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La CGT et les clandestins. Faites ce que je dis, pas ce que je fais…

Depuis 14 mois, 400 à 500 clandestins africains vivaient en permanence, nuit et jour, à la Bourse du Travail à Paris. Près de 1200 y venaient par intermittence. Un commando armé de bombes lacrymo et de bâtons a expulsé manu militari les occupants indésirables. Dans un premier temps, la police est suspectée, puis la CGT reconnaît que c'est bien son service d'ordre qui a procédé à cette évacuation musclée.

«Après avoir essayé en vain de négocier pendant des mois, nous avons décidé de mettre un terme à une occupation qui était devenue un squatt (...) et ce sans faire appel aux forces de l'ordre», justifie Patrick Picard, secrétaire général de l'Union départementale de Paris.

(Libération, via François Desouche)

Commentaires

  • Suite à l'évacuation des locaux où ces Africains et leurs ménages s'entassaient, cuisinaient, mendiaient à l'entrée, c'est maintenant la police qui les garde mais SUR LE TROTTOIR de la Bourse du Travail proche du grand restaurant "Chez Jenny", ainsi que je l'ai observé en tant que...voisin de la place de la république.Laquelle république, en sa statue géante, est impuissante, muette, figée et effectivement indivisible dans la l'aveuglement qui la pousse à détruire la vraie France.

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