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Immigration - Page 44

  • Le lamentable archevêque d’Agrigente

    « Nous vous avertissons que cette année, l'enfant Jésus n'aura pas de cadeaux : les rois mages ne viendront pas, car ils ont été refoulés à la frontière avec les autres immigrés. » C'est ce qu'on peut lire sur un petit écriteau, qui remplace cette année les figurines des rois mages dans la crèche de la cathédrale d'Agrigente (Sicile) pour l'Epiphanie.

    L'initiative vient du directeur de la Caritas d'Agrigente, Valerio Landri, « en accord avec l'archevêque Francesco Montenegro,  explique-t-il, parce que nous avons jugé qu'on devait donner un signal clair afin de faire réfléchir les gens. Si nous y pensons bien, aujourd'hui, l'enfant Jésus, s'il voulait venir chez nous, serait probablement refoulé à la frontière. Nous ne souhaitons pas créer de polémique politique, nous sommes conscients qu'une réglementation du phénomène est nécessaire mais nous sommes convaincus qu'il faut comprendre la raison pour laquelle ces gens quittent leur pays et il faut donc penser à l'accueil. » Parmi les gens, il y a ceux qui « ont applaudi l'initiative, mais il y a ceux qui se plaignent en soutenant que nous avons voulu sacrifier les traditions aux problèmes de l'immigration. Nous, nous pensons que la tradition ne peut pas être placée avant les droits de l'homme. »

    Les Mages n'étaient pas des immigrés, mais des visiteurs. Et leur premier geste a été de saluer l'autorité en place. Il sont ensuite allés se prosterner devant l'enfant Jésus avec le plein accord de ces autorités, qui leur ont même donné l'adresse. Puis ils sont repartis dans leur pays.

    Quant à Jésus il n'était pas un immigré, il était dans la ville de David son ancêtre selon le droit, et le grand roi historique de son peuple.

    Le directeur de la Caritas du diocèse d'Agrigente est un idéologue stupide, et son archevêque ne vaut pas mieux.

    Nous pensons que les droits de l'homme invoqués à tort et à travers ne peuvent pas être placés avant la vérité.

    (L'information vient de François Desouche)

  • Les expulsions de M. Besson

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le ministre de l'Immigration Eric Besson se vante d'avoir expulsé 29.000 étrangers en situation irrégulière en 2009, soit davantage que l'objectif de 27.000 que lui avait fixé Nicolas Sarkozy.

    Cet « objectif » n'a objectivement aucun sens. Un gouvernement digne de ce nom expulse les clandestins, sans avoir à se demander combien il doit en expulser, puisqu'il doit tous les expulser (hormis les vrais cas de demande d'asile).

    Mais on comprend maintenant à quoi sert l'« objectif » : s'il est dépassé, on fait croire au bon peuple qu'on a expulsé beaucoup de clandestins.

    Or, quand on sait que ce sont des centaines de milliers de clandestins qui entrent en France, avec l'espoir non illusoire de se faire régulariser tôt ou tard, le chiffre de 29.000 est aussi dérisoire que le chiffre de 27.000, d'autant que nombre de ces étrangers reviennent aussi vite qu'ils sont partis.

    Si M. Besson peut être fier, c'est en tant que ministre socialiste, appliquant une politique immigrationniste digne de son ancien parti.

  • Roubaix

    Extraits d'un article de La Voix du Nord, via François Desouche, sur les élus roubaisiens du "Rassemblement républicain" (UMP) qui sont allés à la rencontre des « habitants » après les émeutes qui ont suivi le match Algérie-Egypte :

    Les élus expriment leurs craintes : « L'Algérie est qualifiée pour deux compétitions : la coupe d'Afrique des Nations, en janvier, puis la coupe du monde en juin. Que va-t-on faire à ce moment-là ? Pour nous, il est urgent de réagir. » Concrètement, « on a deux mois pour réfléchir au problème et y associer toute la population roubaisienne, sans montrer du doigt une communauté (...)».

    L'élu UMP Max-André Pick était à Paris, ce soir-là, où il a d'ailleurs vu «des scènes de liesses, c'était super sympa !» Mais à Roubaix, «il faut arrêter l'escalade de violence à la base, en parlant notamment avec les jeunes. Car on en a entendu certains nous dire l'autre jour, rue de Mouvaux : « Dehors les Français ! » Mais qu'est-ce que ça veut dire ? Ça n'a aucun sens : leurs parents, leurs grands-parents peut-être, et eux-mêmes sont Français !»

