commission des cultes », composée d'élus. Sans doute est-ce un autre signe « éminemment républicain », de la République qui ne reconnaît aucun culte... « Cette commission aura pour but de clarifier les relations entre la collectivité et les représentants des cultes », explique-t-il. Parmi les cultes en question figurent les Libres Penseurs. Sic. Mais ça c'est incontestablement républicain...

  • Pour obtenir le silence à l’école de la diversité

    Extrait d'un reportage du Bondyblog au collège Georges Rouault, dans le 19e arrondissement de Paris.

    Vient le tour de la question qui tue : « Qui, parmi vous, se sent français ? » Coucou, il y a quelqu'un dans la salle ? Pas une main ne se lève parmi tous ces enfants de nationalité française, même pas le métis franco-vietnamien ! Un effet de mode, sûrement. Enfin, un peu plus qu'un effet de mode, sans doute. Il y a le sentiment d'appartenance familial, le regard du proche entourage et peut-être celui aussi d'une société dont la tendance, comme dans toute société, est, au premier abord, le jugement au faciès ou à la façon dont le nom résonne. « La Marseillaise, ça vous parle ? » lance Larim-Hervé Benkamla dans une ultime tentative. Un ange passe. J'en conclus qu'on a peut-être enfin trouvé la méthode imparable pour obtenir le silence dans la classe.

  • Italie multiethnique

    « L'idée de la gauche, c'est de faire une Italie multiethnique. Ce n'est pas la nôtre. La nôtre, c'est d'accueillir uniquement ceux qui répondent aux critères de l'asile politique », a dit samedi Silvio Berlusconi lors d'une conférence de presse.

    Plusieurs députés de l'opposition ont jugé cette déclaration « raciste »... et ont ajouté que de toute façon l'Italie allait inévitablement devenir multiculturelle, que cela plaise ou non.

    Mgr Mariano Crociata, secrétaire de la conférence des évêques d'Italie, a affirmé que le multiculturalisme était une « valeur » déjà bien acceptée dans le pays...

    « C'est un changement révolutionnaire par rapport au passé », a dit Roberto Calderoli, de la Ligue du Nord, qui a souhaité que Berlusconi soit fait membre d'honneur de sa formation.

    « Autrefois, nous n'étions qu'une poignée à défendre l'identité italienne mais maintenant, après les propos du président du Conseil, nous sommes dans la majorité», a lancé le ministre de la Défense, Ignazio La Russa, issu de l'ancienne Alliance nationale.

    (via François Desouche)