    Pour Guillaume Delbar, le malaise est en effet très profond : «On voit bien que le match n'a été qu'un prétexte. » Marie-Agnès Leman enchérit : « Il y a des gens en souffrance, qui ont toujours habité Roubaix, et qui là ont peur de sortir de chez eux. Je crains un climat de panique. Il faut que les gens puissent s'exprimer, dire ce qu'ils pensent. » Max-André Pick voudrait ainsi parler, écouter, et surtout instaurer un vrai dialogue entre « ceux qui disent qu'ils se sentent « envahis », et ceux qui ne se sentent visiblement pas Français, et vont jusqu'à brûler le drapeau tricolore. »

    Christian Maes ajoute : «Une partie de la jeunesse de Roubaix se pose visiblement des questions sur son identité. Mais par ces actions, ils viennent justifier le débat lancé sur l'identité nationale, tout en s'opposant à ce débat ! Le problème n'est évidemment pas d'avoir des drapeaux algériens à Roubaix, mais que cela devienne antagoniste au drapeau français. Je pense que tout cela était instrumentalisé depuis longtemps.»

    Max-André Pick estime qu'« un fossé se creuse depuis des années entre les Roubaisiens.» « Allez, on y va : il n'y a plus de droite, ni de gauche. Nous devons ensemble éteindre cet incendie (...) Si le maire ne fait rien, nous prendrons des initiatives. »

  • La triste farce des trois Afghans

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Les lobbies immigrationnistes et la gauche, et même une partie de la droite, s'enflamment et enflamment les médias parce que trois Afghans qui n'avaient aucun titre à se trouver sur le territoire français sont renvoyés dans la capitale de leur pays.

    Par cette attitude, les immigrationnistes viennent en aide au gouvernement qui tente de faire croire aux Français qu'il a une politique de fermeté vis-à-vis de l'immigration clandestine.

    Quand ce sont des centaines et des centaines d'Afghans, sans compter les dizaines de milliers d'autres clandestins, qui arrivent sur notre sol chaque année, le renvoi de trois d'entre eux relèverait du gag et prêterait seulement à sourire, s'il ne s'agissait d'une question aussi grave, et d'une opération qui est une insulte au peuple français.

  • Jean-François Copé est devenu adepte de la « chance pour la France »

    Jean-François Copé, dans une interview au Monde:

    Il faut fixer la suite, trouver une réflexion, un message de fond en proposant une nouvelle définition de ce que sont les valeurs de la droite française. Lorsque j'avais 30 ans, j'étais dans une logique de droite très classique, qui croit à la famille, au travail, à la performance. J'ai profondément évolué. Ces valeurs ne suffisent plus à définir ce que je pense. (...) Le premier défi, celui qui sera le plus structurant, c'est la question de l'identité française. La nation se fissure en silence parce qu'il n'y a pas de discours sur l'identité. Ce thème, tel qu'il avait été traité en 2007, doit être profondément renouvelé et retravaillé. (...)

    Il faut que l'on positive le fait d'être une population aussi diverse que l'est devenue la nôtre, qu'on le vive comme une chance. Que l'on arrête de vouloir faire croire à nos enfants que nos ancêtres étaient tous des Gaulois. Ce qui compte, c'est que chaque Français, quelles que soient sa date d'arrivée en France, son origine ou sa religion, a de la valeur et apporte ce qu'il a de mieux pour notre pays. Un exemple : au lycée, on peut choisir en option de très nombreuses langues, mais il est quasi impossible d'apprendre l'arabe, alors que cela pourrait être un fantastique atout économique. Résultat, ce sont des intégristes dans des caves qui s'en chargent.

  • Jeunes Français en goguette (2)

    Sept personnes ont été interpellées et six policiers blessés dans la nuit de dimanche à lundi à Marseille, où plusieurs milliers de supporteurs sont descendus dans la rue après la victoire de l'Algérie en match de qualifications au Mondial-2010.

    Les supporteurs ont commencé à envahir le quartier du Vieux-Port vers 22H00, à pied, en voiture ou en scooter, arborant des drapeaux algériens et manifestant leur joie à coup de klaxons. Des vitrines de magasins et des abribus ont été saccagés dans le centre-ville.

    Sept personnes ont été placées en garde en vue au groupe de violences urbaines, pour "dégradation, outrage, rébellion et coups et blessures sur agents ayant autorité".

  • Il lui aura fallu vingt ans…

    Luckas Van der Taelen est un homme politique belge flamand, membre des Verts. Il a été député européen de 1999 à 2002. Depuis décembre 2006, il est adjoint au maire de la commune de Forest. Il publie un article intitulé « Les ghettos de Bruxelles », dans lequel il écrit notamment :

    "Il y a une vingtaine d'années, j'étais convaincu que les jeunes nouveaux Belges seraient rapidement assimilés. Mais maintenant, à Bruxelles, a grandi une génération de « rebels without a cause », qui se sent toujours dépitée et lésée. Qui ne doit répondre de rien, c'est toujours la faute d'autrui : de l'autorité, des Belges racistes. Et à l'intérieur de leur propre famille, les jeunes garçons maghrébins sont intouchables. Lorsque la police a arrêté un jeune à Molenbeek, le père a immédiatement organisé une manifestation parce que son fils « ne volerait pas même une pomme ». (...)

    "La fille d'amis marocains a un petit ami belge. Elle ne sort jamais avec lui dans ce quartier, parce qu'elle y est immédiatement apostrophée. Car pratiquement tous les jeunes allochtones ont beau avoir la nationalité belge, ils ne s'identifient aucunement à ce pays. Bien au contraire : « Belge » est une injure..."
    http://archives.lesoir.be/carte-blanche-les-ghettos-de-bruxelles_t-20091006-00Q7PU.html?query=Taelen&firstHit=0&by=10&sort=datedesc&when=-1&queryor=Taelen&pos=0&all=86&nav=1

  • Incorrect

    Thilo Sarrazin, ancien ministre des finances de Berlin, membre du conseil d'administration de la Bundesbank, a déclaré à La Lettre Internationale :

    « Nous n'avons pas besoin de gens qui vivent des prestations sociales d'un pays qu'ils rejettent, qui ne se sentent pas concernés par l'éducation de leurs enfants, et produisent à la chaine des petites filles voilées. Cela vaut pour 70% des Turcs et à 90% des Arabes de Berlin.

    « Un grand nombre d'Arabes et de Turcs de la ville, dont le nombre a dramatiquement augmenté en raison d'une politique inconséquente, n'ont aucune fonction productive à l'exception de la vente de fruits et légumes.

    «  Alors que les familles d'immigrés d'Europe de l'Est, du Vietnam, de Chine ou de l'Inde se sont intégrées en une génération, les enfants et petits enfants de Turcs et d'Arabes n'arrivent pas à parler allemand correctement et ne réussissent pas à l'école. »

    Ces propos ont naturellement suscité un tollé. Thilo Sarrazin a présenté ses excuses : « Je voulais décrire de façon vivante les problèmes et les perspectives de la ville de Berlin, et non pas discréditer des groupes ethniques. Si cette impression s'est imposée, je le regrette et m'en excuse. »

    La police de Berlin a lancé une procédure afin de déterminer si ses propos pouvaient être considérés comme une incitation à la haine raciale.

    (via François Desouche)

  • Le cinéma de la jungle : ça se termine

    Selon la Cimade, seule association habilitée à suivre les dossiers, sur 138 clandestins adultes placés en rétention, 122 ont été libérés. Les autres procédures sont toujours en cours.

    Addendum. Selon le ministère, contacté par l'AFP, il y avait lundi soir 89 remises en liberté sur 129 placements en rétention.

  • Cinéma politico-judiciaire

    Hier, le ministre de l'Immigration Eric Besson déclarait que les mesures de "retours forcés" pour les migrants interpellés lors de l'opération de démantèlement de "la jungle" à Calais s'appliqueraient, "y compris dans les pays sensibles" comme l'Afghanistan.

    Quelques heures plus tard, les juges des libertés de Nîmes considéraient que les rétentions des Afghans placés au centre de rétention de la ville après l'évacuation de la "jungle" étaient irrégulières, et y mettaient fin. Ils ont examiné 35 cas et prononcé 35 annulations de procédure.

    A Marseille, un juge a prononcé la remise en liberté des huit personnes interpellées à Calais et placées dans le centre de rétention du Canet.

    A Toulouse, un juge a ordonné la libération de quinze migrants transférés au centre de rétention de Cornebarieu (Haute-Garonne).

    Dans certains cas, le parquet a fait appel. Histoire de faire durer un peu la plaisanterie.